jeudi 28 août 2014

le langage verbal et le langage vibratoire

Il est important de différencier ces deux modes d’expression car ils participent à la libération de l’être.
Le langage verbal est celui qui est conditionné par le paraître, les croyances, les idéologies et les codes moraux.
Le langage vibratoire est celui que dégage l’être depuis son intériorité et ses schémas émotionnels, qu’ils soient conscients ou inconscients. L’idéal est effectivement que les deux correspondent, ils démontrent l’authenticité de la personne ainsi que sa clarté intérieure.
Cependant, surtout pour les personnes qui ne sont pas dans la conscience de l’éveil, les deux sont souvent en décalage. Même dans notre quotidien, nous pouvons dire aux autres que tout va bien alors que nous nous sentons fatigué ou déprimé. C’est certes léger, mais c’est un décalage entre notre vécu et nos affirmations. S’honorer en tant qu’être c’est apprendre à exprimer sa vérité quelque soient les circonstances, bien au-delà des codes moraux ou sociaux. Et nous n’avons pas forcément l’habitude d’écouter la vibration ; ainsi, lors de certaines rencontres, nous pouvons avoir l’impression d’être jugé ou mal accueilli, mais nous nous disons que « nous nous faisons un film » car la personne semble aimable. En fait, nous avons capté la vibration issue de ses premières pensées à notre égard, avant qu’elle ne s’exprime depuis son conditionnement, son paraître.
Cela est souvent anodin, mais c’est une accumulation de petits faits, de petites réactions qui sur le long terme nous amènent à douter de nous, à ne plus faire confiance à nos perceptions intérieures puisqu’elles ne correspondent pas aux signaux extérieurs.
Ce qui est encore plus déstructurant, c’est lorsque ce décalage s’est mis en place dans l’enfance par un comportement parental ambivalent. Il peut y avoir plusieurs cas de figure lorsque le parent utilise par exemple des mots doux alors qu’il contient une violence refoulée, lorsqu’il sourit alors qu’il pleure intérieurement, lorsqu’il exprime aussi un amour de manque, c’est-à-dire qu’il vous demande inconsciemment de remplir son vide intérieur au lieu de vous offrir sa présence.
Il est donc important d’examiner tout cela, et de rester fixé sur ses propres impressions. C’est un apprentissage qui ne s’acquiert pas du jour au lendemain, il s’agit d’apprendre à se valider intérieurement, de ne pas remettre en cause son ressenti intérieur. Pour cela, il faut d’abord savoir exprimer une neutralité bienveillante qui permet de ne pas projeter sur l’autre ses propres schémas et croyances, d’être dans l’accueil tout simplement de ce qui se présente. C’est ensuite comprendre que l’autre fonctionne depuis son propre univers intérieur et que ses comportements n’ont pas vraiment de rapport avec nous.
Conscientiser tout cela permet de retrouver confiance en Soi ainsi qu’un authentique respect car c’est une écoute profonde de notre guidance intérieure, qui nous mène toujours vers davantage de paix, de sérénité, de construction et d’autonomie.



Sophie Riehl

La solitude et l'amour...

La solitude active le sentiment illusoire que nous sommes tous séparés les uns des autres et c’est la raison pour laquelle nombreux sont ceux et celles qui la fuient « comme la peste ». Certains préférant parfois être mal accompagnés plutôt que de se retrouver seuls. Il est évident qu’en ce monde où la dualité créé l’illusion de séparativité, la solitude renforce cette croyance puisque lorsque nous nous retrouvons seuls nous avons l’impression de ne servir à rien, de ne rien pouvoir partager avec les autres et de ne plus ressentir l’amour
(celui que nous pourrions partager mais aussi recevoir).
C’’est la raison principale pour laquelle les différents moyens technologiques comme Internet sont tant utilisés afin de rompre cette apparente solitude par le biais de réseaux sociaux et sites de rencontre. Cependant cet outil aussi efficace soit il -puisqu’il permet de communiquer avec des personnes éloignées- provoque aussi l’effet contraire et renforce cette sensation de solitude. Ainsi nombreux sont ceux et celles qui ayant des centaines d’ami( e) s sur Face book se sentent encore plus seuls et malheureux car ils n’ont pas ou peu d’amis en chair et en os avec lesquels ils pourraient partager des sentiments, de la joie, et ressentir l’onde d’amour qui unit tous les Etres.
Le fait de partager des vidéos, films, photos, informations, musiques et écrits sur ces liens sociaux ne peut remplacer la relation directe avec un être vivant. Tout ce qui est partagé via ces liens ne nourrit que l’intellect et ne peut en aucun cas nourrir la « faim d’amour » qui nous tenaille tous. Même si l’on ressent un peu de joie en voyant certaines vidéos de personnes originales ou heureuses qui partagent leurs souvenirs heureux cela ne fait que susciter davantage l’impression de vide si soi même on vit une période difficile.
Lorsque des amis nous invitent à visiter le film d’un voyage ce qui nous réjouit le plus c’est de revoir ces amis afin de partager un moment convivial et non pas le film en lui-même.
Certes il est fort louable de partager des photos, vidéos, informations amusantes ou révélatrices mais de façon plus « impersonnelle » tout en privilégiant l’essentiel et éluder toute forme de publication trop axée sur le petit « moi » qui veut toujours démontrer qu’il est le plus beau, le plus gentil, le plus parfait, le plus réalisé.. Peut être accomplirions nous ainsi un acte écologique vis-à-vis de la pensée humaine et aurions nous ainsi plus de temps pour nous rencontrer pour de vrai et nous faire des amis à côté de chez nous plutôt que de rêver à des amis du bout du monde.
La technologie peut nous amener à l’inverse de ce que nous désirons vraiment : ne pas nous sentir seuls et avoir des vrais amis et non des amis virtuels (nous avons déjà l’argent virtuel et pouvons percevoir où cela nous mène : encore plus dans l’illusion). Le fait de disposer d’une multitude de distractions à domicile nous enferme davantage dans la solitude et aujourd’hui nous nous retrouvons dans une solitude de multitude. Chacun reste seul et soi et communique des infos au bout du monde sans même connaitre son voisin de pallier.
Dame solitude enseigne
Vivre seul n’est pas mince affaire car « dame solitude » nous oblige à aimer ce que nous sommes et ce qui nous entoure. Elle nous invite à prendre conscience que tout ce qui nous arrive est le fruit de nos pensées et de nos choix puisque personne d’autre ne vit avec nous. Nous n’avons donc qu’à nous en prendre à nous.
Sommes nous de « bonne compagnie ? » la solitude nous le révèle -sommes nous de caractère joyeux ou grincheux ? la solitude nous le révèle – Savons- nous véritablement aimer ? la solitude nous le révèle -Si nous ne sommes pas capables d’aimer « tout ce que nous sommes » nous ne pouvons aimer les autres. Dame solitude nous incite à redécouvrir qui nous sommes, à nous pardonner, à nous réconcilier avec nous-mêmes afin d’apprendre enfin à « nous aimer » avant de vouloir aimer ou être aimé des autres.
A l’opposé de ceux qui fuient la solitude, les sages et yogis recherchent celle-ci car ils savent que pour réaliser l’union sacrée avec le Soi il faut se dissocier du groupe (’inconscient collectif) et seule une vie solitaire permet de percevoir les effets des causes que l’on créé par les formes pensées. Lorsqu’on vit à plusieurs on ne sait jamais vraiment si le problème qui se concrétise dans notre vie résulte de notre façon d’agir et de penser ou de celle de nos compagnons de vie et nous accusons ainsi les autres de nos malheurs, ce qui devient impossible lorsqu’on vit seul.
Bonne et mauvaise solitude
Lorsqu’on se retrouve dans une période de solitude nous avons la possibilité de choisir entre deux formes de pensées :
  • soit nous nous immergeons dans les zones du bas astral (culpabilité, remord, frustrations, remords, souvenirs) et restons prisonniers du passé ce qui transforme notre existence en une sorte de prison morbide ou la dépression nous accompagne.
  • soit nous orientons notre conscience vers le Plan causal nous pratiquons avec assiduité et joie une discipline de vie intérieur qui nous amener à sortir de l’illusion de séparation.
A chaque fois que nous sortons d’une situation conflictuelle (divorce, séparation, maladie) il importe d’accepter pendant un certain temps cette solitude salvatrice qui nous permet de faire le point, de nettoyer nos mémoires et de remettre nos pendules à l’heure. Tant que nous n’accomplissons pas cette retraite salvatrice nous ne faisons que projeter nos problématiques dans les nouvelles situations et tout recommence comme avant. Après chaque séparation affective il importe avant de nous lancer dans une nouvelle relation de prendre du recul et d’observer à partir de Notre conscience supérieure ( Soi) ce qui s’est vraiment passé – ce qui dans notre comportement a déclenché le processus , ou de prendre conscience du manque d’affinité qu’il y avait avec la personne dont on est séparé. Cette mise au point doit être faite à partir du Soi car tant qu’elle est réalisée à partir du « moi » elle reste empreinte de jugements sur soi même ou sur l’autre que l’on à quitté.
Dépression ou Vide quantique
Lorsqu’on choisit la première possibilité (ressasser le passé à partir du moi) on reste prisonnier des vieux schémas et on entre dans l’expérience du « vide » : on n’a plus envie de rien (plus de projets, de désirs, de joie) On déprime.au sein du « vide astral » ou « ombre » et l’on « souffre inutilement » en voulant réparer ou recréer un passé qui est mort. Cela nous amène à dépérir voire à nourrir des tendances suicidaires. Ce « vide »
nous aspire comme un trou noir sans fin amenant vers un néant éternel. On se sent seul au monde, comme si Dieu lui-même nous avait rejeté.

Lorsqu’on choisit la seconde possibilité on accède petit à petit à d’autres plans de conscience. La méditation, le yoga, la maitrise du souffle, les arts martiaux, les études de textes sacrés sont des disciplines efficaces pour se relier au Soi supérieur et d’entrer en connexion avec le « Vide quantique » qui est « plein du Tout ». Celui-ci contient « tous les possibles à vivre » : il est la mémoire omniprésente de la Source et lorsqu’on entre en connexion avec ce plan une multitude de possibles nouveaux se présentent à nous. C’est ainsi que la solitude méditative nous amène à ressentir que nous ne sommes pas seuls. Nous ressentons l’Onde d’amour ( ou Vie) comme une réalité et percevons que celle-ci est omniprésente et se manifeste par tous les formes visibles et invisibles qui nous environnent : l’air, le feu, l’eau, les végétaux, les minéraux, les nuages, la pluie, le soleil, les humains, les animaux, les abeilles… tous deviennent partie intégrante de notre ressenti. Nous devenons « un » avec notre environnement et Un avec l’univers que nous percevons (qui est notre véritable corps ) .
Le Vide quantique contient la Conscience Universelle qui par le biais de l’Onde de vie émanant du Verbe originel (Om) se transfère en toutes les formes de vie qu’elle anime et c’est le mouvement des particules qui génère l’énergie vitale et vibrale qui maintient les particules atomiques en transe en danse…
Lorsque nous ressentons cela nous sortons de la « phase de solitude » puisque nous percevons que celle-ci était illusion et nous pouvons ressentir l’Amour pour toutes les formes de vie y compris nous-mêmes et ceci que l’on soit seul ou en groupe. Tout ce qui nous entoure est « nous » sous une autre forme (depuis le fruit que nous mangeons à l’ami)
Cette nourriture indispensable à toute forme de vie qu’est l’Amour se révèle ainsi omniprésente à notre conscience. On sort alors définitivement de cette notion de manque (généré par la fausse solitude dépressive) pour entrer dans la plénitude de l’amour : quand on est pulsé par l’Onde d’Amour – Eros Christ- on devient Elle et on ne peut pas être séparé de Ce que l’On Est et où que l’on aille celle-ci rayonne depuis notre cœur vers la périphérie : on ne peut jamais se sentir seul.
La solitude peut nous enfermer ou nous guérir..Tout dépend de la façon dont nous orientons notre Pensée via notre Attention..
A suivre…


Christian Duval

Sortir de l'illusion et retrouver la magie ...


Une personne demande au Bouddha Siddharta:
"Je veux le bonheur"


Bouddha lui répond:
" Enlève le "je" qui correspond à l'égo,
" Enlève le "veux" qui correspond au désir,


... que reste t il? LE BONHEUR

Laisser renaître l'enfant intérieur.....



De plus en plus d'individus ont oublié leur enfant intérieur.
Dès notre naissance, les adultes dans notre vie nous forcent à être "normal" comme eux.
Avec le temps, nous adoptons une personnalité pour répondre aux demandes des adultes.
Devenus adultes, nous oublions donc (ou presque) notre individualité première, notre "Je suis".
En observant le comportement des adultes vis-à-vis les enfants qui insistent à être eux-mêmes, il est facile de constater comment l'enfant intérieur de ces adultes a lui aussi été profondément refoulé.
Ce refoulement de l'enfant intérieur écrase la spontanéité, la joie de vivre, la créativité, l'authenticité, la capacité de s'exprimer, la confiance en l'Univers, la capacité d'être naturel ainsi que le
respect de soi.

En effet, dès le très jeune âge, les adultes font la morale en ce qui a trait au bien, au mal, au correct, au pas correct, au supposé, au pas supposé, au normal, au pas normal, etc...
L'enfant pur qui n'est pas encore affecté ou influencé par le monde des adultes, ne s'inquiète pas devant ces critères arbitraires, élaborés par le mental. Il "est" ce qu'il est.
Il n'analyse pas qu'il est pour faire, dire ou ressentir quoi que ce soit; il est spontané, il ne se juge pas ou ne se critique pas même s'il se trompe; il admet son erreur sans se juger.
Lorsque nous nous jugeons ou que nous nous critiquons, nous nous basons nécessairement sur le passé, sur ce qui nous a déjà été appris.
C'est donc l'intellect, avec sa capacité de se souvenir, qui nous mène et qui nous dirige.

Prenons comme exemple, le temps des fêtes avec ses traditions et ses coutumes.
Nous exigeons d'eux de s'habiller, de se coiffer, de se comporter selon nos goûts et nos croyances d'adulte.
Nous leur achetons les cadeaux que nous aurions aimé recevoir étant enfants et nous nous attendons à ce que nos enfants soient reconnaissants.
Si un enfant se rebiffe parce qu'il ne veut pas embrasser tous ses oncles et tantes, nous le disputons, nous lui faisons la morale, nous essayons par tous les moyens possibles de le faire changer d'idée.
Nous lui enseignons donc que lorsqu'il est spontané et qu'il est lui-même, il n'est pas correct et nous lui donnons l'impression de ne pas l'aimer autant.
Il apprend que faire comme les autres veut dire être aimé davantage.
Si l'enfant décide de croire à cela, voilà qu'une partie de lui est refoulée et cet enfant risque de continuer à faire des pirouettes pour être aimé, tout au long de sa vie d'adulte.

La vie devient très lourde lorsque nous laissons notre mental (intellect) décider de notre comportement..
Nous devons constamment s'y référer avant de faire quoi que ce soit.
Nous devenons alors, par choix, son prisonnier.
Nous ne sommes plus maîtres de notre vie, puisque nous avons élu notre mental comme notre maître.
Si parfois nous osons agir selon notre intuition, nos désirs, sans vérifier avec le mental, et que cela s'avère être le contraire de ce que ce dernier croit, nous nous sentons tout de suite coupable.
De là est engendré le besoin de se punir et de souffrir car nous nous sommes déclarés coupable.
Du même coup, nous étouffons notre joie de vivre.
Plus nous nous accusons, plus nous nous jugeons et plus il devient difficile de laisser notre créativité s'exprimer.
Être créatif ne veut pas nécessairement dire "inventer" quelque chose, ça veut dire aussi savoir ce que nous voulons, décider de le faire arriver dans notre vie et de passer à l'action.
Être créatif fait aussi partie de vivre le moment présent.

Lorsque nous répétons une action machinalement, nous le faisons sur du déjà appris; ceci n'est donc pas être dans le moment présent.
C'est en créant que nous nous sentons remplis de bonheur.
Par la suite, il n'y a plus ce sentiment de vide à l'intérieur de nous, vide que nous devons combler absolument, peu importe comment.
Quand nous nous laissons diriger plus jeunes, il devient difficile d'avoir confiance en soi et d'oser passer à l'action sans avoir peur des résultats à l'âge adulte.
Nous oublions de voir tous les bienfaits à retirer d'une expérience vécue même si le résultat ne s'avère pas ce que nous avions anticipé.
Pour être créatifs sans être stressés, nous devons nous ouvrir à tous les résultats possibles, tout en sachant qu'il n'y a pas d'erreurs, qu'il n'y a que des expériences et que nous y apprenons toujours quelque chose de bénéfique.
C'est ainsi que nous développons la confiance en l'Univers.
Le jeune enfant (pas encore influencé par le monde des adultes) ne s'inquiète pas de son prochain repas ou du lendemain.
Il est comme un oiseau qui veut apprendre le plus vite possible à voler de ses ailes afin de faire ses propres expériences. Il n'analyse pas le comment ni le pourquoi.
Il est spontané, naturel.
Par après, l'enfant commence à analyser et à demander "pourquoi" lorsqu'il devient plus conscient du monde mental des adultes et de leur comportement peu naturel.
Il est déconcerté; il cherche à comprendre.
Alors commencent les peurs en lui; il s'habitue lentement au raisonnement des adultes; il oublie sa spontanéité et sa capacité de risquer sans peurs.
Je sais qu'en lisant ces lignes, le mental de la plupart des lecteurs se révolte et dit: "Quel non sens! Nous ne pouvons pas laisser un enfant à lui-même. Nous devons le diriger. S'il n'a pas peur, il risquera n'importe quoi et il lui arrivera des accidents, ou d'autres malheurs !"
Croyez-vous que vos enfants sont des idiots ?
Qu'ils n'ont aucun instinct de survie ou aucune intuition ?
Croyez-vous sincèrement que les accidents ne sont que pour les personnes qui n'ont peur de rien, enfants ou adultes ?
Au contraire ce sont la peur et la culpabilité qui causent le plus grand nombre d'accidents.
L'adulte doit guider son enfant au meilleur de sa connaissance afin que cette âme qui est revenue dans ce corps d'enfant ré-apprenne à vivre dans ce nouvel environnement terrestre.
Guider ne veut pas dire diriger mais veut dire donner des conseils, suggérer, enseigner par l'exemple, tout en respectant le choix de l'enfant.
Si ce dernier choisit le contraire, ce choix lui appartient, il apprendra ainsi que toute action a une conséquence et qu'il doit assumer les conséquences de ses décisions.
Cet enfant deviendra un adulte responsable.
Tous les parents désirent avoir des enfants responsables mais la plupart font le contraire de ce qui est nécessaire pour arriver à ce résultat.
Ils traitent leur enfant comme des idiots en voulant tout diriger pour lui, en ne lui faisant pas confiance.
Ils décident pour lui de l'heure des repas, de ce que son corps a besoin de manger, de ses vêtements, de ses heures de sommeil, de ses amis, de ses sorties, de ses études et même parfois du métier qu'il devra exercer plus tard.
L'enfant grandit avec la croyance qu'il ne peut rien décider par lui-même ou qu'il n'a pas la force nécessaire pour endosser les conséquences de ses actes.
Nous devons, dès le jeune âge, enseigner à l'enfant ses droits d'enfant ainsi que les droits des parents envers l'enfant.
En réalité, aucun être humain n'a de droit spécifique sur un autre.
L'enfant ne doit pas croire que ses parents sont responsables de son existence parce qu'ils l'ont mis au monde.
Il doit reconnaître que ce fut son choix de revenir s'incarner et qu'il n'est qu'un "hôte" chez eux.

Cependant, par la procréation, les parents s'engagent à s'occuper de leur enfant jusqu'à ce que celui-ci puisse subvenir à ses propres besoins.
Si les parents veulent bien en faire plus, ce sera un cadeau de plus pour lui.
Les parents n'ont pas de droits sur leur enfant non plus.
Ils ne peuvent exiger qu'il leur soit soumis simplement parce qu'ils sont ses parents. Il doit y avoir un respect mutuel entre enfants et parents.
Par exemple: si un enfant accomplit une tâche pour laquelle une autre personne aurait dû être spécialement engagée s'il ne s'en était pas occupé lui-même, cette tâche devient un travail utile pour tous et il devrait être rémunéré au même titre qu'un autre l'aurait été.
On lui enseigne ainsi que l'accomplissement d'un travail ou d'une tâche lui donne des droits.
En dehors de cela, dans sa vie d'enfant ou d'adulte, il n'a aucun droit.
Ce qu'il reçoit en surplus est un cadeau.
Un autre exemple, durant le temps des fêtes ou lors d'un anniversaire, personne n'est obligé de faire un cadeau à une autre personne.
Ce n'est pas un dû; c'est tout simplement devenu une coutume.
Le parent n'est pas plus obligé de faire un cadeau à l'enfant que l'enfant au parent.
L'enfant qui s'attend à recevoir des cadeaux, en croyant que ça lui est dû, sans penser lui aussi à en faire, aura de la difficulté, dans sa vie d'adulte à être en harmonie dans sa capacité de donner et de recevoir.
Il deviendra un preneur.

Un autre aspect de l'enfant intérieur avec lequel nous devons reprendre contact est la capacité de s'exprimer.
Le jeune enfant encore pur, crie, pleure, est pensif, sourit, rit de bon coeur, dit "non" ou "oui" selon ses besoins, enfin il est naturel.
Être naturel est un des aspects qui est le plus étouffé, brimé, contrôlé par les adultes.
"Sois beau et tais-toi." Voilà ce que l'enfant perçoit de ses parents très souvent.
Lorsqu'il pleure à un moment qui dérange un adulte, on fait tout pour l'arrêter de pleurer, même au prix de lui faire du tort, en lui donnant une suce avec du sucre, en lui donnant une bouteille de lait ou de la nourriture.
Lorsqu'il grandit, on l'enferme dans sa chambre en le traitant d'insupportable.
Si le bébé pleure malgré le fait que ses besoins physiques soient comblés, il serait tellement plus bénéfique de lui enseigner de se donner le droit de pleurer et que c'est son choix à lui.
Le parent qui sait qu'il a fait au meilleur de lui-même pour son enfant n'a pas à se sentir coupable si l'enfant choisit de pleurer.
L'enfant apprendra à se laisser aller, à vivre sa peine et assumera sa décision de pleurer. Il ressentira également qu'il est aimé pareil.
Autrement, on lui enseigne que lorsqu'il a de la peine, il n'a pas le droit de l'exprimer voire même de la ressentir.
À la place, il doit soit boire ou manger ou encore se convaincre qu'il est insupportable, qu'il n'est pas correct d'avoir de la peine.
Même chose que lorsque l'enfant dit qu'il a peur, on essaie de le convaincre qu'il n'a pas peur, que sa peur n'est pas bien fondée, plutôt que de lui enseigner à accepter cette peur.
Quel monde merveilleux ce serait si tous les adultes pouvaient se sentir à l'aise d'exprimer ce qu'ils sont, de se donner le droit de dire "non" ou "oui" à eux-mêmes ou aux autres au lieu de faire le contraire de ce qu'ils ressentent pour être "correct" ou "aimés" des autres.
Si l'enfant pouvait donner son opinion ou avait le droit de dire qu'il n'est pas d'accord avec ses parents sans se faire clouer le bec ou se faire culpabiliser, il y apprendrait le respect.
L'enfant grandit en croyant que son opinion, son idée, ne vaut pas grand chose, qu'il est même mieux de la taire afin d'être aimé davantage.
Comment s'attendre à ce que l'enfant respecte ses parents ou le monde des adultes en général?
Comment s'attendre, une fois devenu adulte, que cette personne se respecte et s'aime pour ce qu'elle est?
Au contraire, cette personne développera plutôt plusieurs aspects d'une personnalité qui vise à plaire aux autres et refoulera ainsi complètement sa propre individualité.
Ainsi sont rassemblés peu à peu les éléments qui finissent par créer les problèmes de communication, de relation, de poids, les maladies, le stress, d'alcool, de drogue, etc.
Il est donc impératif, même urgent pour chacun de nous de se prendre en mains; de devenir conscient qu'en étouffant l'enfant en nous, nous avons perdu une clé importante pour notre bonheur et que nous en sommes le seul responsable.
C'est le résultat de notre réaction à l'éducation reçue de nos parents et de nos éducateurs.
Nous oublions qu'ils nous ont donné ce qu'ils pouvaient, ce qu'ils savaient, ce qu'ils avaient eux-mêmes reçu de la génération précédente.
Heureusement que maintenant avec l'ère du Verseau, nous sommes entourés d'aide afin de se prendre en main et de retourner au naturel de l'enfant plutôt que de rester dans le normal des adultes.
Nos parents et éducateurs n'ont pas eu cette chance.
Alors en faisant notre propre transformation, nous les aidons très souvent, sans le rechercher, à faire la leur.
N'attendez plus, décidez aujourd'hui-même que vous pouvez reprendre contact avec l'enfant en vous et passez à l'action.
Vous seul pouvez le faire ; aucune autre personne, encore moins la société, ne peut le faire pour vous!
Reprenez contact avec votre puissance intérieure!
Devenez conscient de votre belle lumière intérieure! 



Lise Bourbeau

Aimez-vous.....



" Si vous attendez toujours qu’on pense à vous, qu’on vous comprenne, qu’on vous aide, qu’on vous aime, vous ne serez jamais heureux, car tout le monde a ses soucis, ses problèmes.

Quelqu’un sera peut-être près de vous un moment, mais le moment suivant il sera occupé ailleurs et vous devrez vous débrouiller seul.

C’est pourquoi je vous dis : ne comptez pas tellement sur les autres, car leur attention, leur amitié, leur amour sont des choses trop incertaines.

Un moment, vous vous sentirez compris, soutenu, mais le moment suivant, que va-t-il se passer ?

Il ne faut rien attendre des autres, et surtout pas leur amour.

Il peut venir, bien sûr, il peut venir même sans arrêt ; s’il vient, il sera le bienvenu, et vous remercierez le Ciel, mais il ne faut pas l’attendre.

Voulez-vous être heureux ?

Ne demandez pas d’être aimé, mais aimez, vous, jour et nuit, et vous serez sans arrêt dans le bonheur.

Peut-être qu’un jour il vous tombera dessus un amour formidable…
Oui, pourquoi pas ? Cela peut venir, mais ne l’attendez pas ...."


Omraam Mikhaël Aïvanhov

dimanche 24 août 2014

Pourquoi les gens ne guérissent pas....

Voici un texte que j’ai reçu d’une amie qui vit au Brésil. Je l’ai traduit pour pouvoir vous en faire profiter, car son contenu est admirable et extraordinairement clair ! Et tellement vrai…

Pourquoi les gens ne guérissent pas ? de Maria de los Ángeles Rodeiro


Un médecin intuitif partage avec nous sa vision unique de la raison pour laquelle les gens ne guérissent pas. Il a longtemps pensé que tout le monde voulait être guéri. Mais il a fini par se rendre compte que « la guérison était très désagréable ! »

Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passéde cesser d’être une victime, et la peur du changement. Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.

La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures. Ce médecin dit que la seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé.
Refuser de pardonner à un évènement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites. Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées.
Il a plus à voir avec la liberté de la personne qui se perçoit comme une victime.
Quand nous arrivons à voir un évènement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet évènement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.

Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime. Trop souvent, les gens obtiennent du pouvoir sur les autres grâce à leurs blessures parce qu’ils ont trouvé que ça leur apportait du soutien. Les blessures deviennent alors un moyen de manipuler et de contrôler les autres.
La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. Le changement peut être effrayant !!!
Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…
Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.
La guérison nécessite une action. Manger, l’exercice quotidien, prendre le bon médicament produisent des changements sains dans le physique.
Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.
Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’énergie sont intimement liées.
Même le processus de la mort auquel nous sommes tous confrontés, peut devenir un acte de guérison des vieilles blessures qui se libèrent en résolvant les questions laissées en suspens avec ses proches.

Je remercie Daniela Sorino de m’avoir fait connaître ce texte et je vous invite à méditer ces paroles enseignantes…


Energie strategie liberté

samedi 23 août 2014

Parole d'un Maître....

« Une personne qui traverse une épreuve vient vous confier son chagrin. Mais souvent, c’est moins pour que vous l’aidiez à trouver une solution que pour vous amener à partager ce chagrin.

Alors là, attention ! Car si vous vous laissez envahir par son trouble, vous ne l’aiderez pas, au contraire, vous serez paralysé et vous allez vous enfoncer avec elle. Par votre sympathie, votre compassion, vous croyez pouvoir lui apporter l’apaisement ? Oui, pour un moment sans doute, mais peu de temps après les plaintes, les pleurs recommencent, et cela peut continuer sans fin. Cette personne sera satisfaite que vous soyez toujours là, prêt à l’écouter, à souffrir avec elle, mais elle n’ira pas mieux pour autant. Et vous, dans quel état serez-vous ?

Si vous voulez être utile à quelqu’un qui souffre, ne permettez pas que son trouble pénètre en vous. Vous ne pouvez l’aider à redresser la situation qu’en opposant une certaine résistance à sa souffrance, à son découragement. Restez lucide, paisible, solide, en affirmant intérieurement la puissance de la lumière. » 



Omraam Mikhaël Aïvanhov

vendredi 22 août 2014

Chacun vient en ce monde pour écrire sa légende sur la trame existentielle..............


CHACUN VIENT EN CE MONDE POUR ECRIRE SA LEGENDE SUR LA TRAME EXISTENTIELLE

La Terre est un immense studio de Cinéma où au milieu d’une multitude de décors possibles chacun de nous vient tourner un film dont le scénario est pré enregistré en notre inconscient. Toutes les personnes que l’on rencontre deviennent acteurs ou figurants dans notre scénario mais chacun reste l’acteur principal de son propre film tout en étant simultanément acteur de second rôle ou figurant dans le film des autres.
Lorsque notre conscience s’ouvre à d’autres horizons grâce à la reliance avec notre Soi nous nous pouvons alors accéder au rôle de metteur en scène (tout en demeurant acteur) puis réalisateur. Quand nous atteignons le stade de « producteur » nous pouvons aider les autres à réaliser leur film en y participant en tant que bienfaiteur sans intervenir plus que cela ; chacun devant rester libre.
Chaque « acteur » ou « figurant » se présentant sur notre scène de tournage (existence) y a été invité par nous de façon consciente ou inconsciente, personne ne peut venir sur notre scène si nous ne l’avons pas invité un jour dans le temps. Ainsi tous amis ou ennemis sont nos invités et chacun à été choisi pour jouer un rôle particulier que nous avons-nous-mêmes déterminé dans notre script originel.
Le décor de notre vie, nos proches, nos amis, ennemis, situation de vie, environnement, situation sociale, forme de notre corps… tout à été choisi avec minutie par notre Soi… rien n’est laissé au hasard. Ainsi tous ceux que nous rencontrons sont là pour nous aider à jouer le mieux possible notre rôle. Chacun est le héros de son propre scénario mais celui-ci doit passer par une multitude d’épreuves pour affirmer les qualités de son personnage.

Les 12 Travaux d’Hercule : nos scénarios
Dans ce studio « Terre » il y a 12 grands décors possibles, chacun est marqué d’un signe Céleste et contient un potentiel à découvrir et à incarner. Hercule nous à montré la Voie : 12 travaux sont à réaliser et chaque vie est un travail à accomplir. Notre signe astrologique de naissance nous en révèle l’Essence. Ainsi de vie de vie nous tissons notre Légende et découvrons et incarnons les 12 vertus au sein des 12 « Terres zodiacales ».
Tant que nous n’avons pas réalisé l’exploit digne du Héros dont nous avons revêtu l’archétype pour une existence donnée (vertu d’un signe zodiacal) nous revenons tourner ce film dans un autre décor dans une autre époque et dans un autre corps et la plupart des figurants de notre film raté reviennent eux aussi sous une autre identité… ainsi tant que nous n’avons pas accompli notre tâche nous nous réincarnons sous le même signe zodiacal.
La signature de notre film est donc révélée par le signe zodiacal où se trouve notre Soleil natal ( qui est en quelque sorte le programme de notre Ame pour cette vie) et pour accomplir notre Quête nous nous revêtons d’une Identité corporelle une Personnalité particulière qui elle aussi est marquée d’un signe zodiacal : c’est le signe zodiacal qui apparait à l’horizon a l’heure exacte de notre naissance et celle-ci détermine nos caractéristiques personnelles ( caractère, forme du corps, talents latents) ainsi nous disposons d’un signe solaire ( mission de vie – âme ) et d’un signe ascendant ( moyen donné pour réaliser celle-ci – corps ).
Ainsi un « acteur » né sous le signe du Verseau avec un Ascendant Sagittaire devra accomplir le 11° travail d’Hercule (Nettoyage des Ecuries d’Augias) en incarnant simultanément les vertus du Sagittaire qui correspond au 9° travail d’Hercule (chasser les oiseaux du Lac de Stymphale).
Dans la première partie de sa vie l’acteur étant en « apprenti-sage » incarne les qualités et défauts de son signe Ascendant (Sagittaire dans cet exemple) il s’extériorise par des actions issues de sa volonté et de sa polarité masculine (il se forge un caractère) Cependant il se trouve face à des besoins existentiels qui l’obligent à chercher en son intériorité « autre chose » et c’est alors qu’il entre en contact avec son Ame (via sa polarité féminine) et commence à incarner les qualités et vertus de son signe solaire (Verseau dans cet exemple)
Puis vient la 3° phase qui est celle du « mariage » entre les deux polarités : c’est ainsi que dans l’exemple cité l’acteur va incarner les vertus de son signe solaire (Verseau) par le biais de son ascendant Sagittaire. S’il a atteint un certain niveau de conscience où il n’exprime que les vertus de ces deux signes intégrés il devient un « très bon acteur » et cet épisode de sa vie existentielle s’écrit dans le Grand Livre de la Légende. Celui-ci contient telle une Vidéothèque ou Bibliothèque contient toutes les trames Légendaires.
Ainsi la Source offre 12 Travaux à vivre sous une forme subjective (telle que révélée par le Mythe d’Hercule) et chaque Ame incarnée écrit sa propre Histoire à partir de cela via l’incarnation.

Tant que l’acteur se contente de manifester les défauts de son signe solaire ou ascendant il ne peut incarner l’Archétype révélé par sa Mission d’Ame et il doit revenir pour recommencer une nouvelle vie, pour retourner un film jusqu’à ce qu’il arrive à son but. Le travail d’Intégration des deux signes solaire et ascendant ne peut s’accomplir tant qu’il demeure des scories existentielles résultant des événements vécus.
Ainsi dans le cas précité si l’acteur Verseau /Sagittaire ne réussit pas sa quête Héroïque il devra se réincarner plusieurs fois sous ce signe avec un autre ascendant pour multiplier l’expérience. Dans l’Absolu il suffirait donc de 144 incarnations pour avoir exploré les 12 Terres zodiacales : soit 12 incarnations dans chaque signe avec un Ascendant différent à chaque fois mais c’est rarement le cas ainsi nombreuses âmes ont des milliers d’incarnations à leur actif et ce qui dommageable c’est que certaines se glorifient d’être des vieilles âmes alors qu’en fait une vieille âme n’est jamais qu’une âme qui redouble une multitude de fois ses classes.

Le chaudron zodiacal
Chaque signe zodiacal renferme un « potentiel » à découvrir qui est le reflet holographique de la Mère Céleste qui sous Identité d’une Constellation à participé à la Création de notre Monde. 12 Mères généticiennes ou Elohim ont œuvré pour concocter le Grand chaudron Zodiacal au sein de la Voie Lactée ou chacun à déversé sa « Connaissance ». Les 12 Crânes de Cristal déposés sur Terre qui sont des manifestations cristallines temporelles de ces Elohim Source maintiennent par leur radiation la Mémoire activée. Chaque signe zodiacal est en relation directe avec un Chainon de l’ADN quantique. Ainsi Jésus à été le déclencheur, le 13° Crâne et chaque Apôtre représentait une Constellation Zodiacale. Jésus à réalisé les 12 travaux d’Hercule et a réactivé les 12 codons ADN au sein de notre mémoire génétique Christalline, il ne nous reste plus qu’à suivre l’exemple.
Depuis des Eons de temps nous venons donc tourner une partie du grand scénario qu’est le notre, le thème astrologique donne certaines indications pour faire le point mais comme nous vivons la fin des temps, il parait évident que le Signe solaire et Ascendant qui sont nôtres sont des Clés importantes pour chacun d’entre nous puisque c’est en réalisant les 2 Travaux qui nous incombent en cette vie que nous pouvons « ascensionner »…nous n’avons pas choisi ces « signes zodiacaux » au hasard.
Pendant une bonne partie de mon existence je me suis penché sur l’étude des « signes » révélés dans les thèmes de ceux qui me le demandaient, certes il existe d’autre paramètres que je ne peux citer ici mais qui sont aussi parlant ( la position des nœuds lunaires, de la lune, la lune noire etc.) c’est ainsi que je me suis efforcé d’aider chaque consultant à retrouver le Fil de sa Légende sans omettre toutefois le fait que c’est chacun qui choisit quoi faire de sa vie, certains se contentent de vivre les influences de leur ascendant ( ils restent dans la personnalité) d’autres se bercent dans les valeurs de leur âme ( ils s’égarent dans des rêves de vies antérieures ou futur ou dans de l’exotisme spirituel qui ne fait que leur faire perdre contact avec la réalité)
Le premier travail de reconnaissance consiste donc à percevoir que rien n’est pas hasard et que chacun où qu’il en soit de sa démarche est totalement responsable de ce qui lui est arrivé et lui arrive car tant qu’on n’a pas reconnu cette évidence on ne peut rien changer, tant qu’on accuse les autres de nos maux on leur donne du pouvoir puisqu’on pense qu’ils sont plus forts que nous .Tant qu’on se comporte en victime on invite les bourreaux dans notre vie, car les « autres » sont aussi nous et nous sommes simultanément la victime ( qui reçoit) et le bourreau ( qui émet ) et c’est ainsi que l’on passe une bonne partie de sa vie à utiliser une partie de nous pour lutter contre l’autre, qu’on utilise sa volonté pour lutter contre ses défauts, ce qui ne fait que les renforcer davantage.

Transmuter les défauts
Un défaut n’est qu’une qualité qui mal canalisé déborde de son cadre. Dans son premier travail (signe du Bélier) Hercule fait preuve de courage en maitrisant les cavales du Roi Diomède cependant il est trop impulsif (comme le sont souvent les Bélier) et à peine à t’il réalisé son exploit qu’il abandonne le troupeau à son aide et les cavales se révoltent et tuent ce dernier. Hercule doit recommencer sa quête et après avoir réuni à nouveaux les cavales il les ramène à l’Ecurie et ainsi accomplit en totalité ce qui lui était demandé. Le courage est une vertu, l’impulsivité qui se manifeste souvent sous forme de violence ou d’intrépidité est un défaut, il suffit de prendre conscience de cette énergie brute pour l’utiliser autrement ainsi les Arts Martiaux aident à canaliser cette énergie et à atteindre un degré de sagesse. Ces Arts étant issus de grands sages n’étant pas enseignés pour combattre mais uniquement pour canaliser les forces. Un Maitre en art martiaux ne cherche jamais la bagarre, bien au contraire, il apprend à maîtriser ses pulsions afin d’éviter les combats inutiles…
Ainsi on ne peut s’élever au dessus des « défauts » contenus dans les Signes zodiacaux qu’en prenant du recul et en changeant de point de vue. Hercule mi dieu mi Homme est l’Archétype de tout Etre humain (qu’il soit homme ou femme) qui doit épouser les 12 Terres zodiacales : nous disposons d’un corps humain et d’une âme Céleste et lorsque nous réalisons notre Quête Héroïque, celle-ci s’inscrit dans la Voûte Céleste qui est le Grand Livre de la Légende gardé par la Mère céleste.
Le Grand Livre de la Légende ne contient pas toutes nos histoires incarnationnelle puisque la plupart d’entre elles ne sont que des « ratés » mais uniquement celles qui révèlent comment nous avons triomphé des obstacles sur notre chemin.

Héros ou victime ?
Quand dans notre vie, tout semble aller mal on peut donc se lamenter et penser qu’on est rejeté des dieux ou mal aimé ou qu’on est né sous une mauvaise étoile et qu’on est un petit être fragile qui à besoin d’être protégé. On accepte le rôle de victime. On peut aussi opter pour l’autre version, celle du Héros et percevoir que tout ce qui nous arrive n’est ni punition karmique, ni manque de chance mais épreuve initiatique destinée à nous aider à nous dépasser. Toute épreuve est destinée à faire nos preuves, tout comme le Baccalauréat est une « épreuve » qui nous permet de démontrer nos compétences.
Alors dés que nous réveillons le Héros ou l’Héroïne en nous notre vision change et l’on s’aperçoit que toutes ces épreuves n’étaient destinées qu’à nous faire grandir, qu’à nous inciter à révéler qui nous étions face à certaines situations, ainsi chaque épreuve nous aide à passer de la théorie à la pratique.. Et seule l’expérience peut forger un Héros ou une Héroïne.
Nous ne sommes pas venus ici bas parce que ayant fautés nous avons été rejetés de l’Eden et punis pour notre désobéissance mais bel et bien parce que Héros et Héroïnes dans l’âme nous avons accepté d’expérimenter une fréquence lumineuse basse et dangereuse : nous sommes entrés dans un monde où même la Notion de Dieu le Père ou Dieu la Mère était rejeté. Un Monde où le Créateur lui-même à accepté de ne pas Etre reconnu et ou chacun de nous se doit de retrouver sa mémoire.
Nous sommes venus pour expérimenter ce que nous n’étions pas (limités, mortels) par le biais d’aventures en terres inconnues et parfois hostiles afin de Découvrir ce que nous Etions (illimités, immortels) et de Définir qui nous Etions (c’est à nous de choisir) Ainsi par notre Intermédiaire (nous avons été créés pour cela) le Créateur Père Mère a expérimenté tout ce qu’il n’était pas pour ré découvrir ce qu’Il Etait puisque lui aussi à participé à l’expérience en étant partie intégrante de nous. C’est ainsi que Grâce à cette expérience Il à exploré tous les possibles de lui-même et donc un Monde où n’existant pas il s’est révélé comme Existant.
Nous sommes ses Héros et Héroïnes, ses acteurs préférés et dés que l’un ou l’une d’entre nous lui ramène un Film à visionner il se réjouit à l’avance…
Dans d’autres articles je révélerais un à un ces différents travaux ainsi chacun pourra se faire une idée de ce qu’il est venu faire en cette vie et pourra ainsi faire de sa Vie Une Légende au lieu de se contenter d’errer dans une multitude d’histoires compliquées.



Christian Duval Wydyr

samedi 16 août 2014

La plus dangereuse des émotions

La plus dangereuse des émotions

Toute la journée nous entretenons une conversation intérieure avec nous-même, et parfois la nuit aussi.

Souvent, cela consiste à évaluer nos propres actions, à la manière d'un commentateur de football qui décrit les performances et les erreurs des joueurs pendant un match.

Mais à la différence des sportifs qui ne peuvent entendre les commentaires pendant qu'ils jouent, vous pouvez réellement « entendre » vos propres propos. Lorsqu'ils sont positifs « Ouais, je suis trop fort ! », ces commentaires peuvent vous encourager et vous pousser à vous dépasser.

Cependant, quand cette voix se fait critique, elle peut être émotionnellement destructrice.

« Mais quel nul ! »

Quand on a fait quelque chose de honteux, il n'est pas anormal qu'une voix intérieure nous dise « Mais qu'est-ce que tu es idiot ! »

Cependant, il peut aussi arriver que, sans que nous n'ayons rien fait de particulièrement répréhensible ou bête, nous soyons constamment en train de nous harceler nous-même mentalement. « Tu es grosse et moche, normal que personne ne s'intéresse à toi » ; « Tu es un nul, un raté » ; « Comme d'habitude, toujours sur moi que ça tombe » ; « tu ne réussiras jamais, jamais ! » ; « Mais qu'est-ce que j'ai l'air débile ! » ; « Qu'est-ce qu'ils doivent penser de moi ?! »

Vous êtes constamment en train de vous remettre en question et de douter. Vous êtes paralysé. Vous n'osez plus rien entreprendre.

Imaginez le scénario suivant, qui illustre combien ce monologue interne peut être destructeur :

Vous êtes à une petite réception donnée par un membre de votre famille. La conversation tourne au débat sur le dernier épisode d'une série télévisée que vous connaissez bien. Vous exprimez votre opinion, contestée par vos interlocuteurs, et bien que vous n'ayez rien dit de scandaleux, vous avez l'impression d'avoir fait une énorme gaffe. Vous avez détesté l'épisode tandis que les autres ont trouvé que c'était le meilleur. Votre petite voix intérieure recommence à vous faire la leçon : « Tu as encore manqué une occasion de te taire. Pourquoi est-ce que tu ne peux pas te retenir de parler quand personne n'est d'accord avec toi ? Tu donnes l'impression d'être complètement ignorant(e). Ils t'ont regardé(e) comme si tu étais un(e) gros(se) débile, etc., etc. »

Et plus vous écoutez les critiques que vous vous adressez à vous-même, plus vous vous coupez de la conversation qui continue autour de vous. En l'espace de quelques minutes, vous vous sentez si mal que vous quittez la fête. Dans les jours qui suivent, vous repassez l'épisode tellement de fois dans votre tête que vous finissez par regretter profondément d'avoir accepté l'invitation.

Retournez vos émotions en votre faveur

Mais prenons la situation dans l'autre sens. Imaginez la même scène, mais cette fois avec un dialogue intérieur constructif.

Rien n'a changé – vous avez exprimé une opinion contraire à celle de tous les autres. Votre dialogue intérieur prend la forme suivante : « Je suis bien content(e) d'avoir défendu mon point de vue » ; « Je pense que je me suis exprimé(e) de façon très claire ! » ; « Je n'ai pas manqué de panache, à prendre le contre-pied de tout le monde » ; « C'est juste un épisode d'une série ; j'ai bien le droit d'en penser ce que je veux. » Cette fois, vous vous confortez intérieurement, vous vous concentrez sur les aspects positifs de l'événement, et vous vous autorisez à être fier(fière) de ce que vous avez fait.

Mettez-vous dans la peau des autres

Si vous avez du mal à vous convaincre de vous tenir un tel discours positif, prenez la chose suivante en considération :

Imaginez que ce soit une autre personne dans l'assistance qui se soit trouvée à votre place. Lui auriez-vous tenu rigueur d'avoir exprimé son opinion ? Auriez-vous, pour ce seul fait, pensé à elle encore et encore en vous disant « Mais qu'est-ce qu'elle est bête, celle là !  » ? Lui en auriez-vous voulu personnellement?

Très vraisemblablement, non. Vous auriez été indulgent, vous seriez passé à autre chose, et peut-être même vous en seriez-vous voulu d'avoir hurlé avec les loups. Et il est très probable que c'est également de cette manière que les autres convives auront réagi.

Chacun est très centré sur lui-même et sur ce qu'il croit que les autres pensent de lui. Mais la réalité est que, la plupart du temps, les autres ne pensent rien, ou très peu de choses. Ils ont des problèmes et soucis bien plus importants à gérer que de revenir sur la moindre de vos paroles et de disséquer vos faits et gestes ! Si vous leur parlez à votre rencontre suivante de ce « terrible faux pas » que vous êtes convaincu d'avoir commis en leur présence, et qui vous a fait éprouver tant de remords, la probabilité est qu'ils ne s'en souviendront même pas. Et ils seront bien étonnés que vous en fassiez tout un plat. (la suite ci-dessous)
 

La beauté, signe extérieur de santé

La beauté n'a pas d'âge ! Il est légitime de vous préoccuper de votre apparence physique, et il est très exagéré de dire qu'il n'y a jamais rien à faire. Mais la chirurgie et les opérations coûtent cher, sont dangereuses, et les résultats peuvent être désastreux .  En réalité, l'aspect de votre visage, la texture de votre peau, vos cheveux, vos ongles et même votre sourire (état des lèvres, dents, gencives) sont fortement influencés par votre état de santé.

Notre visage reflète notre personnalité tout autant que nos carences nutritionnelles. Ainsi, une peau sèche et pelliculeuse est généralement due à un manque d’acides gras oméga 6.


Méfiez-vous des humiliations publiques

Maintenant, il arrive régulièrement que quelqu'un vous fasse de vraies critiques.

La critique est une forme courante de communication sociale. Que ce soit votre meilleur ami qui vous dise que cette nouvelle coiffure ne vous va pas du tout, ou que ce soit votre chef qui vous dise qu'il est nécessaire d'améliorer votre travail, vous êtes forcément souvent confronté à des critiques.

Bien entendu, les critiques sont toujours blessantes. Elles peuvent même être humiliantes lorsqu'elles sont faites devant témoins. Et pourtant, il faut bien réaliser que, la plupart du temps, la personne qui critique a l'impression de vous rendre service, de vous dire une chose nécessaire pour vous aider à améliorer votre vie.

Bien souvent, nous aussi, nous signalons aux autres leurs défauts car nous croyons ainsi leur rendre service en leur ouvrant les yeux sur une chose qu'ils n'avaient pas vue.

Nous espérons qu'ils changeront de comportement sur ce point, pour mieux correspondre à nos attentes.

Mais attention : il arrive que tout ce que nous parvenions à provoquer chez notre victime soit de la colère et de l'humiliation. Or, l'humiliation est un des plus violents sentiments qu'on puisse éprouver. Les psychologues Marte Otten et Kai Jonas de l'Université d'Amsterdam ont réalisé des électroencéphalogrammes indiquant que le sentiment d'humiliation est à la fois plus négatif que la colère et plus intense que le plaisir.

Une personne humiliée n'hésitera pas à déclarer qu'elle aurait voulu « rentrer sous terre », « dans un trou de souris », ou qu'elle aurait « voulu disparaître » ou même « préféré mourir ».

Posez-vous donc toujours la question de savoir si vous êtes bien en train « d'aider » la personne à qui vous infligez une humiliation en la critiquant en public. Et souvenez que ce qui n'est pour vous qu'une simple « remarque amicale » peut parfaitement faire écho à un profond sentiment intérieur habitant la personne et ainsi déclencher chez elle une réaction qui vous paraîtra totalement disproportionnée.

C'est pourquoi la vie dans les bureaux est si difficile. De la part d'un chef, la plus grande délicatesse est indispensable mais malheureusement rarement possible. Préoccupé un matin par un grave problème qui menace l'avenir de toute son équipe, il oublie de dire bonjour à l’un de ses employés, ou le salue en pensant à autre chose, et prend involontairement un air distant. L'employé sensible imagine que c'est à lui que le chef en veut personnellement. Qu'il ne lui fait plus confiance. Qu'il n'y a donc plus d'avenir pour lui dans cette entreprise. Que d'ailleurs il en a vu des signes depuis plusieurs mois ; et au lieu de faire tranquillement son travail et de contribuer ainsi à ce que la situation se remette en ordre rapidement, il se monte la tête, décide de démissionner, voire de se venger.

À plus forte raison, une remarque faite publiquement par le chef à cet employé dans le seul but de faire passer un message à l'ensemble de l'équipe, et sans que cela n'implique aucune intention mauvaise à son encontre, peut faire des ravages.



À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

mardi 5 août 2014

Un chien revoit son maître après 6 mois d'absence...

Quand on dit que le chien est le meilleur ami de l'homme, cette
vidéo, qui circule sur les réseaux sociaux depuis quelques jours le
prouve bel et bien. On y voit un homme en uniforme rentrer chez lui
après 6 mois d'absence. Sa chienne lui fait alors un accueil que tout
humain rêve d'avoir de la part de son compagnon à 4 pattes. Trop chou !
Regardez plutôt !

dimanche 3 août 2014

Tout le monde s'éveillera, mais personne ne sera forcé à le faire....


Tout le monde se réveillera, mais personne ne sera forcé à le faire

Publié le
Saul, transmis par John Smallman
Tandis que les niveaux d'énergie du Tsunami d'Amour s'intensifient, beaucoup d'entre vous subissent à l'heure actuelle un grand stress et des malaises physiques et émotionnels. Il faut vous y attendre, alors ne vous alarmez pas, détendez-vous tout simplement dans le moment présent et permettez à ces énergies de s’écouler à travers vous vers toute l'humanité et vers Gaïa elle-même. C'est ce que vous êtes venus faire, vous avez juste oublié combien ça serait exigeant pour ​​vos véhicules physiques. Alors, assurez-vous de demander régulièrement de l'aide à vos amis, à vos guides, à vos mentors et à vos anges dans les royaumes spirituels. Lorsque vous le ferez vous vous sentirez mieux, vous serez plus facilement en mesure d'accepter l'inconfort, et vous serez rassurés sur le fait qu'il est nécessaire car vos fréquences augmentent pour vous préparer à votre réveil et à celui de l'humanité.
Nous sommes en train de vous inonder d'aide et d'assistance spirituelle, mais les nombreux événements alarmants qui se déroulent à travers le monde vous distraient et vous tirent vers le bas, dans l'illusion où vous avez tendance à plonger dans la douleur et la souffrance que vous y voyez. Voyez la douleur et la souffrance, envoyez de l’Amour et de la compassion aux personnes concernées, mais restez à l’écart — « soyez dans le monde mais pas du monde ». Ce faisant, il vous sera beaucoup plus facile de vous connecter à votre intuition, à votre Soi supérieur, et à ceux des royaumes spirituels qui sont toujours là pour répondre à vos appels... Et je vous promets qu'il n'y aura pas de petite musique pour vous faire attendre le prochain correspondant disponible !
Nous voulons vous aider, nous sommes là pour vous aider, et nous répondons toujours à vos appels individuels. Malheureusement, il peut être très difficile pour certains d'entre vous de percevoir ou d’entendre notre présence au-dessus du vacarme de distractions que l'illusion — votre ego collectif — utilise en permanence pour vous attirer dans le conflit. Il faut beaucoup de pratique et de discipline personnelle pour apprendre à accéder facilement et rapidement à ce sanctuaire intérieur calme, mais je vous assure que vous trouverez que cela en vaut vraiment la peine. Même les grands mystiques et les maîtres ascensionnés ont du mal à accéder à ce sanctuaire intérieur lorsqu’ils sont incarnés, parce que le niveau de fréquence inférieur sur lequel l'illusion vous maintient est ouvert à des interférences massives et à du bruit de fond.
Réévaluez fréquemment tous vos « je devrais » et listes de chose à faire quotidiennement, soyez réalistes pour éliminer ceux qui ne vous servent plus, et savourez la réduction de stress et le sentiment de paix qui en découlent lorsque vous vous autorisez à être libres. Une grande partie de ce que vous sentez avoir besoin de faire, ou devoir faire, n’est que vieux résidus karmiques qui vous ont ternis au fil des âges et qui n'ont plus aucune validité aujourd'hui. Laissez aller tout cela, les leçons ont été apprises. Si nécessaire utilisez de l'eau de Javel : des périodes de méditation plus longues !
Vous avez été créés libres et vous restez libres, éternellement libres ; mais au sein de l'illusion cela ne semble pas être le cas. En fait, la science médicale moderne tente de prouver que tout ce que vous faites est causé par l'écoulement de différentes substances chimiques à travers votre système nerveux. Il est évident que les drogues affectent le comportement ; vos systèmes nerveux humains sont des installations miniatures de fabrication de drogues, et vos attitudes personnelles les dirigent à chaque instant. Si drogués que vous soyez vous pouvez néanmoins modifier vos attitudes (sauf s’il vous arrive d'être cloués au lit et inconscients) et c'est ce que nous vous avons demandé de faire — avoir uniquement des attitudes aimantes, et libérer toutes les attitudes qui ne sont pas en alignement avec l’Amour. C'est cela le libre arbitre.
Beaucoup, cependant, trouvent plus confortable de s’en tenir aux vieilles attitudes sans amour parce qu'ils se sentent en danger sans elles. Et dans les vies passées vous avez tous vécu des douleurs, des souffrances sévères, et des trahisons. Ce sont les souvenirs de ce genre, stockés dans votre ADN qui doivent être blanchis à l’eau de Javel. Mais bien sûr, vous allez utiliser un solvant bien meilleur que l'eau de Javel — l'Amour ! L'Amour marche toujours, l'eau de Javel est beaucoup moins fiable — voyez les instructions et les avertissements du fabricant !
Si vous avez des amis ou des proches qui semblent coincés dans de vieilles attitudes et croyances périmées, n’essayez pas de les persuader de changer, c’est très menaçant pour eux. Soyez juste aimants et tolérants envers eux, soyez compatissants, mais ne vous engagez pas dans des tentatives pour discuter de ces attitudes ; s'ils ont besoin de parler, contentez-vous d'écouter. Parler les aide souvent à y voir plus clair, en particulier s’ils ne se sentent pas obligés de défendre leurs positions.
Tout le monde se réveillera, mais personne ne sera forcé à le faire. Ceux qui choisissent de ne pas le faire cette fois-ci se verront constamment offrir de nouvelles occasions et lorsqu’ils seront prêts ils en profiteront. Il n’y a que le Un, aussi personne ne peut être exclu, rejeté, ou abandonné. Le jeu de la séparation et de l'abandon — l'illusion — durera aussi longtemps qu’il y aura des gens qui veulent jouer, mais il ne peut plus limiter ou contenir ceux qui voudront se réveiller, la très grande majorité des humains.
Votre tâche, à vous les porteurs de Lumière et les éclaireurs, est de démontrer l'Amour en action. Vous savez tous, au plus profond de vous-mêmes — que vous vous le soyez avoué ou pas — que vous êtes l'Amour, et qu'il n'existe rien d'autre. Vous êtes ceux qui ont choisi et se sont portés volontaires pour être sur Terre à ce point de son évolution pour aider à son réveil en étant aimants dans chaque situation, à chaque instant, et avec tous ceux avec lesquels vous interagissez.
Vos souvenirs d’avoir fait ce choix sont ténus, difficiles d'accès, et pourtant, en vous asseyant tranquillement pour réfléchir à votre situation humaine, il vous apparaîtra toujours que le seul chemin pour avancer est celui de l'Amour. Souvent, votre mental raisonneur va venir vous dire que « si tout le monde se comportait comme ça tout irait très bien, mais ils ne le font pas et ne le feront pas, alors sois raisonnable et protège-toi, ne baisse pas la garde sinon tu te feras avoir ». Si vous vous surprenez à être sur la défensive ou même à attaquer, arrêtez-vous immédiatement, recentrez-vous, pardonnez-vous, et repartez à zéro, avec amour ; c’est très désarmant pour votre adversaire.
Votre tâche est de faire confiance à cette perception intuitive que le seul chemin pour avancer est celui de l'Amour. Au plus profond de vous, comme nous ne cessons de vous le dire, vous savez que c’est vrai, étreignez cette certitude, puis Aimez tout le monde dans le réveil pour réaliser et mener à son terme votre tâche la plus extraordinaire.
Avec tellement d’amour, Saul.


Traduction AD
Page d’origine : http://johnsmallman.wordpress.com/2014/07/27/everyone-will-awaken-but-no-one-will-be-forced-to-do-so/ 

vendredi 1 août 2014

Connexion...


N'ayez plus peur de bronzer....



Dès qu'il s'agit de bronzage et de soleil, les pouvoirs publics relayés par la grande presse cherchent avant tout à vous faire peur.

Le but est-il uniquement de vous gâcher vos vacances ? De vous donner mauvaise conscience ? De vous persuader de vous tartiner de crème poisseuse et toxique ? De rester à l'intérieur pendant les plus belles heures de la journée ? Ou essayent-ils simplement de vous faire dépenser votre argent en autobronzants, crèmes solaires, lunettes de soleil, lotion après-soleil etc. ?

Officiellement, il s'agit bien sûr de lutter contre l'épidémie de cancer de la peau. Mais nous avons déjà révélé la vérité à ce sujet [1].

S'il est très important d'éviter les coups de soleil, en vous adaptant progressivement, le soleil n'a, en dehors de ce risque, que des vertus pour votre santé. Le mieux que vous puissiez faire, donc, c'est de profiter du beau temps pour sortir, en suivant les conseils de prudence ci-dessous. Si vous le pouvez, allez à la plage, à la montagne, au bord d'une rivière ou à la campagne. Tant que vous gardez votre bon sens, vous pouvez profiter des bienfaits du soleil pour votre peau, votre moral et votre santé.

Adaptation progressive

Le seul véritable conseil à donner sur le soleil relève du simple bon sens : adaptez-vous progressivement.
C'est exactement comme la course à pied, ou toute autre activité : si depuis quarante ans, vous n'avez plus quitté votre canapé, ne vous lancez pas dans un marathon !

Notre mode de vie naturel est de vivre à l'extérieur, et donc d'être exposés au soleil, selon les fluctuations des saisons ; notre peau est capable de s'adapter, en éclaircissant lorsque nous manquons de soleil, pour laisser passer les UVB (rayons ultraviolets B). Lorsque les UVB frappent la surface de votre peau, votre peau transforme un dérivé du cholestérol en précieuse vitamine D3.

Avoir des réserves optimales de vitamine D offre des bienfaits innombrables. En particulier, cela provoque une baisse significative du risque de cancer, y compris celui du cancer de la peau.
Réciproquement, si l'exposition au soleil est forte, notre peau brunit pour y limiter l'entrée des UVB.
Toutefois, si depuis des semaines vous vivez à l'intérieur, ou dans une zone peu ensoleillée, alors vous devrez vous adapter progressivement à reprendre le soleil.
L'exposition brutale et excessive au soleil n'apporte aucun bienfait pour la santé. Elle entraîne comme vous le savez des coups de soleil, qui sont une réaction inflammatoire de votre peau à l'excès de rayons ultraviolets.

Le bon rythme pour s'adapter

Si vous n'avez plus l'habitude du soleil, commencez par vous exposer par séances de 10 à 20 minutes, selon le lieu et l'ensoleillement (nuages ou pas), sur au moins 40 % de votre peau.

Si vous êtes blanc de peau, votre but est que votre peau prenne une légère couleur rosée. Arrêtez-vous juste avant que :
  • votre peau devienne chaude ou brûlante au toucher ;
  • vous ayez un sentiment d'inconfort lorsqu'on vous touche la peau ou lorsqu'elle frotte à vos habits.


  • La difficulté est que ces symptômes ne sont pas immédiatement visibles. Ils apparaissent dans les heures qui suivent l'exposition au soleil, et la douleur devient maximale dans les 24 heures.
    C'est pourquoi le mieux, au départ, est simplement de mesurer le temps où vous vous exposez. Si vous prenez un bain de soleil un jour de grand ciel bleu sans nuage, entre 11 heure et 16 heures, ne vous exposez que 10 minutes sur le ventre, puis 10 minutes sur le dos.
    Votre but est d'éviter les brûlures, les cloques, la peau qui pèle.
    Comme pour les brûlures normales, les coups de soleil sont classés en trois degrés : brûlures du premier, second et troisième degré. Les brûlures du premier degré peuvent être soignées à la maison (voir ci-dessous). Celles du troisième degré entraînent des cloques, des plaies qui peuvent s'infecter, de la fièvre, des frissons, et il faut alors consulter immédiatement un médecin.

    Un beau bronzage est le signe d'un bon taux de vitamine D

    Au début de l'exposition au soleil, dès que votre peau commence à rosir, vous atteignez le point d'équilibre : votre corps ne pourra pas produire plus de vitamine D. Vous fabriquez ainsi jusqu'à 20 000 UI (unités internationales) de vitamine D par jour, et ce en toute sécurité car vous avez un système biologique de rétro-contrôle qui empêche d'atteindre la surdose.
    En vous exposant ainsi quotidiennement, vous pourrez peu à peu augmenter votre temps d'exposition. Un bronzage modéré naturel est le signe visible que votre taux de vitamine D est optimal.
    Les personnes qui ont la peau très brune peuvent ultimement passer des heures au soleil sans craindre de brûlure.
    Mais pour la majorité d'entre nous, en Europe, le temps maximal d'exposition, après s'être bien habitué, est d'environ une heure, après quoi il faut se protéger en se mettant à l'ombre. À noter également que la peau de notre visage est très fine, donc fragile, et qu'il est important de porter un chapeau pour éviter de l'abimer. Le chapeau limitera également le risque d'insolation.

    UVA contre UVB

    Les rayons ultraviolets du soleil nous arrivent sous deux formes principales :

    Ultraviolets A (UVA) : ce sont des rayons considérés comme mauvais pour la santé car ils pénètrent en profondeur dans la peau, et provoquent des mutations d'ADN et la formation de radicaux libres agressifs. Les crèmes solaires bloquent les bons UVB et laissent passer les UVA facteurs de cancer, à moins qu'elles ne contiennent un ingrédient spécifique anti-UVA. Par conséquent, la crème solaire peut vous empêcher de brûler sans pour autant vous protéger du cancer. De plus, il se peut que les UVA aient malgré tout des bienfaits pour notre santé, qui n'ont pas encore été identifiés par la science.

    Ultraviolets B (UVB) : ce sont les bons ultraviolets, qui aident la peau à fabriquer de la vitamine D. Mais ils peuvent aussi faire bronzer et donner des coups de soleil, plus vite que les UVA. La lumière du soleil est surtout riche en UVB au milieu de la journée, c'est-à-dire précisément au moment où les experts vous disent de ne pas vous exposer !

    Toutefois, l'un dans l'autre, les bienfaits d'une exposition raisonnable aux UVB surpassent les méfaits potentiels des UVA. Dit autrement, les effets anti-cancer de la vitamine D produite sous l'effet du soleil dépassent les effets pro-cancer des UVA.

    Plantes et soleil

    Ceci étant dit, votre peau aime de nombreuses plantes, et vous pouvez toujours augmenter votre confort et embellir votre peau avec des produits naturels.

  • Avant l'exposition : mangez des légumes frais et des petits fruits colorés : plus vous consommez d'antioxydants, plus votre peau s'adaptera rapidement au soleil. Vous réduirez votre risque de brûler en mangeant des légumes et fruits riches en caroténoïdes, des pigments rouges orangés que vous trouvez dans les abricots, les carottes, mais aussi les légumes verts. La vitamine C combattra les radicaux libres et l'inflammation causée par les rayons du soleil ; l'astaxanthine est sans doute le pigment le plus puissant pour vous faire une «crème solaire » intérieure qui vous aidera aussi à bronzer de façon uniforme ;

  • Avant, pendant et après l'exposition : buvez régulièrement de l'eau pure, sans sucre, colorants, etc. Votre peau a besoin d'être bien hydratée et, lorsqu'elle est exposée au soleil, elle se dessèche sans même que vous ne vous en aperceviez. Elle devient alors beaucoup plus fragile ;

  • En cas de brûlure : appliquez un gel d'aloe vera cru sur votre peau pour minimiser les dégâts, et accélérer la guérison. L'aloe vera est le soin naturel protecteur de la peau par excellence. Dans de nombreux endroits, par exemple les côtes de la Méditerranée, vous trouvez des aloe vera qui poussent à l'état sauvage. Avec un couteau, vous pouvez prendre un bout de feuille (si on peut appeler feuille ces sortes de tentacules larges, plates et dures...), l'ouvrir en deux, dans le sens de l'épaisseur, et frotter directement le gel d'aloe vera sur votre peau. Les meilleures feuilles sont les plus épaisses. Si vous habitez le sud, en faire pousser dans votre jardin vous offrira une excellente pharmacie naturelle de secours.

  • Encore une fois, efforcez-vous d'éviter toute brûlure mais revenez-nous après l'été avec le plus beau bronzage possible !

    À votre santé !

    Jean-Marc Dupuis