A
AMIS
« Nos amis ne connaissent jamais que les marges d'eux-mêmes, qu'ils découvrent en nous »
George Moore
« Les amis se comptent sur les doigts d'une main » , dit-on couramment. Effectivement, les amis se révèlent lorsque nous avons des ennuis. Donc, à ne pas confondre avec les relations, qui, seules, sont autour de nous quand tout va bien. Mais il est probable que nous ayons aidé des personnes de notre entourage dans un moment pénible de leur vie. Et puis, avec le temps,elles ont disparues de notre vie. C'est quelquefois difficile de le comprendre. Mais en fait, est-ce que nous retournons chez notre médecin quand nous sommes guéris ? Est-ce que nous voulons qu'il nous rappelle les moments pénibles où nous souffrions ? Non bien sûr, alors pour certaines personnes c'est la même chose. Soyons donc compréhensifs : elles ne veulent pas se souvenir de ces moments de difficulté, tout simplement. Mais peut-être avons-nous déjà vécu ce genre de situation. Encore une fois, comme c'est le cas pour le couple (cf. couple), le travail est terminé. Nous n'avons plus rien à nous dire, nous n'avons plus à nous aider mutuellement, l'effet miroir (cf. miroir) avec ces êtres, n'a plus raison d'être. Alors, on rencontre d'autres personnes qui sont sur la même vibration que la nôtre, et ainsi de suite à chaque fois qu'on avance, on monte une marche sur l'escalier de notre évolution, et on rencontre les êtres qui s'y trouvent, et ceux qui avancent en même temps que nous sont toujours là.
ARGENT
« L'argent n'est que la fausse monnaie du bonheur »
E. et J. de Goncourt
Nous sommes dans un monde où le pouvoir est conditionné par l'argent. Nous avons oublié que tous les pouvoirs sont en nous, même celui de gagner de l'argent. Nous sommes faits pour vivre dans l'abondance, encore faut-il agir en conséquence. Rien ne tombe du ciel " aides-toi et le ciel t'aidera ". Envier l'argent des autres, est une perte de temps. Il serait plus judicieux de les imiter et de chercher à savoir comment ils ont fait pour réussir. Mais si on n'a rien à la base, le courage et la volonté sont nécessaires et génèrent ce qu'on appelle la " chance ". Dans nos pays civilisés, l'argent est nécessaire ; mais combien de fortunes se sont dilapidées. Car avoir de l'argent c'est une chose, mais le gérer en est une autre. Nous remarquons que les gagnants de jeu de hasard, par exemple, se retrouvent bien vite sur la paille. Alors savons-nous le gérer ? Méritons-nous d'avoir des sommes fabuleuses ? Apprenons donc à gérer le peu que nous avons, et ensuite pourrons-nous faire fructifier nos propres biens. L'argent est une énergie. Elle passe d'un individu à l'autre : c'est une « monnaie d'échange ». Quand nous mourons, nous ne l'emportons pas. Si nous aidons les personnes plus démunies que nous, nous aurons toujours de l'argent, car, par la loi de cause à effet, tout ce qu'on donne on le reçoit. Mais si nous agissons en égoïstes, un jour l'argent nous sera retiré. Il n'est pas nécessaire d'envoyer des chèques au bout du monde, pour libérer notre conscience: il suffit simplement d'aider les gens qui sont autour de nous. Et si chaque individu fait de même, si le riche aide le pauvre, la planète se portera mieux et nous n'entendrons plus que la misère existe. Il est dommage de constater que même dans nos pays civilisés, il y a des misérables. Nous les voyons dans les pays dits " sous-développés " mais elle existe aussi dans les pays capitalistes : " chaque riche a son pauvre ". La plus belle avenue du monde, à Paris, a ses mendiants.
Essayons simplement d’épargner 10 % de nos revenus nets, donnons également 10 % aux plus démunis que nous (et il y en a toujours) et nous verrons que cette recette est efficace pour avoir suffisamment d'argent pour vivre.
« Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas »
dicton amérindien
