jeudi 26 janvier 2017

Sommes-nous un robot ?


L'état de robot

A ce stade, les personnes sont comme des robots, identifiées à leur ego, à leur personnage. "Je suis cet homme", "Je suis cette femme", "J'ai deux enfants", "J'ai telle profession", "Je suis blond", "J'ai les yeux verts". C'est le stade où les gens vivent dans la peur de perdre ce qu'ils croient posséder; ils vivent avec les manques de ce qu'ils n'ont pas.

En général, la notion de "Dieu" n'existe pas, ou est très mal comprise; il n'y a pas de foi en quoi que ce soit. Le personnage est seul dans un univers hostile. Comme il se croit séparé des autres, tous les autres deviennent automatiquement des ennemis potentiels, des concurrents pour les ressources et pour sa propre survie. Les "autres" sont classés ennemis ou en amis en fonction de leur attitude et de leur dangerosité. Nous sommes là dans un monde d'intérêt et de marchandage. 
Il y a une confusion entre les véritables besoins de l'être et les besoins du personnage. Ils n'ont pas conscience d'être quelque chose de plus grand que ce qu'ils "croient" être. À ce stade, les personnes croient être leurs pensées. "Je pense donc je suis" est le programme qui tourne dans leur tête.

Ils croient être leurs pensées parce qu'ils n'ont jamais expérimenté le fait de ne plus en recevoir. L'état "sans aucune pensée" est inimaginable, à ce stade. Ils ne savent pas que la méditation permet d'accéder à des états de conscience modifiée, à des états de conscience plus "élevés".

Ils vivent dans un monde d'illusion et e souffrance. Les personnages auxquels ils sont identifiés ont de nombreux problèmes qui les font souffrir. Parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils sont, ils ne peuvent pas savoir où ils vont. Parce qu'ils vivent dans la peur, leur seule solution est d'essayer de contrôler leur environnement le plus possible.

À ce stade, il y a aussi une confusion entre l'amour véritable et l'attachement de l'ego. L'amour fait souffrir, car il génère une infinité de peurs. Le personnage ne veut pas s'abandonner à l'amour et perdre le contrôle. La plupart du temps, l'amour, s'il est expérimenté, d'apparente plus à du commerce de besoins qu'à de l'amour véritable. Le personnage fait tout pour ne pas tomber amoureux, car au fond, il sait que tomber amoureux entraînera sa disparition. 

Sebastien Socchard, merci 💞

samedi 7 janvier 2017

Je sais que je ne sais pas ...



Je ne sais pas,
De quoi demain sera fait,
Ni même si demain existera.
Mais je sais,
Oui je sais,
Ce que je suis maintenant.

Je sais que l'amour me guide,
Je sais qu'IL est la pour moi,
Je sais que j'ai juste à l'écouter,
Car IL guide mes pas.

Il suffit d'écouter le coeur,
Il suffit d'accepter d'être Soi.
Ne pas écouter l'égo,
Ses peurs,
Ses doutes.
Il suffit de garder la foi.
Car je sais bien,
Qu'IL vit en moi.

La vie est magnifique,
Parce que je ne sais pas,
La vie est magnifique,
Car tout est possible,
À celui et à celle qui se libère,
De toutes ses chaines.

Laisses la vie se vivre à travers toi,
Laisses la s'incarner en toi,
Laisses la vibrer en toi.

jeudi 5 janvier 2017

Message d'amour... pour toi-même

Tu ne dois rien à personne.
Ni à tes parents, ni à tes enfants, ni à ton patron, ni à Dieu.

Tu es libre de prendre chaque décision comme bon te semble. Tu as dit que tu viendrais à cette fête et tu n'as plus envie d'y aller ?  Ecoute ton coeur et n'y va pas. Appelle, dis ce que tu sens, explique, mais ne t'excuse pas. Tu ne dois rien à personne.

Tu t'es défini à travers tes enfants ? Tu n'existe plus sans eux ? Que vas-tu faire quand ils partiront à l'université, ou se marier ? La chambre est vide. Tu te sens triste. Mais VOIS que tes enfants sont libres eux aussi. Et que tu ne leur DOIS rien. Est-ce que l'amour c'est prendre et mettre en cage ? Ah mais tu es triste ! Ca oui. Ca c'est humain, ça c'est ce qu'il faut que tu vives, c'est tout à fait normal. Mais tout de suite après, reviens vers toi-même. Recentre-toi vers ce qui compte le plus dans ce monde: TOI. Laisse passer la tristesse, elle ne t'appartient pas.

Tu as promis à ton mari que tu l'aimerais jusqu'à la fin de ta vie ? Et aujourd'hui, Capri, c'est fini ? Et ben c'est fini. Tu ne t'es pas engagée pour la vie. Non. Ah mais tu l'as dit devant des témoins ? Je comprends. Tu te sens obligée maintenant. Et puis que diraient les autres ? Tes parents (surtout ton père qui te dit qu'il est si fier de sa fille qui est heureuse dans son mariage). Tes amis, tes enfants, mais surtout TOI. Tu ne peux pas te faire ça à TOI-même quand même ? Quelle trahison.

Tu es engagé au yeux de la société ? Et alors ? On peut pas changer d'avis ? On ne peut pas évoluer ? On est enchaîné à un boulot ? A un partenaire ? Tu ne lui dois rien. Tu as chéri la relation, et c'est bien. Cette relation t'a apporté ce dont tu avais besoin, mais aujourd'hui elle ne remplit plus son rôle. Au fond, tu aimes toujours ton partenaire. Tu le remercie pour ce qu'il ou elle t'a apporté. Il t'a permis de VOIR. Mais il est temps de passer à autre chose. Et c'est bien. Ne t'inquiètes pas pour les enfants, ils vont bien. Ils savent. Oh, nos enfants sont beaucoup plus sensibles que nous, crois-moi. L'éducation est renversée et marche à l'envers. C'est eux qui devraient nous apprendre à vivre. Eux, ils écoutent leur coeur, nous notre éducation. Et nous les tuons. Nous les enfermons. Nous leur coupons les ailes, parce tout dit en nous que c'est ça l'amour. Alors que ce que nous écoutons ce sont nos parents, notre éducation, notre religion, notre patron, nos peurs. Nous reproduisons le schéma. Sans réfléchir, sans s'écouter, sans se faire confiance, sans faire confiance à la vie.

La société nous a formaté. Et même la religion. Aaaah Dieu. Nous avons tout compris de lui. Nous savons qui il est. Tout est expliqué dans plusieurs bouquins. Et puis ya intérêt à les lire ces bouquins, parce que Dieu n'est pas content si on ne suit pas sa parole. C'est un Dieu moralisateur, qui te juge pour tout ce que tu fais. Alors ne vas pas le courroucer, ça serait une mauvaise idée. Il t'a promis le paradis bordel ! C'est quand même pas rien non ? Qui pourrait refuser ? Par contre, lis bien les petites astérisques, parce que le contrat mentionne un enfer aussi. On déconne pas avec Dieu. C'est un homme politique qui a tout compris des promesses, des carottes et du bâton. Ce Dieu là, oui c'est un homme. Pas une femme. C'est un homme guerrier et vengeur, qui impose sa loi. Un vrai de vrai. Un putain de Rambo. Et que je l'aime ! Je ne peux pas me passer de lui. Car il me protège. J'ai besoin de lui tu comprends ? J'ai peur. J'ai besoin qu'on me dise ce qu'il faut faire.  Réfléchir par moi-même ? Non, demain. Ya kohlanta à la télé.

En fait Dieu ne t'as rien demandé. Comment l'amour pourrait-elle demander ? Comment l'amour ne pourrait-elle pas t'accepter, t'accueillir, telle que tu es maintenant, tout de suite ? Non, pas après "le grand sauvetage de ton âme damnée", non non, TOUT DE SUITE, là devant ton ordi ou ton téléphone. Si l'amour t'as déjà accueillie telle que tu es, alors pourquoi tu te mets la pression ? Relax Max ! PROFITE ! On est pas là pour se faire chier quoi. Tu es aimée ! Déjà maintenant.

D'ailleurs à ce propos, tu es parfait. Ben oui, Dieu t'as créé et Dieu est parfaite. Tu vas pas me dire que Dieu t'as créé imparfait quand même ? Elle t'enverrai donc un message disant: "Eh les gars, revenez à maison tout de suite, je me suis plantée, ah ah, vous allez rire: défaut de fabrication! Rah la gourde que je suis, je me marre toute seule. Et le pire c'est qu'ils y ont vu que du feu au contrôle qualité, ah ah, je me pisse dessus. Bon maintenant rentrez tous à la maison avant que quelqu'un s'aperçoive de quelque chose". Ben non c'est pas possible. Car Dieu est parfaite. Et Dieu ne peut pas créer quelque chose d'imparfait. Donc tu l'es aussi. Le seul truc qui t'empêche de le voir, c'est le JUGEMENT que tu portes sur toi-même. Dieu ne t'as jamais jugé, elle. Parce qu'elle sait que tu es déjà parfait. Alors bon oui, tu bases tes déductions sur le monde. Ya des guerres tout ça. Mais ne vois-tu pas que la racine de ces guerres c'est  justement ce jugement que tu portes sur le monde et sur toi-même? Retire le jugement, retire la culpabilité et la peur et tu verras le paradis sur Terre. Non, non pas dans les cieux, là, dans ton salon. Car le péché originel n'a jamais existé. Tu n'as jamais péché. Le péché originel c'est la pensée que tu étais séparé(e) de Dieu. Que Dieu était loin. Sur un nuage. Avec une barbe. Pourtant il t'a bien dit "je suis partout". "Partout". Ca veut dire quoi ? Partout, c'est partout quoi. Dans l'air qui entoure la pièce, dans le bois de ta table, dans la fleur, mais dans ton corps aussi, dans n'importe quelle chose, puisque Dieu est partout. Dieu est. Partout. Donc.... donc... allez, quoi, vas jusqu'au bout... il est partout, il constitue chaque chose. Donc... donc ? Et oui... Dieu c'est toi aussi. Le choc.

Encart sur Dieu terminé. Bisous Dieu, je te kiffe. Tu repasseras prendre ton CD que t'as oublié à la maison. Je t'aime.

"Oui mais moi tu vois, de toute façon je ne crois pas en Dieu. Et tout ce que je vois c'est que l'homme est mauvais et que ya des guerres partout. Et ça me gonfle." C'EST PARFAIT ! On a pas besoin de Dieu ! Non, il n'existe pas ! Alors crois-en TOI. Il n'y a que TOI. Le monde est là pour TOI. Tu as de l'amour en toi, tu le sens, tu le partages, tu pleures le soir parce que tu ne sais pas comment faire. T'inquiète pas vas, je parle de moi en fait. Je fais une projection sur toi et je m'imagine que tu pleures aussi.  J'ai tellement pleuré je ne sais combien de nuits parce que je me sentais impuissant devant tant d'amour qui m'appelait. Je pensais que j'étais indigne de toute cette amour que j'étais déjà. Je ne voulais pas l'accepter. Et je voyais le monde comme je me voyais moi-même. Mais j'ai compris qu'on ne voit que ce qu'on croit. (Stop, relis, ne le prend pas à l'envers. Tu VOIS ce que tu CROIS, et pas l'inverse). Change tes croyances, change ton regard et le monde changera. Ce n'est pas une promesse. Car il n'y a que toi qui peut le faire. Tout vient de toi. En fait, rien ne peut s'opposer à ce que tu désires, à ce que tu veux croire. Car tu es libre, et tu es tout puissant. Rien ne s'opposera à toi. Reprends ta responsabilité. Tout a été placé pour toi, par toi-même.

Lis Ho Oponopono, Isabelle Padovani, Laurent E. Levy, le Cours en Miracles, je sais pas, qui tu veux. Mais poses-toi cette question: comment ça se fait que tout le monde dit la même chose ? Le pouvoir de la pensée, Le Secret, le non-dualisme, toutes ces conneries ? Non mais vraiment, t'as pas remarqué que tout le monde en parle ? C'est quoi cette histoire ? Putain si c'est une secte, ça craint, parce que ça prend de l'ampleur. Une fois que t'as lu, moi je te conseille de tout oublier. Ca va encore se transformer en règles de vie, en des "il faut" et on va encore se retrouver à suivre quelqu'un comme des moutons. Balance tout. "Meme la Bible?" Ouais même la Bible. Tout. Et ne fais confiance qu'en toi même.

Attention cependant. N'oublie pas de TOUT questionner. Il est pas question de jeter la Bible au feu si c'est pour croire tout de suite après à ce qui te traverse l'esprit. N'oublie pas qui tu es: tu es la fabrication d'une société, d'une éducation, du regard de tes parents et tu as prêté serment devant le prêtre que tu aimerais ta femme jusqu'à ce que la mort vous sépare. Alors tu entends les petites pensées qui te traversent l'esprit ? QUESTIONNE TOUT. Questionne-toi toi même. Tu ne peux même plus te faire confiance ? "Mais meeerde tu viens de me dire le contraire, au paragraphe juste avant ! C'était quoi ce 'ne fais confiance qu'en toi-même de mes couilles'? Sois cohérent à la fin" Oui. Mais qui est ce TOI à la fin ? Lui ou lui ? Qui es-tu ? Je te pose la question. A quelle partie de toi peux-tu faire confiance si tu ne peux même pas faire confiance en tes propres pensées complètement formatées par la société ? Ah mais là désolé, si je commence, ce n'est plus un post sur Facebook que j'écris, c'est un bouquin. Ouais je me dérobe. Regarde la pirouette que je fais: tu ne peux découvrir cette réponse que toi-même. Zuuuup, hop tu me vois plus. Trop facile hein. Ouais ben désolé, j'ai pas dit qu'il ne fallait pas que tu bosses un peu par toi-même et que je te serve tout sur un plateau. Lis, achète des bouquins. Kohlanta attendra, t'inquiète.

Je reviens: toutes les relations ont un but. Quand sa mission est remplie, pourquoi vouloir la maintenir ?

Oh non, je ne te dis pas de quitter ton partenaire. Je ne parle pas de ça. Je parle d'écouter ton coeur et d'arrêter de te juger si jamais tu allais prendre cette décision. Ou si tu as déjà pris cette décision et que vous n'êtes plus ensemble. J'ai divorcé il y a 4 ans. 20 ans de mariage et 3 enfants après. Crois-tu que je ne me suis pas jugé moi-aussi ? Toutes mes peurs sont revenues d'un coup. Ben c'est que j'étais bien au chaud moi. Et puis je sais pas cuisiner, ça fait chier quoi. C'était quand même bien pratique. Et puis quand on ne faisait plus l'amour, on baisait. Je vais faire comment moi maintenant ? Ne me méprends pas sur ce que je dis. J'ai parlé de mes peurs, pas de la réalité. En réalité je l'ai aimée, oh oui, de toute mon âme. Et je continuerai à l'aimer toute ma vie. Mais la relation est terminée. Elle ne me manque pas. Aujourd'hui je l'aime vraiment. D'un amour plus pur que je pensais l'aimer quand nous étions ensemble. Parce que j'ai compris pourquoi elle avait accepté de partager ce chemin avec moi. C'était un pacte d'âmes. "Je vais te faire souffrir, mais rappelle-toi toujours qui je suis vraiment. Je ne suis que toi-même qui te renvoie ton image. Je suis là parce que je t'aime et qu'on a décidé de vivre cette histoire tous les deux avant notre naissance. Ne m'oublie pas. Ne t'oublie pas." Pour cela, je la remercie. Je me remercie.

Non, non, je ne parle pas de séparation. Je parle de t'écouter. Mais écoute-toi AVANT d'écouter ton partenaire, tes enfants, tes parents. Le couple c'est bien aussi, et il peut durer toute la vie aussi. Je parle de respect de soi-même ici, pas de séparation.

Tout le monde est là pour toi. Et seulement pour toi. Tout t'es donné et tu n'as rien à donner. Non, tu n'as rien à donner. Pas tout de suite. Regarde nos enfants: on leur apprend à partager avant même qu'ils aient pu profiter de leur jouet. Comment pouvons-nous être aussi cruels ? C'est d'abord leur jouet, comprends-le. Tu ne peux pas donner ce que tu n'as pas. Ce dont tu n'as pas pu profiter toi-même. Laisse-leur le temps de PROFITER. Ils donneront leur jouet eux-mêmes quand ils le décideront. Ils sont assez grands. Ta fille de 2 ans est assez grande. Ouais. Regarde-la dans les yeux, tu comprendras. Tu y verras la vie intelligente. Celle qui fait pousser les arbres, celle qui fait battre ton coeur, pousser tes ongles. Tu crois que c'est toi qui fais vivre ces milliards de cellules ? C'est le Mickael ou c'est la Vie ? C'est le personnage ou l'Univers ? Réveille-toi ! Tu n'es pas ce corps ! Oh oui il est sacré ce corps, mais tout l'est dans ce monde.

Toute notre éducation nous as appris à nous occuper de notre prochain, à aimer notre prochain, à tout donner à notre prochain et à s'oublier soi-même. Mais tu dois aimer ton prochain comme toi-même. Tu as oublié ? Comme toi-même. Alors ne met pas la charrue avant les boeufs. Et commence par toi-même. Est-ce tu t'aimes ? Est-ce que tu as pris soin de toi aujourd'hui ? Reprends contact avec ton âme. Parle-lui, elle n'attends que ça.

On ne peut pas sauver les autres. On ne peut que se sauver soi-même. Et Dieu ne le fera pas pour toi. Dieu est amour, elle sait déjà qu'il n'y a rien à sauver et que tu es déjà parfait. Dieu n'est pas de ce monde. Elle, elle sait déjà, elle VOIT. Alors fais les choses pour toi et pour personne d'autre. Occupe-toi de toi, prends soin de toi.

Tu ne dois rien à personne mais personne ne te dois rien non plus. Tu as vu que c'est logique, non ? Tu vas chercher l'amour à l'extérieur, chez ton partenaire, chez tes enfants, tu vas chercher de la reconnaissance chez ton patron, chez tes parents. Mais ils ne te doivent rien. Et ils ne le feront pas. Non. Pas tant que tu ne commenceras pas par toi-même. Alors ne leur reproche pas de ne pas te donner ce que tu leur as demandé. "Tu m'avais diiiit que tu m'aimeeeraiiis tout ta viiiie". Et ben non. Il est libre lui aussi. Il ne te doit rien. Et tu n'as pas besoin de lui. Il n'est pas un prêteur sur gage. "Je te donne mon amour et je te le reprendrai quand je partirai". Ne lui donne pas ce pouvoir. L'amour, tu l'as déjà, tu l'es déjà. Tu n'as pas besoin d'aller le chercher à l'extérieur. Il ne t'a jamais repris l'amour parce qu'il ne te l'a jamais donné. Il n'a pas eu besoin de te le donner. Tu l'avais déjà. Il a juste vu ton propre amour dans tes yeux quand il est tombé amoureux de toi. En fait, il a vu son propre amour dans tes yeux. Et tu as vu ton propre amour dans ses yeux. Alors.. il veut partir ? Laisse-le partir. Il repart comme il est venu, libre. On ne se donne jamais de l'amour, on partage qui on est. Et on est amour. Appelle ça un jeu de mot si tu veux. Tout est jeu de mot ici. Ce ne sont que des pointeurs. L'amour ne se définit pas.

Tu veux de l'affection, de la reconnaissance, de l'amour ? Mais oui, c'est bien. Ecoute ton coeur. Regarde. Ecoute tes besoins. C'est bien. Que veux-tu encore ? Juste un regard, juste une parole de réconfort ? Juste te sentir aimer ? C'est très bien. Quoi d'autre ? Vas au plus profond de toi et de tes besoins. Comment savoir ? Isabelle Padovani dit: "Au lieu de se dire j'ai besoin que tu m'aimes, reformules avec j'ai 'un' besoin d'amour". Cette reformulation qui est centrée vers toi-même plutôt que vers les autres t'aidera à savoir ce dont tu as besoin et te permettra de voir que n'importe qui peut te donner de l'amour, pas seulement ton partenaire. Mais il faut que la porte soit ouverte d'abord avant qu'elle puisse entrer. Ouvre la porte de ton coeur ma chérie. Tu es aimée et tu n'es pas seule.

Quand tu auras compris cela tu voudras tout donner. Tu voudras t'offrir au monde. Tout ce que tu es, tout que tu aimes, tout ce que tu t'aimes. Tu voudras tout partager, mais surtout tu voudras partager ce que tu es. A ce moment là tu reviendras vers les autres. Tu leur diras combien tu les aimes. Combien il t'ont manqué, combien tu as pleuré quand tu étais seul, oubliant de te regarder, de t'apprécier comme tu es, oubliant de t'aimer toi-même. C'est seulement quand tu auras commencé à t'aimer que tu VERRAS le monde tel qu'il est et que tu commenceras à l'aimer et à vivre.

Bisous <3
Mon coeur explose de joie.
Merci, merci merci la vie.
Je nous aime.





Mickaël Faivre Maçon 

mercredi 4 janvier 2017

Rencontres...

Chaque rencontre que vous faites est aussi un rendez-vous avec vous!
Notre vie est parsemée de rencontres. Certaines sont là pour nous secouer, nous réveiller, d’autres sont là pour nous soutenir, nous réconforter. Quelques-unes sont sur notre chemin pour nous faire découvrir de nouvelles facettes de nous, d’autres pour nous inciter à nous ouvrir davantage au monde.
Il y a des rencontres qui créent des relations temporaires, nécessaires pour faire des « déclics », d’autres qui dureront dans le temps ou qui nous marqueront pour longtemps. Chacune de ces rencontres constitue à la fois un rendez-vous avec soi et un rendez-vous avec l’autre.
Chaque fois, nous réagissons d’abord avec notre histoire personnelle, nos antécédents, nos émotions, nos espoirs, nos peurs, notre besoin d’être aimé. Parfois, nous sommes animés par un désir profond de connaître l’autre et d’élargir notre horizon alors que, d'autres fois, nos peurs nous incitent à nous refermer et à rentrer dans notre coquille, refusant ainsi la rencontre.
En 2017, prenons conscience qu’une personne est toujours placée sur notre chemin d’évolution pour une bonne raison. Ouvrons-nous à la rencontre, en portant attention à ce qu’elle éveille en nous. Quand elle a lieu dans la conscience de soi, une rencontre est toujours une occasion de croissance.
Et nous aurons toujours le choix : celui de passer à côté d’une rencontre importante ou celui de faire confiance en la vie et en notre capacité d’être en contact à la fois avec soi et avec l'autre, dans l’ouverture du cœur et de l’esprit.
S’ouvrir à l’autre, c’est grandir dans l’appréciation à la fois de ce qui nous unit et de ce qui nous différencie. Dans les deux cas, nous sommes gagnants!