dimanche 25 décembre 2022

AVANT ET APRES LE CONFINEMENT DE MARS 2020

Tout un chemin parcouru pour prendre conscience de « qui je suis » dans ma nature véritable et ceci bien avant les mesures restrictives des humains sur la planète Terre. Et notamment liberticides et totalitaires, sous couvert de mesures sanitaires et de vaccinations abusives, pour un virus (non encore identifié en décembre 2022). J’ai appris dès mon enfance que la France, est le pays des « droits de l’homme » dont le slogan est Liberté-Egalité-Fraternité. Puisque française de souche, cela m’a donné des ailes pour incarner ces trois mots. Je serai libre, équitable et fraternelle ! là-dessus se sont greffés dans mon inconscient, des croyances et des conditionnements que j’ai tenu pour vraies, avant de m’apercevoir que tout çà ne venait pas de moi, n’étaient pas véritablement mes choix, mais plutôt une guidance invisible qui dominait pas vie. … Du coup, une recherche incessante, durant de longues années, pour savoir qui je suis et trouver un sens à ma vie. Tout ce savoir intellectuel, ces réactions émotionnelles et physiques ont été un autre conditionnement qui me semblait libérateur de mes souffrances et de mon mal-être existentiel, dû probablement à une sensibilité, une émotivité et une empathie rares et puissantes. Les seuls conseils que je n’arrivais pas à mettre concrètement en pratique étaient : « aimes-toi », « penses à toi », « écoutes ton corps » Des mots, rien que des mots, pour soulager mes maux. Je voyais çà comme de l’égoïsme, moi l’altruiste de naissance ! Tant que mon corps ne se manifestait pas par des douleurs, je ne m’en préoccupais pas. Extérieurement, je prenais soin de moi, ah oui, la vitrine ! l’identification comme moyen de séduction, je savais faire, même si c’était inconscient ! Ce besoin d’amour et de reconnaissance de l’extérieur me comblaient momentanément et, comme l’artiste que je suis fondamentalement (chant, danse, peinture, créatrice intuitive), dès que je revenais à la maison, je ressentais ce mal-être qui ne me quittait pas, accroché à mon âme comme une mouche à la toile d’araignée. Du coup, un besoin énorme d’être avec les autres, sinon je n’existais pas ! Plus j’avançais sur mon chemin de « survie » et plus mon corps attirait mon attention en créant des états dépressifs et anxiogènes, des maladies chroniques et même une plus grave en 1988 (prise à temps donc soignable). Je dois dire que, dans ces moments de désarroi, j’étais seule et donc obligée d’aller chercher du secours, à l’intérieur, dans ma FOI. Cette Force d’Ouverture à l’Invisible comme je l’appelais. J’ai cheminé plus de 33 ans avec des techniques, des livres, et des conférences. C’était l’époque du New-âge.. Nouvel âge : Y’avait de quoi se sentir jeune ! Un nouveau monde de « bisounours » se dessinait à l’horizon des années 2000 jusqu’en 2012, date inscrite dans le calendrier maya, une civilisation disparue comme par enchantement. Tout ce petit monde croyait à une fin du monde et je savais que ce n’était pas çà, (même si une secte quand j’étais môme et ado -10 ans à 18 ans-, me l’avait greffé dans le cerveau pour 1975 : je l’ai quitté deux ans avant et je vous avoue que même, si je me sentais libérée de leurs griffes, je n’osais faire de projets avant cette date). Je disais à l’époque : « on ne les laissera pas faire » Je ne vous dis pas comment j’étais reçue avec une affirmation pareille ! (c’est qui « on » ? me disait-on) Mais une fin de civilisation humaine probable, si les humains continuaient à détruire la nature et les animaux… Ils détruisaient ce qu’ils n’avaient pas créer, et donc « qui sème, récolte ». Point ! c’est une loi universelle de cause à effet., action/réaction ! Bon, revenons à nos moutons, si je puis-dire ainsi, en voyant aujourd’hui, le troupeau qui se jette dans l’abîme des mensonges et manipulations de ceux qui tiennent les cordons de la Bourse, et des marionnettes à leur service. Rien de nouveau à l’horizon et c’est même de pire en pire… Ce confinement de mars 2020, et ses délires de masques et de distanciation a détruit les valeurs de Liberté, d’Egalité et de Fraternité. Un monde considéré comme du bétail à la solde d’un pouvoir digne d’une puissance occulte qui nous dépasse. Comment le Divin Amour laisse-t-il ses créatures vivre cela. Etait-ce le programme initial ou un bugg dans l’ordinateur géant ? je ne sais pas… et personne ne le sait. Cà dépasse l’entendement sauf celui de notre cœur qui vibre, avec sa clef USB perso, et son GPS intérieur. Pour le collectif, des tas de logiciels s’inventent et se créent avec des applications fabriquées depuis longtemps comme l’IA, le numérique, les robots, les virus, les médoc et pesticides, destinés à éradiquer une grande partie des humains, … Une grande pollution de l’air, de l’eau, de la terre et du feu de l’enthousiasme. D’ailleurs, la planète se venge et purifie au fur et à mesure, avec les réveils de volcans, les tornades et ouragans, les inondations, et les séismes. Que peut faire l’homme face à la nature, ou comme l’apprenti sorcier il est à l’initiative de ces chamboulements? Cause et conséquence encore, n’est-ce-pas ? Je ne sais pas. Toujours est-il que j’observe, que 2020 a été annonciatrice d’introspection et de changement de vie pour beaucoup. Une prise de conscience de ce qui n’allait pas dans la vie de chacun. Que ce soit dans les relations conjugales, amicales, familiales et professionnelles. Avant « on faisait avec » et maintenant « on sait ce qu’on ne veut plus » On veut être libre ! libre de ses choix, mais cette fois consciemment… Et si la peur de changer ne domine pas, tout est possible ! Mais il faut de la volonté et du courage ! Après avoir exacerber et libérer ses émotions invalidantes, l’homme pourra être libre même en étant accompagné. Et il s’agira d’exprimer ses besoins, de les vivre, sans imaginer que c’est l’autre qui les comblera, que c’est à cause de l’autre qu’il n’avance pas, etc… ! Papa, maman, c’est fini ! L’humain doit grandir et être entièrement responsable de ses paroles et de ses actes. Il doit être dans sa vérité et parfois la communiquer, pour éviter les imaginations délirantes de ses compères. Globalement, l’humanité est en pleine adolescence ; elle n’est plus enfant et pas encore adulte. L’adolescence se passe avec des turbulences, comme chacun le fait individuellement et nous allons vers l’adulte, c’est-à-dire un humain conscient responsable et non manipulé par l’inconscient générationnel et collectif. Il y a deux chemins ; celui de l’amour et celui de la peur. Le chemin de l’Amour : c’est-à-dire celui du Cœur « écoutes ce qu’il te dit, parles avec lui, laisses-le parler à travers toi dans ta communication extérieure, » Ce chemin est celui qui vous porte vers la liberté d’être, le plaisir d’être en vie, l’amour pour vous-mêmes qui rayonnera comme un soleil sur votre entourage. Le chemin de la peur : c’est-à-dire les limites que toi seul, tu t’imposes pour ne pas être libre. ‘(la seule peur véritable notre partie animale, l’instinct de survie) Les autres tu les as créées, par des paroles reçues, des pensées des autres, ou des situations vécues par toi à un moment donné, et que tu as inscrites comme inévitables. Peur du rejet, peur de l’abandon, peur de l’humiliation, peur de la trahison, peur de l’injustice, peur de ne pas être aimé, peur de la solitude. Les peurs ne sont que des croyances ! Pas facile de s’en libérer ! Il faut du courage pour se détacher des amis, de la famille, des parents, des enfants, des deuils, des objets, des pensées récurrentes, etc…C’est souvent la vie qui nous amène brutalement ces détachements. C’est comme si vous gardez des objets par habitude, que vous ne rangez pas ou ne nettoyez pas votre lieu de vie. Un jour survient une inondation. C’est brutal ! et là vous allez être obligé de vous débarrasser de ce qui ne servait plus, ou était toxique pour votre bien-être. La même chose quand on déménage. Donc vaut mieux le faire à votre rythme. Il n’est, bien sûr, pas question de couper des liens avec les gens qui vibrent sur la même longueur d’ondes. Tout est Vibration, tout est énergie et ce qui vibre en toi, attireras la même vibration. Il n’y a pas de hasard. Einstein disait : « le hasard est le chemin que Dieu emprunte quand il veut passer incognito ». Quand on change de vie, ce n’est pas la peur ou le regret qui doivent te retenir, mais le plaisir d’avoir choisi un ailleurs, plus agréable.