samedi 24 mars 2018

LA VIE EST-ELLE UN JEU DROLE ou UN JEU DE ROLES ?

Question du jour : la vie est-elle un jeu drôle ou un jeu de rôle ?

Ce que nous pensons être la réalité n'est pas la vérité.
Nous l'appelons la réalité, car nous l'expérimentons. 
C'est pour cela que nous pensons que c'est la réalité… et qu'elle est vraie...

Chacun interprète à sa façon, aux moyens de concepts mentaux, ce que la réalité semble être…
… voir même parfois ce que la réalité devrait être.

Les mots expriment des concepts, qui se transforment en réalité expérimentée…… mais les mots n'expriment pas la vérité. Les mots pointent vers la vérité.
La réalité, c'est ce que nous expérimentons. 
Nous l'expérimentons, parce que nous y croyons. 
Nous croyons également que cette réalité est extérieure à nous, qu'elle ne dépend pas de nous. 

La vérité, c'est ce que nous sommes.
Nous ne sommes pas ce que nous pensons être.

Nous ne sommes pas les définitions du mental à notre propos.
Ce que nous sommes existe déjà avant la pensée "je suis comme ceci…", avant les interprétations, avant les définitions de ce que nous pensons être. 

La pensée crée un concept de ce que nous sommes, et nous l'expérimentons. 
Nous l'appelons "la réalité". 

Les mots que vous être train de lire ne cherchent pas vous convaincre de quoi que ce soit…
… ni à définir si quelque chose est vrai ou pas…
… ni à définir qui a raison et qui a tort.

Personne n'a raison, personne n'a tort, car chacun crée sa propre réalité en fonction des idées qu'il valide. 

C'est le processus mental qui cherche à avoir tort ou raison, dans sa quête de vérité. Il cherche à définir ce qui est bien ou mal, car il veut nous protéger, c'est son rôle premier.
Mais les concepts édictés par mental au moyen de la pensée concernent le monde de la forme. 

Ce que nous sommes ne se trouve pas dans le monde de la forme. 

Ce que nous sommes peut observer le mental en train de créer des concepts avec la pensée, ce que nous sommes peut même se laisser aller à y croire. 
C'est ainsi que nous créons une réalité dans le monde de la forme 

Le mental cherche à résoudre des problèmes dans le monde de la forme, qui ne proviennent pas du monde de la forme.
Le mental cherche à savoir qui nous sommes dans le monde de la forme, mais nous ne sommes pas dans le monde de la forme.
Nous expérimentons le monde de la forme, grâce à notre corps, nos sensations et notre mental traduit ce monde avec la pensée "je suis… et je dois…"

A ce stade, il n’est pas utile de chercher à savoir si c'est vrai ou pas. 
Il faut l'expérimenter. 

Si nous avons la capacité d'observer comment nous expérimentons ce monde de la forme
Si nous avons la capacité d'observer l'activité "penser"
Si nous avons la capacité d'observer le processus mental à l'œuvre, et de le voir pour ce qu'il est vraiment… alors nous avons la capacité de voir ce qui est. 

Pourquoi se prendre la tête avec les choses qui se passent dans le monde ?

Avez-vous déjà joué à un jeu de rôle ? 
Dans un jeu de rôle, on se prend pour des personnages dans un univers inventé par le maître du jeu On choisit son personnage, ses spécificités, ses capacités, ses pouvoirs…
Dans un jeu de rôle, on joue dans un monde illusoire.
Qui vous dit qu'il n'en est pas de même chaque matin à votre réveil ?

Le personnage que vous vous êtes inventé, qui porte un nom et un prénom, ne dispose-t-il pas lui aussi de toutes sortes de caractéristiques ?

Ces caractéristiques telles que le courage, la timidité, la jalousie, l'ambition, la gentillesse ou le mensonge sont réelles, car vous avez le sentiment d'être toutes ces facettes… mais sont-elles vraies ?

Ne sont-elles pas simplement des expériences ? Définissent-elles réellement qui vous êtes ? 

Si oui, qui choisissez-vous d'être alors ? 
F.K.

vendredi 16 mars 2018

Abandonnique ? Beaucoup en souffrent.... idem...


Le vécu abandonnique (ou « syndrome d'abandon ») est à l'origine d'une détresse psychologique intense ressentie en cas de sentiment d'abandon. Il est vécu le plus souvent dans l'enfance mais se poursuit à l'âge adulte avec des conséquences sur les relations sociales de la personne. Une rupture amoureuse ou amicale, une perte ou une enfance difficile peuvent faire vivre à la personne un sentiment intense d'insécurité et de souffrance.


Qu'est-ce qu'un vécu abandonnique ?

Le vécu abandonnique se traduit, chez la personne qui en souffre, par une profonde souffrance psychologique, une inquiétude, un mal-être et une insécurité affective lors de la rupture avec un être cher. Dans la plupart des cas, il apparaît dès le plus jeune âge lorsque l'enfant se sent abandonné par l'un de ses parents ou les deux.
Il touche donc l'enfant, l'adulte ou la personne âgée. Il se déclenche lors de l'absence ou la disparition d'un lien affectif important pour la personne (hospitalisation d'un enfant, deuil d'un parent, ou rupture amoureuse par exemple). Le vécu abandonnique peut se traduire à l'âge adulte par une peur de nouer des relations avec les autres ou de construire une vie de couple, par peur d'être rejeté et abandonné.
La personne victime d'un vécu abandonnique a besoin d'être rassurée en permanence dans ses relations avec les autres, ce qui peut avoir des conséquences dans sa vie quotidienne et surtout dans sa vie de couple. L'estime de soi est souvent fragile car l'abandon ressenti lui fait penser qu'elle n'a pas de valeur et qu'elle ne mérite pas d'être aimée.


Vécu abandonnique : caractéristiques

Le vécu abandonnique engendre chez la personne qui en souffre des comportements d'auto-sabotage qui peuvent être problématiques dans sa vie quotidienne et dans ses relations avec les autres. Elle a tellement souffert d'un abandon émotionnel par le passé qu'elle préfère rejeter l'autre car elle est persuadée que tôt ou tard elle sera à nouveau abandonnée. Un cercle vicieux s'installe alors qui enferme l'abandonnique dans sa détresse.
Le vécu abandonnique se traduit par plusieurs caractéristiques chez la personne (adulte ou enfant) qui en souffre :
  • Le besoin de reconnaissance : la personne fait tout pour être aimée de l'autre et le séduire pour qu'il ne la rejette pas. Elle existe à travers le regard de l'autre et a besoin d'être reconnue pour exister.
  • La culpabilité : si elle est abandonnée, c'est de sa faute, parce qu'elle pense ne pas être assez bien pour la personne qui la rejette.  
  • Le rejet des autres : l'abandonnique peut devenir agressif envers les autres s'il ne se sent pas exister et aimer à leurs yeux. Ainsi, il provoque ce rejet de façon plus ou moins consciente. Il préfère rejeter que d'être rejeté tôt ou tard.
  • L'isolement : par peur d'être rejetée, la personne souffrant de vécu abandonnique peut se replier sur elle-même et fuir les autres afin d'éviter le rejet.
  • L'introspection : pour ne pas heurter les autres, l'abandonnique cache ses émotions et ses sentiments, au point d'extérioriser par des troubles psychosomatiques par exemple (douleurs chroniques ou eczéma).
  • La peur de la solitude : pour ne pas ressentir l'abandon, elle préfèrera s'entourer en permanence de monde.  
  • Le sacrifice : afin de satisfaire les autres, l'abandonnique peut subir des humiliations ou des vexations de toutes sortes. Il est prêt à tout pour être aimé.
La personne abandonnée fait tout, inconsciemment, pour rejouer l'abandon qu'elle a vécu par le passé. Alors qu'elle cherche absolument à être aimée et considérée, elle mettra tout en place pour susciter le rejet ou rejeter elle-même puisque de toute façon, elle pense ne pas « mériter » cet amour de l'autre.



Bous choississons nos parents... eh oui !

Plusieurs traditions spirituelles enseignent que l’âme de l’enfant choisit ses parents. Vous vous demandez peut être ce qu’il en est ou vous vous dites que si vous aviez pu choisir vos parents, vous n’auriez certainement pas choisi les vôtres !En fait, il ne s’agit généralement pas d’un choix raisonné, intellectuel comme quand on choisit quelque chose sur un catalogue mais d’une sorte d’attraction électro magnétique.
Le Docteur Christophe Massin, psychiatre et psychothérapeute, l’exprime ainsi dans son ouvrage « le bébé et l’amour » : « Une conscience non incarnée se sent invinciblement attirée par ce couple de parent, non sous leur forme physique, mais plutôt par l’énergie particulière qui se dégage de chacun d’eux, pour le meilleur et pour le pire ».
l_âme de l'enfant choisit ses parents
Cette attraction se fait à partir des vibrations, des émanations émises par les futurs parents et les liens karmiques peuvent jouer un rôle important.Ces liens karmiques nous amènent à retrouver les êtres avec qui nous pouvons avoir des conflits à pacifier ou avec qui nous avons eu une forte relation d’amour pour continuer à nous accompagner, nous soutenir ou accomplir quelque chose ensemble.
L’âme est attirée par des parents dont elle sait qu’ils pourront stimuler l’expression de ses qualités et l’aider à exprimer ce qu’elle est venue vivre et accomplir.
Souvent, l’âme de l’enfant choisit une qualité qu’elle souhaite plus particulièrement venir exprimer et /ou stimuler chez ses parents et son entourage, par exemple la compassion, le lâcher prise, la tolérance, l’amour universel. Chaque membre de notre famille est là pour nous aider à révéler, développer ou transcender un aspect de nous même.
Si un proche nous fait vivre l’abandon par exemple,peut être que nous avons besoin de développer notre autonomie.
Lorsqu’il y a conflit karmique, l’amour qui peut naturellement se développer au sein d’une famille notamment entre parents et enfants offre un terrain particulièrement favorable pour réparer et guérir ces relations.Le but ultime de ces retrouvailles d’âme est de nous ouvrir à l’amour sans aucune limitation, c’est-à-dire de nous aider à nous éveiller, nous s’entraider, nous respecter, nous aimer, sans attente, sans jugement, sans comparaison ni manipulation. La famille comme opportunité de retrouver et de guérir ses blessures karmiques.
Lorsqu’ une âme décide de revenir sur terre, elle rencontre ses Guides afin de définir ses choix d’incarnation, c’est-à-dire les facettes d’elle-même qu’elle souhaite expérimenter et développer, les leçons qu’elle a besoin d’apprendre et ce qu’elle choisit de venir guérir, créer, partager et accomplir dans la vie à venir.Le but premier de toutes les âmes qui s’incarnent est de parfaire leur évolution en apprenant à s’aimer, à reconnaitre et à exprimer pleinement leur lumière et leur essence divine. L’âme définit ce que j’appelle ses « objectifs prioritaires de guérison » par exemple dépasser sa tendance à se rejeter et donc à attirer le rejet, ne plus remettre son pouvoir aux autres, se libérer de la dépendance affective et développer l’amour d’elle-même. Elle choisit aussi la contribution unique qu’elle souhaite apporter à la terre : « son mandat d’incarnation », c’est-à-dire les talents qu’elle souhaite exprimer et offrir à l’humanité pour contribuer à son évolution, par exemple participer à l’élévation du niveau de conscience en enseignant, en guérissant, contribuer à la préserver la nature, créer de la beauté par des œuvres d’art…

l_âme de l'enfant choisit ses parents
Cela se fait à un plan très élevé de conscience et cette décision se prend environ trois mois avant la fécondation. Elle choisit ainsi avec les conseils de ses Guides les parents et l’environnement les plus adaptés aux apprentissages et expériences qu’elle doit réaliser.
Par exemple, Laurence que j’ai guidée dans une régression sur ses choix d’incarnation a compris qu’elle avait choisi des parents de deux religions différentes car un des objectifs majeurs de son âme dans cette incarnation était de développer sa tolérance.Souvent, l’âme choisit un environnement familial et social qui lui assure la rencontre de certaines difficultés qu’elle a à revivre afin de les transcender.Elle choisit les parents qui pourront faire émerger à la fois le meilleur d’elle-même et les parties plus sombres pour qu’elle puisse les conscientiser et s’en libérer.Au-delà des parents, l’âme est attirée par une lignée familiale avec ses forces et ses problématiques, un pays et un contexte historique.
Quelques mots pour mieux comprendre ce processus : Lorsqu’un être termine une incarnation, il revoit la totalité de sa vie pour en faire le bilan. C’est d’ailleurs ce dont témoignent les gens qui vivent des expériences de mort imminentes (NDE ).Il se peut qu’il ai vécu des expériences douloureuses, par exemple d’abandon ou de trahison qu’il va accepter. Dans ce cas, il y a transmutation immédiate de la douleur.
Et puis, il y a des expériences qu’il ne va pas accepter et dont il va tirer des jugements et des interprétations limitatives sur lui-même ou sur la vie. Par exemple, il a vécu une sensation de trahison très importante et va en conclure que plus jamais il ne pourra ouvrir son cœur et faire confiance. Comme le but de l’âme à son niveau le plus élevé c’est de s’aimer et de s’accepter quelle que soit l’expérience vécue, elle va retrouver le même type de difficulté dans une incarnation suivante pour avoir une nouvelle opportunité de rencontrer, d’accueillir et de dépasser cette blessure et les jugements associés.
l_âme de l'enfant choisit ses parents
Quand l’âme fait ses choix d’incarnation, elle choisit les blessures karmiques qu’elle souhaite retrouver pour avoir une nouvelle opportunité de les transmuter.Cela signifie qu’en choisissant ces blessures elle sait qu’elle va attirer à elle de façon quasi magnétique les parents, les circonstances et les rencontres qui vont les réactiver.
Par exemple une âme qui doit se libérer d’une blessure de rejet, sera attirée par des parents dont elle se sentira rejetée, comme des parents qui souhaitent un garçon alors que c’est une fille. Plus tard elle pourra être inconsciemment attirée par des partenaires dont elle se sentira rejetée. Une âme qui a besoin de guérir une blessure d’abandon sera « magnétiquement » attirée par des parents qui l’abandonneront ou qui seront peu présents, lui donnant le sentiment qu’elle est abandonnée.
Même si ce n’est pas le cas, elle aura tendance à tout interpréter en fonction de ses blessures, c’est-à-dire que la moindre attitude ou parole un peu distante sera ressentie comme du rejet ou de l’abandon.Lorsque l’âme fait ses choix d’incarnation, elle n’est pas en contact avec ses mémoires karmiques, donc tout lui parait léger et facile.Totalement reliée à sa source divine, l’âme est confiante en ses capacités de réaliser son plan d’incarnation, de dépasser ses anciennes erreurs, d’apprendre ses leçons, de développer les qualités qu’elle a choisi de développer et d’accomplir ce qu’elle souhaite pour aider la terre.
l_âme de l'enfant choisit ses parents
Elle sait que l’incarnation lui offre une puissante opportunité d’expérimentation et de croissance. C’est au cours de sa descente dans l’incarnation qu’elle retrouve peu à peu toutes ses limitations, c’est-à-dire la somme de toutes ses mémoires, croyances limitatives, et blessures non résolues. Plus l’âme descend vers les plans terrestres, plus elle quitte le sentiment d’unité qui prévaut dans les plans célestes pour entrer dans la dualité .Elle retrouve l’illusion qu’elle est séparée des autres et du divin. Elle se sent de plus en plus lourde et oublie peu à peu qui elle est dans son essence divine. Cela soulève en elle beaucoup de peurs et de doutes, notamment la peur de de ne pas réussir son « mandat d’incarnation » et de perdre l’amour qui l’habite et le contact avec la lumière divine.
Cela explique les résistances à l’incarnation qui peuvent surgir à ce moment-là. Certaines âmes ressentent au cours de cette « descente dans l’incarnation » qu’elles ne se sentent finalement pas suffisamment prête et décident de rebrousser chemin.De nombreuses fausses couches trouvent leur origine dans ce processus. Tout ce qui n’est pas accepté et guéri, va donc être reproduit par l’âme pour avoir une nouvelle opportunité de le transmuter. Les événements de notre vie vont stimuler nos blessures karmiques jusqu’à ce que nous nous en libérions. Nous attirons inévitablement ce qui est en résonance avec notre blessure. Nous finissons ce que nous n’avons pas achevé, nous retrouvons les êtres avec lesquels une blessure est restée sans guérison et nous revivons des situations pour lesquelles nous étions restés sans solution.
l_âme de l'enfant choisit ses parents
Ainsi ce que nous jugeons chez nos parents, c’est ce que l’âme a choisi de venir rencontrer et guérir en nous. Cela a l’avantage de permettre une meilleure compréhension de la blessure et des prises de conscience nécessaires à notre évolution.
Quand un être s’affranchit d’une blessure karmique, il contribue à la libération de toute sa lignée familiale.
Ainsi l’âme est attirée par des parents et par une lignée familiale avec des charges et des potentiels aptes à permettre son déploiement malgré les apparences.
L’âme de l’enfant vous « choisit » donc autant pour vos qualités et vos forces que pour vos ombres et vos faiblesses. Ainsi, à défaut d’être de parfaits parents, vous serez les parents parfaits c’est à dire les plus appropriés pour votre enfant.
Cette prise de conscience peut soulager bien des peurs et des culpabilités ! Certaines âmes choisissent également des parents dont elles savent qu’elles pourront les aider à évoluer. C’est d’ailleurs de plus en plus le cas actuellement.



mercredi 7 mars 2018

ECOUTES TON CORPS....




• Si tu n'écoutes pas ton insatisfaction elle te parle avec le mal de tête
• Si tu n'écoutes pas ta colère elle te parle avec la gastrite
• Si tu n'écoutes pas ta peur elle te parle avec la constipation
• Si tu n'écoutes pas ton envie de dire "non" elle te parle avec des troubles de l'estomac
• Si tu n'écoutes pas ta passion elle te parle avec une infection
• Si tu n'écoutes pas ta créativité et ton talent ils te parlent avec l'augmentation de poids
• Si tu n'écoutes pas ton affectivité elle te parle avec la dermatite

Si tu n'écoutes pas ta spiritualité, elle te parle avec le corps.. Qui tombe malade
Ricondivido parce qu'on ne devrait jamais oublier.. Jamais de nous écouter..
Toute émotion non écoutée laisse un signe sur le corps..
Le corps est le miroir de notre âme...

vendredi 2 mars 2018