samedi 31 décembre 2016

Happy Now Here

Réveillons-nous.  Je vous souhaite d'être vous-même ici et maintenant.

Je vous souhaite un bon présent ...



Je constate qu'en cette période des Fêtes, pour plusieurs, il y a cette pensée
« Vivement que l’année se termine » 
et le  souhait « Que la nouvelle année apporte son lot de Joie, de Prospérité et d’Amour ». 

Et voilà qu’en une seconde, pour être fidèle aux traditions ou simplement par habitude, nous basculons dans cette croyance du paradis à la fin de nos jours et l’espérance que demain tout ira mieux. Encore et encore cette même croyance qui finalement génère le manque à l’infini, car subtilement elle suppose que ce qui est là, n’est pas assez ! 
Allons-nous sortir de cela un jour?  Il n’y a pas d’ailleurs meilleur!!!

Le meilleur c’est maintenant, avec ce qui EST, telle que c’EST. Cessons de remettre à plus tard… La vie est là dans chacun de nos pas, quelque soit l’environnement, les personnes, les circonstances et lorsqu’elle n’est pas qualifiée, ni quantifiée, elle est parfaite telle qu’elle est.

L’attachement aux coutumes, à la vision romantique du temps des Fêtes génère du bonheur, mais aussi de la souffrance pour plusieurs. Puissions-nous voir objectivement le personnage à l’œuvre, les histoires qui se jouent, les émotions que cela suscitent et s’en libérer. 

Je crois que le temps est venu de grandir, de Voir notre vie avec un regard neuf, mature. D’investiguer le TOUT, de rester au PRÉSENT et de retrouver notre innocence originelle, celle du cœur. D’Être dans la Joie de l’instant, libre.

Le grand paradoxe est que, lorsque plus rien n’est attendu, il est alors possible de Voir que TOUT est là. Que ceci l’a toujours été, mais nous étions trop occupés à courir pour le voir. 

Quoi qu’il en soit, je vous souhaite un PRÉSENT conscient.
D’Être simplement dans la vie, telle qu’elle est, le cœur ouvert à l’infini.

samedi 24 décembre 2016

Joyeuses Fetes ...


La tradition a créé un personnage pour faire rêver l'enfant que nous étions. Puis celui-ci a grandi et a créé un personnage rêveur de bonheur et de joie dans un monde d'illusions. Pour s'apercevoir que nous ne sommes pas ce que nous croyons être, que nous avons façonné cet enfant intérieur au fil du temps par les conditionnements... et ce qui résonne est notre illusion de nous croire séparés de l'Amour Nous sommes l'amour et la joie. Et notre petit personnage continue de vouloir exister dans ce rêve. La réalité c'est l'effacement du père Noël au profit de la magie de la vie. Nous sommes UN dans le ❤ et tout est partie de Soi dans l'instant présent. Que notre volonté soit Fête.

vendredi 23 décembre 2016

Message de fin d'année ...


Bonjour à toutes et à tous,

Je tiens à vous adresser quelques mots en cette fin d'année. 
Les messages que j'ai reçus ont contribuer  à m'aider à trouver ce que je suis vraiment, ce que nous sommes vraiment. 

Je remercie tout particulièrement Laurent E Levy pour m'avoir permis de participer à cette belle aventure des EE. (Les Enseignements de l'Esprit)

Je sens qu'il y a encore beaucoup à découvrir, je dirais même beaucoup à ressentir. 

Les informations que je perçois semblent provenir de "dimension" dont la fréquence vibratoire est différente de la nôtre, car elles n'arrivent plus sous forme de texte, mais plutôt sous forme de ressenti.

Je dois donc ainsi m'efforcer de "traduire" dans notre langage, avec des mots qui n'expriment pas forcément avec précision ce que je reçois, et c'est pas tout simple… je l'avoue. 

Ou alors est-ce une simple connexion cerveau gauche – cerveau droit au lieu d'une connexion "monde de la forme et de la dualité" avec le "monde de la non forme", 

Je vous remercie donc par avance si, dans ces écrits cela manque un peu de clarté… 

...quand bien même la clarté ne s'est jamais exprimé aussi clairement en moi… 

Bon… je me lance.

J'ai bien pris conscience et expérimenté cette année le fait que chacun d'entre nous vit sa propre réalité, qu'il n'y a en effet rien d'extérieur de nous, que toute notre expérience se passe dans notre esprit.

Que les autres ne sont que des miroirs nous permettant de voir en nous-même. 

Que nous vivons ainsi tous notre propre rêve éveillé. 

Dans un même esprit très probablement, vu que nous sommes Un, mais de manière bien différente, car nous avons le libre arbitre dans le choix de la manière dont nous allons vivre nos expériences.

C'est le fameux choix de regard, qui pourrait aussi se résumer par 

"veux-tu accepter ce qui est ou ne pas accepter de qui est" 

J'ai aussi pris conscience du cadeau que pouvait représenter la souffrance...

.... et c'est peut-être le message le plus important de ce post 

- Zut, j'aurais dû commencer par ça . 

La souffrance… grand sujet pour ceux qui cherchent à savoir qui nous sommes… 

Personnellement, c'est bien la souffrance qui m'a poussé à me poser des questions sur le sens de la vie, à ouvrir des livres, à participer à des séminaires et à être là où j'en suis vraiment.

Et si la souffrance était le moyen de nous pousser à aller vers le bonheur ? (que nous sommes déjà, bien évidemment) 

Et donc,  si le but de la vie n'était pas tout simplement de ressentir le bonheur que nous sommes. 

Et si le Tout n'avait pas la possibilité de ressentir ce qu'il est ?
Si le Tout savait qui il est, mais ne pouvait en faire l'expérience ?

Et si on jouait avec l'idée que notre incarnation n'est pas dû au hasard, mais qu'elle est la parfaite volonté du Tout, qui a donné le libre arbitre à notre être (ou notre âme) de pouvoir expérimenter qui nous sommes Vraiment.

Et si on jouait avec l'idée que ce que nous dit la physique quantique lorsqu'elle avance que toutes les probabilités coexistent et que ce n'est que par la conscience de l'observateur qu'elles se manifestent dans le monde de la forme ?

Et si on jouait avec l'idée que l'âme de Danielle s'est fragmentée en des milliers de Danielle qui font des expériences différentes dans le monde de la forme, à des âges différents, avec des choix différents, et en même temps, le temps n'étant pas linéaire mais vertical ?

Et qui si une des Danielle meurt, c'est pas grave du tout, cela fait partie de la multiplicité des expériences souhaitées par l'âme de l'incarnation multiple de Danielle ?

Et si je passais régulièrement d'une possibilité de vie quantique à une autre à chaque fois que je fais un choix, à savoir à chaque fois que je change de regard ?

Certes dans cette incarnation, je ne fais qu'une expérience d'une des Danielle qui semble linéaire. Ce qui lui arrive n'a aucune importance, car les ressentis emmagasinés sont le but, peu importe leurs formes. 

De toute manière, les expériences d'amour et de haine sont identiques car issues de la même énergie.  Ce qui est ressenti par contre est vécu différemment, c'est ce qui solidifie la croyance de la dualité amour-haine, ainsi que de la séparation avec l'autre.

Sans croire à la séparation avec l'autre, je ne peux pas ressentir de l'amour pour lui.  

C'est comme pour faire l'expérience de la confiance en Soi, il fallait mathématiquement créer un monde dans lequel la confiance en Soi serait tout sauf une évidence, en créant aussi la possibilité d'expérimenter son contraire. 

Donc, au moyen d'un monde hostile et dangereux en apparence, un monde dans lequel on peut expérimenter la peur ou la confiance, les deux étant les faces d'une même pièce, 

et en oubliant bien entendu notre pouvoir, nous pouvons ainsi selon notre choix de regard déterminer la couleur de notre expérience.

Bref, autant dire que tout est parfait, tout va bien et que nous existons sur le plan humain dans un but tout à fait notable : ressentir qui nous sommes. 

Bon, mon expérience est différente de celle de mon voisin. Le regard que j'ai sur lui va interagir avec le regard qu'il a sur moi. 
Par nos choix, nous allons construire une relation (ou pas) qui va définir une expérience particulière au niveau du ressenti (dans notre esprit)

Grâce au EE, j'ai aussi compris le rôle d'un groupe. 
Chacun est émetteur et récepteur à la fois. 

À chaque fois que quelqu'un s'exprime, il propose une expérience neutre qui sera vécue de façons différentes par chacun. 
S'il y a 10 membres, il y aura 10 perceptions différentes et propre à chacun. Et chacun recevra ce qu'il a demandé de voir.

J'aime la musique, je baigne dedans depuis quelque année 

Et l'image qui vient et qui résonne en moi (qui raisonne aussi) c'est 
que nous sommes chacun une note, ou plutôt un son différent dans cette magnifique symphonie qu'est la vie.

Vivre et être, par le ressenti, en acceptant aussi le mental-ego pour ce qu'il est, à savoir notre outil pour traduire le monde de la forme et de la dualité, 

afin d'exprimer notre talent qui est la manière dont nous interagissons avec le monde et jouer notre propre son pour que la musique du Tout soit harmonieuse…

Ainsi, chacun à sa place, chacun à la même valeur, chacun fait partie du Tout à part entière…

Tels sont les mots que j'exprime à travers les ressentis que je perçois dans mon esprit…. 

Ce n'est donc que ma vision, exprimée à partir d'un point de vue, d'un choix de regard. 

Ce n'est ni juste, ni faux… c'est …. Tout simplement.

Joyeuses fêtes de fin d'année à toutes et à tous, il est temps pour moi de me reposer un peu....

lundi 12 décembre 2016

Amourchou...


C'est une crise d'amour chou.
"Amourchou, amourchou".
On devrait faire une chanson comme ça.
Ca serait rigolo, hi hi !

Ooops... pardon... j'avais pas vu que tu souffrais.
T'en as gros sur la patate on dirait....
Tu me racontes ?

Oui.
J'ai entendu dire que les relations ne sont pas faites pour durer.
Qu'une relation a un but, et qu'une fois ce but atteint, la relation se termine.

Mais je ne veux pas d'une relation qui se termine moi ! Je suis perdu tout seul au monde et le souvenir de l'Unité me fait mal. Je veux retrouver cette unité perdue, même si je sais que ce n'est pas vrai, qu'elle n'a pas été perdue, que je me suis porté volontaire pour vivre ce rêve de séparation afin que l'Unité justement puisse se goûter elle-même.

Putain mais j'étais bourré quand j'ai accepté cette aventure ou quoi ? Qui a signé pour moi pendant que je dormais ? Ca fait mal ! Ca fait mal, vous entendez là haut ?! Alors bon, oui je goûte, oui je ressens toute cette solitude, tout ce désir, toute cette tristesse, et j'espère que ça sert à quelque chose, parce que là j'en bave, bande de sados. Ca vous excite ma douleur ? Vous entendez ma colère là haut ? Et venez pas me dire que je joue le rôle de victime! J'ai besoin de câlins et de réconfort, bordel ! Je ne veux pas d'un discours, je veux... je veux que tu me prennes dans tes bras... s'il te plaît... dis-moi que je fais bien mon boulot dans ce monde, que je rempli bien ma mission... s'il te plaît ma déesse chérie... je veux juste un peu de réconfort, juste un peu. Est-ce que je peux me reposer 2 minutes dans tes bras ?

Je ne veux plus de séparation. Je ne dis pas que je refuse ce monde (quoique, à vrai dire je ne sais pas ce que je dis), mais que j'aimerais bien un peu de câlins pour retrouver cette unité. Ok, ok, l'unité ne se retrouve pas au même niveau, bla bla. Je suis le personnage qui crie sa douleur alors fais pas chier avec tes discours. Mais meeeerde quoi ! Tu comprends rien au final ??? Pourquoi me juges-tu ? Toi qui est Unité, toi qui est tout Amour, ne vois-tu pas que je souffre ? Pourquoi ne viens-tu pas me parler ? Pourquoi me laisses-tu tout seul ? Toujours tout seul... Je te hais !...

Non, non... Non, attends... je ne te hais pas... non, s'il te plaît, ne pars pas, ne me laisse pas tout seul. Je ne sais pas ce que je dis, je ne sais pas ce que je veux.... Reviens, s'il te plaît....

Oui, je veux l'Unité, mais je ne sais pas ce que c'est et je ne le saurai jamais parce que je n'existe pas. Et j'ai mal de ne pas le comprendre. Comprendre qu'il n'y a pas de séparation, qu'il n'y a jamais eu de séparation à la base, quand moi, le personnage,  je suis le symbole de la séparation, ce n'est pas possible, c'est révoltant, rabaissant, ça fait mal. J'ai mal. Je ne veux plus de séparation, je veux savoir où je suis, qui je suis.

J'ai mal parce que je t'aime. Je t'aime depuis le personnage. Je ne veux pas être Dieu. Comment pourrais-je t'aimer sinon ? Je ne sais pas ce que ça veut dire d'aimer inconditionnellement. Je veux être une personne pour aimer la personne que tu seras. Je veux m'occuper de toi alors même que je sais que tu n'en as pas besoin. Je veux te serrer dans mes bras, je veux te dire que tout va bien, je veux être ton chevalier qui te sauveras. Je veux être important à tes yeux, l'homme qui compte dans ta vie. Je veux vivre une histoire d'amour. Celle qui fait mal, mais surtout... celle qui me fait exister. Moi, le personnage qui a peur de mourir, moi qui souffre de solitude, moi qui suis seul au monde.

Sauve-moi... Je suis en train de me mentir... Ce n'est pas moi le chevalier, c'est toi qui vient me sauver de ma solitude. C'est toi qui est toute puissante. J'admire ta force, ta stabilité, ton amour, ta tendresse. Viens me prendre dans tes bras. Tu es importante à mes yeux. Tu comptes dans ma vie. Je te met sur un piédestal, tu es la seule, l'unique. Je ne vois que toi, ma vision est rétrécie. Je me hais en fait, et toi qui m'aime tel que je suis tu me montres que je suis digne d'amour, et je voudrais me fondre dans ton espace douillet et disparaître.

Je suis perdu, je ne sais même plus ce que ça veut dire aimer. Trop de mots, trop de jugements, trop de souffrance. Je suis perdu... je suis perdu. J'ai oublié qui j'étais.

Qui suis-je ?
Je veux savoir maintenant.
Aide-moi.

Qui pense ? Qui parle ?
Qui écrit ces mots ? Qui est conscient de ces mots ?
Qui voit cette souffrance ?

Est-ce que cette conscience a une limite ?

Il n'y a qu'une seule "personne", une seule "chose" qui peut en être conscient. Il n'y a qu'un seul être au monde qui peut faire ça (un seul être au monde, ah ah, marrant ça quand on y réfléchit, oui il n'y a qu'un seul être au monde, nous sommes UN, et le monde est en moi, le jeu est en moi).

Cette chose, c'est la Conscience. Que je suis. Moi. Le vrai moi, le Soi. S'il n'y a que ça, s'il n'y a que la Vie, alors c'est que je suis assez puissant pour oublier qui je suis vraiment et me séparer en plusieurs petites consciences appelées des personnes, qui voient un bout du jeu, qui co-créent ensemble ce rêve. Et qui souffrent d'être seules. Mais tu es moi, une partie de moi qui joue le jeu et tout moi en même temps. Elle ne co-créent pas en tant que personnes, elle co-créent parce qu'en fait elles ne sont qu'UN. Elles souffrent d'être seules parce qu'elles s'imaginent être séparées et s'identifient à une partie du tout.

Ce que je vois maintenant c'est ma puissance, la force que j'ai qui me permet de me séparer et de voir le monde depuis une conscience qui semble limitée mais qui est en fait reliée au monde entier... non, qui EST le monde entier. Car le monde n'est qu'une image de ce que je suis et je suis tout. Si je bouge, tu bouges aussi. C'est le travail colossal du berger perdu sur sa montagne comme le dit Sylvain Du Boullay. Si je suis dans le moment présent, tout le monde est touché par ma présence. Que je sois perdu dans la montagne ou pas. Car nous ne sommes pas reliés, nous sommes UN. Etre reliés voudrait dire que des êtres séparés sont reliés par une corde. Mais nous ne sommes reliés, nous sommes UN seul. Un esprit qui se voit lui-même depuis plusieurs paires de yeux.

Le petit moi s'apaise, je le prends dans mes bras. Je me grandis pour me désidentifier de lui, pour pouvoir l'accueillir et le prendre dans mes bras. Je vois bien qu'il a envie d'une relation pour recréer ("simuler" ?)  l'Unité dans le monde. "Comme il est chou !" dirait Isabelle. Il ne peut pas le faire. L'unité n'est pas dans ce monde. Et ce petit moi, tout réel qu'il a l'air d'être, ne l'est pas.

Revenir au présent, revenir à ce que je suis vraiment.
Élargir ma vision, englober l'autre dans ce que je suis.
Je suis le tout.

Ouf, ça fait du bien, merci à moi-même pour ces 2 minutes de repos.

Maintenant j'y retourne dans cette aventure que j'aime.
Maintenant je peux enfin l'apprécier.
Car j'y retourne en conscience de ce que je suis.
Toujours en conscience, tout en conscience, tout en moi.

Je te prends dans mes bras avec tendresse.
Mais je ne te prendrai jamais au sérieux.
Amourchou, amourchou !
Viens dans mes bras mon chéri.
Tout va bien.


Mickaël Favre macron

dimanche 27 novembre 2016

Ose....

Crois-tu être uniquement ce corps  ?
Crois-tu être une personne limitée par tes 5 sens ?
Crois-tu posséder la vérité ?
Crois-tu Être ce que tu penses ?
Crois-tu Être ce que pensent les autres ?
Crois-tu être destiné à subir la vie ?
Crois-tu que le monde va mal ?
Crois-tu que tu sois démuni ?
Crois-tu Être capable de te dépasser ?
Crois-tu en la possibilité d'évoluer ?
Crois-tu possible que l'humain évolue vers l'illimité ?
Crois-tu être créateur de ta réalité ?
Crois-tu maîtriser cette créativité ?

Alors que vas-tu faire ?

Tu vas continuer à accuser l'extérieur ?
Tu vas continuer à te juger ?
Tu vas continuer à te plaindre ?
Tu vas rester à subir ?
Tu vas continuer à te rétrécir ?
Tu vas continuer à faire semblant ?

Peux-Être qu'il est temps de te dire OUI !

Sors du conditionnement de la forme 
Rentre en Toi et récupère l'essence
Récupère toutes les parts de toi
Regarde TOI dans les yeux
Vois ta beauté, ta lumière 
Ressens l'émotion 
Accepte ta vulnérabilité 
Sens le potentiel enfoui

Devient Qui tu Es

Montre-le à tous
Sois déterminé à sortir de ta tête 
Habite toutes les parties de ton corps 
Ancre toi dans l'instant
Tire un trait définitif sur ton passé
Sois confiant dans le futur mais ne t'y arrête pas
Aie des objectifs à court terme et long terme sans t'y attacher
Pardonne tout

Ose te dire OUI

Ose l'enthousiasme 
Ose le "merci la vie"
Ose Aimer la vie 
Ose t'aimer
Ose aimer 
Ose...

JE T'AIME


dimanche 13 novembre 2016

C'est quoi l'amour pour les humains ?...

 



«Mais pourquoi restes-tu avec lui (avec elle) ? » Combien de fois avons-nous posé cette question à nos amis enlisés dans des histoires douloureuses ? Combien de fois nous sommes-nous demandés ce qui les poussait à persévérer dans des relations insatisfaisantes ? Non, c’est sûr, ce n’est pas ça, l’amour. Qu’est-ce que c’est, alors ? Un sentiment qui nous rendrait immuablement heureux ?
Certainement pas, nous dit la psychanalyse. L’amour, le « vrai », n’a rien à voir avec la sérénité. Même après le cap de la fusion des débuts, et contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, l’amour, ce n’est pas pépère; ça chavire, ça secoue, ça nous lie mystérieusement à l’autre dans une épopée qui échappe à toute rationalité. Exploration de quelques signes révélateurs.

Trouver l’autre mystérieux

L’amour est un mystère pour ceux qui le vivent, un mystère pour ceux qui le regardent. Nous constatons, mais nous ne comprenons pas. Pourquoi ? Parce que ce qui nous lie à l’autre est inexplicable. Aimer vraiment, c’est aller vers quelqu’un, non pas seulement pour son image (sa beauté, sa ressemblance avec tel ou tel), ni pour ce qu’il symbolise (un père, une mère, le pouvoir, l’argent), mais pour son secret. Ce secret que nous ne savons pas nommer, et qui va rencontrer le nôtre : un manque ressenti depuis l’enfance, une souffrance singulière, indéfinissable. « L’amour s’adresse à notre part d’inconnu, explique le psychanalyste Patrick Lambouley.
Il y a un vide en nous qui peut causer notre perte.  Eh bien, l’amour, c’est la rencontre de deux blessures, de deux failles, le partage avec quelqu’un de ce qui nous manque radicalement et que l’on ne pourra jamais dire. » L’amour vrai, ce n’est pas « Montre-moi ce que tu as » ou « Donne-moi ce que tu as pour combler ce qui me manque », mais plutôt « J’aime la manière dont tu essaies de guérir, ta cicatrice me plaît ».
Rien à voir avec l’hypothèse de la « moitié d’orange », déclinaison du Banquet de Platon (LGF, “Le Livre de poche”, 2008), qui nous voudrait incomplets parce que coupés en deux. L’amour nous rendrait alors « un » et heureux ! « C’est la cause de la faillite forcée de bien des couples, observe Patrick Lambouley. Quand certains s’aperçoivent qu’ils ressentent encore une insatisfaction, ils s’imaginent que c’est parce qu’ils n’ont pas trouvé l’homme ou la femme qu’il leur “fallait”, et qu’ils doivent en changer. Ce n’est évidemment pas le cas. » Aimer vraiment, c’est dire à l’autre : « Tu m’intéresses. » 

Avoir peur de le perdre

Aimer, c’est avoir peur. Tout le temps. Freud, dans Malaise dans la civilisation (2), l’explique ainsi : nous devenons dépendants parce qu’il faudra que l’autre nous soutienne toujours dans l’existence. D’où la peur de le perdre. Explication lumineuse de Monique Schneider (3), philosophe et psychanalyste : « L’amour implique une prise de risque. Il suscite un phénomène de vertige, parfois même de rejet : on peut casser l’amour parce que l’on en a trop peur, le saboter tout en essayant de se confier, réduire son importance en s’attachant à une activité où tout repose sur soi-même. Tout cela revient à se protéger du pouvoir exorbitant de l’autre sur nous. »
D’autant, souligne encore Freud, qu’Éros et Thanatos vont de pair. Je t’aime, je te détruis. Éros, c’est notre désir de nous lier amoureusement les uns aux autres?; Thanatos, c’est la pulsion de mort qui nous pousse à rompre le lien pour que notre moi reste tout-puissant. L’amour poussant à sortir de soi, le moi le combat. « C’est difficile de renoncer à soi, décrypte le psychanalyste Jean-Jacques Moscovitz (4). On sent bien quand on aime que quelque chose nous tiraille.
L’amour touche à notre être, à ce que nous sommes au monde. Peu de gens s’en rendent compte. Ils se retrouvent seuls et se sentent bien dans cette solitude puisqu’ils sont désormais à l’abri de cette pulsion de mort. Mais quand, dans l’amour, on a survécu aux déchirements, aux conflits, on atteint une zone formidable où rejaillit le sentiment. » L’amour vrai n’est pas un contrat d’affaires : c’est un sentiment violent qui fait courir un danger aux deux partenaires. Il ne faut jamais l’oublier quand on doute, quand l’autre semble nous « désaimer ». « Quand quelqu’un se défend, explique Monique Schneider, ça ne veut pas dire qu’il n’est pas amoureux. Il peut juste redouter de se retrouver les mains liées. »

Accepter de s’engager avec lui dans l’inconnu

Rien n’est écrit. Le romantisme de la passion qui flamberait puis irait vers une prévisible extinction est un mythe. L’amour ne prend pas systématiquement le chemin d’une pente déclinante. Il peut emprunter une route inverse. Nous devons accepter de ne pas avoir de maîtrise sur nos sentiments. « On n’entre pas dans un univers volontariste ou méthodique, ajoute Monique Schneider. On peut passer par des épisodes contrastés. Traverser des instants de bonheur extatiques fait que l’on peut ensuite tomber de très haut, bien sûr.
Mais être persuadé que l’amour n’est jamais certain signifie que l’on a hérité d’un passé qui nous empêche de croire en nous et en l’autre. Pour aimer vraiment, il faut presque croire en une sorte de miracle. Freud parle d’attente croyante. Il faut entretenir le feu qui peut redémarrer, ne pas exiger de satisfaction immédiate. » Accepter l’inconnu, être patient…

Éprouver du désir

Aucun doute : aimer, c’est avoir envie de l’autre. Mieux, confirme Jean-Jacques Moscovitz : « Faire l’amour aide à aimer. Sans échange corporel, quelque chose dans l’amour ne se fait pas. L’amour demande du plaisir parce qu’il y a du désir. Et les amants qui s’aiment connaissent une jouissance supplémentaire. La différence des sexes s’annule dans le rapport. On ne sait plus qui est l’un et qui est l’autre. Les deux se confondent. Il y a désinvestissement de la valeur de l’organe. On fait corps. C’est une jouissance qui écrase. »
Sans amour, le plaisir se vit comme un moyen de se débarrasser d’une tension, tandis que pour jouir dans une émotion qui dégage des ondes, des vibrations, une expérience forte, il faut aimer vraiment : « Dans l’amour, on obtient une jouissance autre », renchérit Monique Schneider.

Une baisse de désir signifie-t-elle un désamour ? Pas du tout : « Il est des moments de bonheur où l’on est tellement heureux que l’autre soit ce qu’il est que l’on peut simplement se satisfaire du fait qu’il existe », rappelle Monique Schneider. Au-delà de ces instants de contemplation, d’autres femmes dissocient amour et désir. « Ce n’est pas qu’il y ait moins de sentiments, développe Jean-Jacques Moscovitz. Au contraire. C’est un peu comme si se donner trop allait les faire disparaître. Intervient ici quelque chose de l’enfant qui n’est pas réglé, un idéal de l’amour beaucoup trop ancré dans l’idéal paternel. Elles ont été femmes et redeviennent des petites filles : la relation leur apparaît incestueuse. La dimension paternelle reprend le dessus, peut-être pour se protéger de cette peur de se voir dissoutes dans le corps à corps. »
Ces femmes se réfugient dans un amour adorateur, se défient de la relation sexuelle, qui doit à nouveau être apprivoisée. Elles peuvent alors passer par une autre forme de rapport physique, celle de l’étreinte : envelopper l’autre, le porter comme s’il était à l’intérieur de soi. Et quand l’envie revient, le désir suit. Rien de figé dans ces flux et reflux. Tout va et vient. 


Se sentir exister

« Être aimé, c’est se sentir justifié d’exister », disait en substance Sartre. L’amour vrai, c’est cette expérience de légitimation au monde, cette illusion que notre amour est unique. L’autre est l’idéal incarné, et nous existons grâce à son regard. L’amour nous redonne un statut d’enfant convaincu de sa toute-puissance, convaincu que s’il n’existait pas, le monde raterait quelque chose. On s’élit l’un l’autre.
Ce thème biblique de l’Élu, Freud le reprend à son compte pour bien distinguer l’amour vrai de l’amour charité tourné vers le bien. Nous investissons l’autre. Nous lui reconnaissons son importance radicale : nous l’estimons, nous le valorisons, nous le croyons irremplaçable. Nous avons fait une trouvaille, découvert un trésor. Nous ne sommes plus seuls.
L’autre nous apporte aussi son monde, une ouverture vers d’autres horizons, des émotions que nous ne percevions pas avec la même intensité auparavant. Nous sommes davantage « réveillés ». Nous avons le sentiment d’être à l’abri puisqu’il a su nous découvrir.
« Aimer vraiment intensifie notre sensation d’exister », conclut Monique Schneider.




Psychologies.com

Aime-toi...




Je m'aime, je m'accepte comme je suis en cet instant présent.
Je veux juste être là. Je ne désire que ça. Et... je suis là. J'ai déjà ce que je veux: je suis moi. Oui, le personnage aussi.
Il fait aussi parti de ce que je suis.
Et il n'y a rien à changer.

J'ai compris que si je ne fais que demander des trucs à la vie c'est juste pour être heureux. Parce que je veux être heureux. Parce que je déclare que je ne le suis pas déjà maintenant. Alors je ne le suis pas. Et je demande.
Parce que j'en ai chié, parce que je me sens seul et triste et je pense que si j'ai cette maison, cette nana, cet argent, le BAC, ce boulot, encore plus d'argent, cette autre nana, un enfant, une nouvelle chaudière et ben je serai enfin heureux.
Mais ça s'arrête jamais en fait. Ya toujours quelque chose que je veux parce que ya toujours quelque chose que je juge comme étant mal. Et ce que je juge mal c'est ce moment présent. Parce que dans le moment présent et ben je me sens seul, triste, pas bien, et que je juge cet état. Mais surtout je refuse cet état. Et c'est le refus qui me fait souffrir. Ouais. C'est pas le fait d'être triste ou seul, c'est le refus d'être triste ou seul qui me fait souffrir. Si j'accepte pleinement ce qui est, je reste triste, mais je ne souffre plus. Vous voyez qu'il y a une différence. Vous le savez.

La partie de moi qui n'a pas oublié qui je suis, aime. Elle aime tout. Elle aime déjà l'incarnation et le personnage. Elle aime cette illusion et ce jeu. Mais moi, le petit moi a l'impression qu'il faut qu'il évolue. Je ne m'aime pas comme je suis dans cette incarnation. Alors je cherche quelque chose pour combler ce vide, ce manque d'amour. Une fille, une maison, un boulot. Et quand j'ai tout ça, je cherche autre chose. Et non seulement je continue à chercher mais en plus je ne suis même plus satisfait de ce que j'ai reçu. Ouais je voulais une femme, mais bon là elle me gonfle et j'aimerais un peu d'air. Ouais je voulais une maison, mais putain t'as vu le prix de l'impôt foncier ? Et mon boulot, ok il paye bien, mais c'est stressant non ? Je peux avoir un peu de calme et de paix maintenant ?

Mais comment est-ce possible que je ne sois pas déjà parfait pour ce que je suis venu faire ici ? Comment est-ce possible qu'il faille évoluer ? Comment est-ce possible que j'ai besoin de quelque chose pour être heureux ? Hein ? Alors comme ça on croit en Dieu mais il serait pas foutu de nous faire parfaits de base ? Il faudrait mériter son amour, il faudrait évoluer, il faut gagner notre vie, il faudrait être mieux que ce que l'on est déjà ? Le Dieu qui attend quelque chose de toi n'existe pas. Car Dieu est amour et l'amour est parfait et l'amour n'attend rien et l'amour accepte et l'amour... c'est nous. Nous sommes ce que nous cherchons, comme disait l'autre.

On est déjà ce qu'on est (dans l'unité et dans le monde) et notre personnage est déjà parfait. Il est parfait pour ce qu'il est venu faire. Ou ne pas faire. Il est parfait pour ce qu'il est venu vivre. On ne sait pas ce qu'on est venus faire, mais on est là et ya une chose qui est sûre: on est venu vivre. Ça on peut pas le nier. On souffre parce qu'on s'imagine qu'on est pas encore parfaits pour vivre. Simplement pour vivre ! Le truc dingue de simplicité, et ben même ça on le refuse. On accepte pas le corps qu'on a. J'ai des bras trop gros que j'aime pas, j'ai pas de cheveux, j'ai un gros ventre. On accepte pas la personnalité qu'on a. Je m'énerve trop, je pleure trop souvent, je ne suis pas assez joyeux. On accepte pas nos envies, nos désirs, ou ce qu'on fait ou ne fait pas. Je médite pas assez, je ne devrais pas penser à elle, je devrais travailler plus. Bla bla bla.

Je m'aime. C'est tout. Je m'aime dans toutes mes contradictions, dans tout ce que je suis, dans tout ce que je pense, dans tout ce que je fais, dans tout ce que je désire. J'aime mon corps. J'aime aussi mes jugements sur tout ce que j'aime. Car je sais que c'est la peur de juger qui me fait souffrir. J'accepte pleinement ce que je vis, mes émotions, ma tristesse, ma joie, mes peines, sans jamais penser au passé ou au futur. Je m'aime tout de suite. Là devant mon ordi. Maintenant. Je m'aime maintenant tel que je suis avec tout ce que je ressens. J'aime aussi le personnage que j'ai été sans le juger. Si je le juge alors j'accueille ce jugement. Je l'embrasse. Je vois le passé avec acceptation et je reviens au présent. Je m'aime entièrement maintenant et ici. L'unité c'est cool, ouais pas de problème. Les Anges sont sympas, ouais pas de problème. Mais aimons le personnage aussi. Aimons ce jeu, aimons ce je, aimons cette incarnation. Aimons notre création, aimons le personnage que nous sommes. Que nous sommes, oui, aussi.
Je vibre cette fréquence d'amour pour ce que je suis. Et je n'ai besoin de rien de plus, car il n'y a rien à changer. J'ai déjà tout ce qu'il me faut: ce moment, ce moment pour vivre.





Mickaël Faivre-Macron

vendredi 11 novembre 2016

L'acceptation de soi...


La solitude spirituelle: Que faire lorsque personne ne vous comprend ?

La solitude spirituelle: Que faire lorsque personne ne vous comprend ?

solitude spirituelle


Pour tous ceux qui sont tournés vers la spiritualité, il n’est pas rare de se sentir quelque peu déconnecté des autres personnes. L’expérience de la solitude est presque une conséquence naturelle de l’éveil spirituel. Bien que nous soyons connectés à notre système de guidage intérieur, nous pouvons aussi nous sentir un peu négligé dans notre civilisation actuelle, où le matérialisme, le consumérisme et la négativité règnent souvent en maîtres. Si vous vivez actuellement un processus d’éveil, ou si vous l’avez déjà vécu, alors vous savez certainement ce que c’est que d’être rejeté par le troupeau. Alors, comment pouvons-nous éprouver un sentiment d’unité avec les gens, tout en ayant l’impression d’être émotionnellement séparé de tout le monde?
Voici quelques moyens utiles pour faire face à la solitude spirituelle :

1) La réalité elle-même est tout simplement impliquée dans la conscience. Tout est un rêve.

Vous êtes en train de rêver en ce moment. Vous ne rêvez pas au sens où votre corps est endormi, mais vous rêvez au sens où, que lorsque vous mourrez, vous vous réveillerez dans une dimension nouvelle.
Vous réaliserez que votre vie matérielle et votre séjour spirituel étaient une grande pièce montée qui était mise en place afin que vous puissiez évoluer entant qu’âme.
Prendre du recul et adopter un regard différent aide vraiment à faire face à la solitude, car cela permet de nous rappeler que notre vie est une manifestation de notre conscience et une projection de notre créativité.
Ne prenez pas trop les choses au sérieux! Tirez des leçons de votre rêve, écoutez-le, et explorez-le. Mais ne laissez pas le contenu du rêve vous retarder.

2) Fonctionnez à partir de l’amour plutôt que de la peur

Ne laissez pas des pensées telles que « Je me sentirai toujours aussi seul », ou « Je ne trouverai jamais le groupe d’amis qui me correspond » dominer votre conscience. Le problème avec l’utilisation de la peur comme facteur de motivation dans la vie, est que la prise de décisions sous la peur éloigne de nous les choses que nous voulons. Par exemple, si nous avons peur d’être seul, nous attirerons davantage la solitude dans notre vie. Est-ce qu’une personne peut être énergétiquement attirée par un champ énergétique de peur et d’auto-apitoiement?
Fonctionnez à partir d’un espace de certitude et d’amour de soi, et vous ne pourrez vous empêcher d’attirer l’amour dans votre vie. Lorsque vous permettez à la peur d’être votre sentiment dominant, vous dites à l’univers que vous n’êtes pas encore prêt à accomplir des grandes choses.

3) Filez avec le vent

La vie dans la société moderne peut parfois être un ensemble de défis frénétiques. Donc nul besoin de se précipiter, ni d’essayer de gagner la course. Rappelez-vous, il n’y a nulle part où vous devez être, rien que vous deviez faire et vous ne devez impressionner personne. Parfois, nous sommes à la merci de la souffrance causée par l’anxiété car nous nous accrochons aux attentes lancées par la société. Vous n’avez pas besoin de vous retrouver avec un grand groupe d’amis chaque week-end. Vous n’avez pas besoin d’une relation comme dans les contes de fées. Avoir des attentes d’une vie toute faite ne peut qu’engendrer le stress et la confusion. Apprendre à complètement lâcher-prise et vous détendre sera l’une des meilleures choses que vous puissiez faire pour créer une vie heureuse pour vous-même.
Suivez votre intuition et faites les choses qui viennent naturellement à vous. La vie est un voyage. Travaillez avec l’univers, suivez votre cœur, et soyez ouvert aux possibilités.

4) Cherchez des gens comme vous

Rappelez-vous toujours ceci, nombreuses sont les personnes tournées vers la spiritualité dans le monde. Ne vous découragez pas si vous n’en trouvez immédiatement autour de vous. Il vous faut mener le train de vie qui vous plaît, et vous unir avec l’univers afin qu’il puisse créer des synchronicités pour vous. Prenez des cours de yoga. Apprenez davantage sur la métaphysique à partir d’une boutique locale. Ecoutez de la musique progressive. Rejoignez une communauté spirituelle en ligne. Gardez toutes vos portes ouvertes.
Il est courant de se sentir seul ou exclu de la société, surtout si vous avez des croyances et des opinions alternatives. Ne vous apitoyez pas sur vous-même. L’apitoiement sur soi est inutile. Soyez fier d’avoir le courage d’être vous-même dans un monde où l’individualité est réprimée. Soyez heureux car tant que vous serez dans l’intégrité, vous n’attirerez que des relations incroyables. Vous êtes aimé, et il y a des millions d’autres personnes qui sont du même avis que vous.
Il m’arrive parfois de ressentir une « solitude spirituelle ». Mais la chose importante à faire quand vous vous sentez seul est de changer votre perspective, agissez à partir de l’amour, soyez fier de vous, d’être vrai et de qui vous êtes, et faites confiance que l’univers va vous donner le système de soutien dont vous avez besoin si vous êtes prêt à sortir de votre zone de confort afin de permettre à des connexions de se produire.






Source : thespiritscience.net

Sandra Véringa

mardi 25 octobre 2016

Éveil...

<3 À propos de l'éveil, de notre Éveil

Que fait la nouvelle énergie qui inonde ce monde de sa lumière. On convient que dans cette matrice, toutes les âmes incarnées vibrent à différentes fréquences, taux vibratoire. Selon le taux de chacun, la lumière agit là où l'être n'a pas encore transcendé, ce qui veut dire, les croyances, les peurs, l'argent, les biens matériels, les blessures de l'âme, qui sont le rejet, l'abandon, l'humiliation, trahison et l'injustice, en gros tout ce qui vient nous titiller, déstabiliser, perturbe notre paix intérieure, nous fait réagir. Quoi qu'il en soit, chacun vit cette transition, se trouve être confronté à son ancienne énergie, de s'en libérer, sans avoir d'amertume, sans regret, acceptant de vivre dans la nouvelle énergie, libre de toute possession. L'univers nous envoie les scénarios pour nous permettre de nous libérer de toutes nos béquilles. Celui qui a tout perdu, n'a plus cette peur de perdre quoi que ce soit, il fait entièrement confiance en la lumière, il a cette foi incommensurable que tout se manifeste sur son chemin et cela avant même de le demander.

Personne n'est épargné, car tout y passe, l'ancien disparaît pour laisser la place au nouveau. Il en est de même pour tous, se libérer de l'ancien pour renaître au nouveau. Cette transition est à l'image de chacune, selon sa flexibilité à se départir de toutes ces béquilles, croyances, peurs et autres. Être nu à tous les niveaux, il n'est plus possible de répéter les mêmes schémas. Plusieurs essaient de le faire mais souffriront de leurs propres actions, cela sont des scénarios qui confrontent tous les êtres à se libérer de leurs anciens schémas. L'amour est le seul chemin, foi en notre lumière, en notre source commune, en la lumière de l'amour, un amour absolu, inconditionnel et universel. 

Le temps n'est plus de combattre quoi que ce soit, quoique le combat se fasse entre l'ancien et le nouveau. Il suffit de voir les symptômes, que ce soit d'ordre physique, psychique, mental, causal, éthérique, etc. Tout y passe. Voilà l'importance de se libérer de tous les anciens schémas, toutes les croyances et peurs. La justice divine frappe, tout est juste, l'épée de Mickael tranche, plus vous résister à rester dans l'ancienne énergie, plus votre souffrance sera à la grandeur de votre ego. Quoi qu'il en soit, tout est prévu, il n'y a rien de laisser au hasard, ceux qui ne passeront pas à travers cette transition, quitteront vers un autre monde, conforme à leur taux vibratoire. Selon le choix de notre âme, chacun ira où il se doit, conforme à sa vibration. La lumière de l'amour ne juge point, elle se conforme à la vérité de chacun, lui créant une matrice pour son apprentissage et évolution. 





En toute humilité, authenticité
Régis Raphaël Violette


samedi 22 octobre 2016

Tout a un sens.....




Tout a un sens.
Tout a un sens car tout ce qui vous arrive, tout ce qui vous est arrivé, tout ce qui vous arrivera est le choix de votre conscience.
Pourquoi ? Pour vivre. Car l'amour, la conscience, l'intelligence que vous êtes, la vie veut vivre a travers vous.
Vivre quoi ?
Vivre l'humain, la réalisation de votre véritable nature : l'humain centré sur le coeur, l'humain aligné : corps - mental - coeur
Ne fuyez pas !
A chaque instant, vous avez toujours deux choix : fuir ou affronter.
La question c'est qui ?
Qui veut fuir la situation ?
C'est l'ego. Le vrai soi veut vivre l'expérience quelle qu'elle soit. Douloureuse ou heureuse. Du point de vue de la conscience peut importe. L'important c'est d'apprendre la lecon.
Et plus vous allez fuir, plus la vie va vous rattraper.
La vraie question, c'est qui ?
Qui a crée la situation que vous vivez maintenant ? Pourquoi ?
Si vous comprenez que c'est vous, et si vous voyez le cadeau derrière, alors tout s'eclaircie, c'est l'éveil de la conscience.
La réalisation du Soi, c'est la compréhension que tout est vous, que vous avez tout choisi dans les moindre détails, que vous ne pouvez pas ne pas être vous finalement. D'une certaine façon la vie est un jeu entre vous et vous. Entre le vous supérieur, l'âme, Dieu, et l'ego, l'humain qui vit au quotidien.
Chaque experience de la vie a un sens car vous avez un sens, car tout est une projection de vous. Sans l'univers, vous n'existez pas, et sans vous, l'univers n'a pas de raison d'être.
Il y a une liaison tres intime entre vous et l'univers. Pouvez vous sentir cet amour ?
L'univers vous a crée mais vous avez aussi crée l'univers. Oui, vous êtes l'auteur, le réalisateur, le créateur de tout ce qui existe.
Votre vie humaine n'est que la matérialisation d'un aspect de vous. Et dans cette vie, vous avez quelque chose a apprendre.
Ne fuyez pas, affrontez.
Affrontez votre entourage, courage, exprimez vous. Definissez ce que vous êtes et ce que vous n'êtes pas. C'est le jeu !
Sur ces paroles d'éveil, je vous envoi mon amour et ma gratitude.
Merci de m'écouter, merci d'être avec moi.
Je suis là aussi,
Pour toi.











Sebastien Socchard / Brahmadev, Auteur du livre « Qui êtes vous? »

Les deux premiers chapitres à télécharger gratuitement ici :
https://m.facebook.com/groups/224951624514093?__mref=message_bubble

lundi 17 octobre 2016

Tu n'es pas ce que tu crois être...

 
 
Jamais, un enfant ne te dira : 
« J’essaye de lutter contre la douleur et contre mes cellules cancéreuses ».

Sans aucune résistance intérieure, il se laisse instinctivement « porté par la vie ». C’est dans cet état de grâce que tu es né.
 
Le contrôle ou l’effort ne font pas partie de ton état naturel. Tu es venu au monde habité par une joie naturelle qui aurait dû s’accroître au fil des ans. Mais divers facteurs liés au bagage héréditaire ont finalement provoqué un état de combativité dans ton espace mental, qui croit que le bonheur se mérite et ce, par le biais d’un dur labeur. C’est à ta propre insu qu’un chemin de vie parfois affligeant s’est dessiné à l’horizon.

Peut-être crois-tu qu’il te manque certains éléments pour atteindre tes objectifs ou pour être enfin en paix. Je t'invite invite à te remémorer ta petite enfance. Es-tu né en pensant : « Je manque de confiance, j’ai peur de vivre, je n’y arriverai jamais et que dois-je faire pour retrouver ma paix intérieure » ? 
Réalises que tu  portes une lourde charge de croyances qui ne t'appartient pas, mais qui te maintient dans un état de résistance épuisant progressivement toutes tes ressources énergétiques.

Ce mécanisme de lutte fait de l’ombre à un potentiel inné qui sommeille en toi. Il s’agit de ton Pouvoir d’Accueil. Le Pouvoir d’Accueil n’est ni un concept intellectuel, ni un outil thérapeutique. C’est un état d’être qui est omniprésent. Tu l'as simplement perdu de vue, à l’instant où tu as endossé un bagage héréditaire qui ne t'appartient pas...
 
 
 
 
 
Nassrine Reza

lundi 10 octobre 2016

Tu mérites un Amour...


Pour toi <3 et pour moi et pour tout le monde
e" 

Tu mérites un amour décoiffant, qui te pousse 
 à te lever rapidement le matin, et qui éloigne tous ces démons qui ne te laissent pas dormir.
Tu mérites un amour qui te fasse te sentir en sécurité, capable de décrocher la lune lors qu’il marche à tes côtés, qui pense que tes bras sont parfaits pour sa peau.
Tu mérites un amour qui veuille danser avec toi, qui trouve le paradis chaque fois qu’il regarde dans tes yeux, qui ne s’ennuie jamais de lire tes expressions.
Tu mérites un amour qui t’écoute quand tu chantes, qui te soutient lorsque tu es ridicule, qui respecte ta liberté, qui t’accompagne dans ton vol, qui n’a pas peur de tomber.
Tu mérites un amour qui balayerait les mensonges et t’apporterait le rêve, le café et la poésie."
Frida Khalo

jeudi 29 septembre 2016

Imaginez 7 milliards de robots...



Imaginez que les 7 milliards d’être humains soit des robots,
Imaginez que ces robots ne soient pas conscient,
Imaginez que ces robots soient programmés,
Par leur parents, par l’école, par la télévision, par les médias, par la société,
Puis Imaginez ces 7 milliards de robots,
Connectés a l’univers,
Recevant des pensées, recevant des idées, connectés a l’Imagination.
Imaginez 7 milliards d’antennes sur pattes, programmés, vacant a leurs occupation, vivant leur vie de robot.
Puis Imaginez maintenant que vous aussi, vous fassiez partie de ces robots.
Imaginez que vous puissiez devenir libre,
Imaginez que vous puissiez comprendre qui vous êtes réellement,
Imaginez que vous puissiez comprendre pourquoi vous êtes la,
Imaginez que vous puissiez vous déprogrammer entièrement,
Puis imaginez que vous puissiez vous reprogrammer aussi !
Imaginez que vous puissiez devenir libre un jour, de toute programmation.
Imaginez que cette libération commence maintenant !
Imaginez que ce poème soit une clé,
Imaginez que cette clé vous ouvre toutes les portes,
Imaginez un nouveau monde.
Comprenez ce que vous êtes réellement,
Vous n’êtes pas ce que vous croyez être !
Vous êtes bien plus que cela.

Vous êtes une conscience infinie,
Méditez, méditez,
Concentrez vous,
Concentrez vous sur votre cœur,
Méditez, méditez,
Concentrez vous,
Concentrez vous sur l’amour,
Fondez,
Fondez vous dans l’amour,
Comprenez l’amour qui est en vous.

Tombez amoureux, puis, retrouvez la divinité qui est en vous.
A vous qui lisez ce poème : Je vous dis que je vous aime, je vous dis que je vous aime!
Recevez mon amour infini,
Redevenez libre.
Comprenez qui vous êtes réellement,
Libérez vous !
Réveillez vous!
Déprogrammez vous !
Libérez vous !
Réveillez vous !
Vous êtes libre !
Libérez vous !
Réveillez vous !
Maintenant !
Maintenant,
Vous pouvez commencer à vivre,



Ifinite love

Pourquoi vous ne trouvez pas une belle relation d'amour.....

Souvent certaines personnes veulent avoir quelqu’un dans leur vie parce qu’elles ne veulent pas être seules.
Ma question est la suivante :  : Si tu ne veux pas être avec toi-même, pourquoi quelqu’un d’autre voudrait être avec toi ?  A quoi ressembles-tu à l’intérieur? As-tu un esprit simple et doux ? Sais-tu faire preuve de compassion ?
T’es-tu abandonnée ? As-tu abandonné tes rêves ? As-tu abandonné tes dons ? A quand remonte la dernière fois que tu as eu une conversation intime avec toi ? A quand remonte la dernière fois que tu es sortie pour passer une bonne soirée ? A quand remonte la dernière fois où tu étais seule chez toi en pyjama en train de faire une chose que tu aimes ?
Oh nous vivons dans un monde où on attend qu’une autre personne que nous-mêmes, nous rende heureux ou heureuse. Souviens –toi que la seule relation que tu auras toujours est le reflet que tu as de ta relation avec toi-même.
Donc si tu veux quelqu’un de magnifique et de très bien dans ta vie, commence par toi-même.
Construis cette relation et vois ce qu’il se passe.


Lyanta vanzant

mercredi 21 septembre 2016

mardi 20 septembre 2016

L'humour d'une infimière dans une maison de retraite....



Elle s'appelle Catherine Papillon et vit au Québec...
Après un stage sur l'amour, elle reprend son job, en pleine forme, et raconte :

Coucou Les Cœurs , Depuis le Retour dans le Sud ... Sans vous avoir quitté ...Changement de Regard en Unité ...partage d'un regard Professionnel ... Avec reprise des activités d'infirmière , en associé mains tenants" le Saint d'Esprit (SE) pilote en mode... GPS ...et Vois Là ... des urgences à En Rire ...

Alors Je Nous souviens d'en rire aussi ... panne d'électricité (hier de l'instant) dans une résidence de " retraite " , un film d'Amour et d'humour ...les fauteuils de relaxation sont restés en "lévitation"' ...Merci Laurent Levy* ...les télécommandes des fauteuils bloquées sur" Pause ..."les fauteuils ne s'actionnaient plus sans l'impulsion électrique ..suite coupure d'électricité de 13h30 à 16 h00 ... les "patients .." en Mode ...Pause ...dessus ...!!! ...patients... très Impatients au bout d'un moment ..agitation comme des enfants et glissade version toboggan ....y a plus d'âge pour retrouver son Coeur d'enfant ...! résultats des glissades ... des égratignures : "panse aimant"' effectués en compresses de Douceurs , des Câlins , des médecins affolés pour rire ...qui prescrivent des bilans à 14 h , 15 h , ordos de médicaments Bonbons pour les Bobos prescrites avec des placebos ...pour soulager les Bobos , ultra levure à gogo , puis , le "Bruit de l'urgence pour rire " ... de la panne ...Pause ..."s'est propagé ...arrivée de famille pour Voir ...puis réunions des familles recomposées ( et oui les retraités toujours amoureux se fiancent entre eux de 60 à 100 ans et plus ) ...les enfants ne savent plus où donner de la tête et de la fête ... dans les aventures amoureuses parentales qui se célèbrent en Vin ( alors là ...les cuisinières ont mis de l'eau dans le vin et en vain pour atténuer les effets secondaires des médicaments placebos , Avec SE en tournée on s'amuse ...Y a de la Joie ( je n'arrivais même plus à décripter les ordos pour les examens de Labo ...j'ai rempli les tubes à essai en mode "tous Tout Pleins ..les mains pleines de douceurs pour tous les Soins ,SE pilotait le scénario des urgences de rire avec un grand Sourire , Bref Ne pas chercher à Voir... la Pause ...Là c'est Vu ... ( en "Levytation " des fauteuils de relaxations ...) ...

Pas d'urgence sauf pour Rire , Etre la Pause et Voir ...Que tout est Plein D'Amour , Merci Je nous Souviens Je nous aime








* Laurent Lévy

lundi 19 septembre 2016

Choisis ton entourage...



Qui ne cherche pas à te voir, ne souffre pas de ton absence.

 Qui ne souffre pas de ton absence, ne t'aime pas.

Le destin choisit qui entre dans ta vie, mais toi seul décide qui y reste.

La vérité blesse une seule fois. 
Le mensonge, à chaque fois que tu y penses

.Alors, valorise ceux qui te valorisent et ne considère pas comme priorité ceux qui te traitent comme une option ... !!!!

Les dauphins nous guérissent...



De tout temps, les dauphins ont fasciné l’homme peut-être parce qu’ils sont à la Mer ce que les hommes sont à la Terre. Comme l’homme peuple toutes les terres de ses différentes races, les quelques 70 espèces des dauphins sont présents dans toutes les mers et océans du monde.
Plus proche de l’homme que des animaux voire des poissons, c’est un mammifère qui vit en « famille » lui aussi. Certes, une famille plus élargie que celle de l’homme puisqu’elle peut se composer d’environ 300 individus !
Quand une « maman » donne naissance à un petit, elle est aidée par d’autres femelles qui jouent le rôle de « sage-femme », en tirant le petit par la queue et le protégeant pour éviter qu’il se fasse mal. On ne connaît pas d’animal qui agisse de cette manière et c’est la raison pour laquelle le dauphin n’est pas un animal. De plus, les dauphins communiquent entre eux : ils utilisent des sifflements, des grognements et aussi des postures du corps. Chaque dauphin possède son propre sifflement distinctif. Le jeune dauphin va créer son propre sifflement en utilisant les éléments du sifflement de sa mère, ce qui permet de dire qu’ils ont donc des noms et des noms de famille !… comme l’homme.
Les dauphins s’entraident les uns les autres, ne se font pas la guerre et sont assez intelligents pour ne pas polluer leur environnement. Quelle belle leçon pour les hommes !!
Ils possèdent – avec les baleines – le cerveau le plus évolué de tous les êtres peuplant les océans. Il faut signaler que leur cerveau et leur organisation de vie sociale ont des dizaines de millions d’années d’avance sur ceux de l’humain grâce à leurs dizaines (voire selon des scientifiques des centaines) de millions d’années d’expérience sur notre planète, tandis que nous l’occupons depuis 2 ou 3 millions d’années.
Il serait donc normal que nous prenions exemple sur les dauphins et écoutions leur message !
 
En effet, il y a eu des créations végétales, animales qui ont été mises en place sur la Terre par des Êtres venus d’autres planètes. Des peuples d’animaux et d’Êtres, issus des Etoiles, sont venus vivre des incarnations sur Terre. Avec le temps, ces Êtres ont établi une relation si intense avec les êtres de la Terre qu’ils ont eu envie de les aider dans leur évolution et ont accepter pour cela de s’incarner dans des créatures qui faisaient partie de leur planète d’origine et qui sont les Dauphins.
Ils ont quitté leur planète, leurs semblables pour venir aider des êtres à comprendre que leur incarnation sur Terre a un sens, un but d’évolution et leur en montrer le chemin, tout cela gracieusement. Ils sont pour nous un exemple et des Maîtres d’amour inconditionnel nous préparant à la paix de l’Au-delà !
 
Les dauphins, par leur formidable énergie de joie – le dauphin a toujours le sourire – et leur remarquable intelligence, ont de nombreuses qualités à transmettre aux hommes.
 

Ils sont venus sur la Terre pour lancer des appels à
l’Eveil et à l’Evolution Spirituelle à l’Humanité.
 
Les dauphins sont des êtres charismatiques d’un haut développement spirituel, liés d’amitié avec les hommes depuis la nuit des temps. Et, si de tout temps, ils leur ont montré la voie et aidé à la suivre, ils représentent pour beaucoup en ce début de millénaire le symbole du commencement de l’ère du Verseau : l’âge d’une nouvelle conscience. Pour rendre cette transformation possible, il est important de lâcher les anciennes habitudes et les blocages, ce que nous pouvons apprendre dans la relation avec les dauphins qui ont déjà dépassé depuis très longtemps ces entraves à leur évolution spirituelle bien plus avancée que la nôtre.
Grâce à des études de l’évolution – notamment par l’embryologie – des chercheurs ont conclu que « les dauphins furent des animaux terrestres qui ont continué leur évolution en retournant dans l’eau ».
 
Suite aux nombreuses rencontres entre les hommes et les dauphins dans la mythologie où les dauphins aidaient les pêcheurs dans leur travail et sauvaient de nombreux marins de la noyade, ils établirent des relations très amicales. En Grèce, il n’y avait pas d’animal plus divinisé que le dauphin au point que ses assassins étaient punis à mort. Les dauphins étaient considérés avec respect et vénération comme des symboles divins de la force vitale de la mer. Le mot dauphin est étroitement apparenté au mot grec delphis, qui signifie le giron, la matrice ou le corps maternel. Dans le culte de la Grèce antique, les dauphins jouaient un rôle important : leur tâche était de conduire les âmes des défunts sur l’île des Bienheureux, le pays des morts.
 
L’amour que le dauphin voue à l’enfant est légendaire. Déjà en 79 avant Jésus-Christ, Pline le Jeune aimait à conter ce lien mystérieux aujourd’hui reconnu de tous. Il relatait l’histoire du fils d’un pauvre pêcheur de Pozzuoli, un petit village situé sur la baie de Naples, qui, chaque jour, pour se rendre à l’école, traversait une crique sur le dos d’un dauphin sauvage. Ce petit manège dura plusieurs années. A la mort brutale du petit garçon, le dauphin continua de venir chaque jour l’attendre le long de la plage. Puis il comprit que jamais plus son compagnon de jeu ne reviendrait. Alors, fou de tristesse, le mammifère se laissa mourir. Cette image resta gravée dans les mémoires.
 
Tous les peuples anciens et leurs descendances actuelles vivant toujours selon les connaissances et traditions des Anciens tels les chamans polynésiens, les pêcheurs indiens de l’Amazonie ou du Brésil, les aborigènes d’Australie, et bien d’autres… même les Dogons d’Afrique qui, habitant le désert, ne les connaissent pas ont un lien profond et particulier avec le dauphin : "un être mi-poisson, mi-homme, venu de la lointaine étoile Sirius et qui créa l’humanité".
 
Leur comportement joueur et leur rayonnement nous rappellent les moments insouciants de l’enfance et nous reconnectent à l’aspect joueur en nous : notre enfant intérieur. Ce comportement du dauphin peut signifier que nous avons, face à nos responsabilités envers l’environnement ou toute situation de notre vie, toujours la possibilité de réagir avec humour et légèreté au lieu de le faire avec sévérité, acharnement, souffrance.
 
Comme nous le savons, ils émettent autour d’eux par la haute fréquence de leur langage, leur système de sonar, un champ vibratoire d’une énergie très élevée. L’eau, qui est un bon conducteur, conduit cette vibration et ainsi leur énergie agit également sur leur environnement. Quant à nous, la communication avec eux fonctionne par des canaux non-verbaux, une partie de notre perception intérieure par laquelle nous sommes reliés au Tout comprend leur langage. Aussi, notre rencontre avec eux qu’elle soit physique ou à travers la méditation… est capable d’élever notre taux vibratoire.
C’est l’occasion de préciser que si nombreux sont ceux qui veulent aller à la rencontre des dauphins, c’est toujours le dauphin qui vient à nous et non l’inverse.
Voici une démarche de l’Inde à mettre à l’honneur et qui devrait être suivie par tous les pays : L’Inde déclare que les dauphins sont des personnes «non-humaines », et interdit formellement de faire des spectacles de dauphins. Le ministère de l’Environnement et des Forêts en Inde a décidé d’interdire la captivité des dauphins pour le divertissement du public dans tout le pays.
« Les cétacés sont très intelligents et sensibles en général. Plusieurs scientifiques ont étudié le comportement des dauphins et ont suggéré qu’ils avaient une intelligence anormalement élevée par rapport aux autres animaux, ce qui signifie que les dauphins devraient être considérés comme des «personnes non-humaines» et donc ils devraient avoir leurs propres droits spécifiques. Il est moralement inacceptable de les garder en captivité à des fins de divertissement », a indiqué le ministère.
Proposition de Déclaration des droits pour les cétacés (dauphins et baleines) de la communauté scientifique :
 
1.. Tous les cétacés ont droit à la vie.
2. Aucun cétacé ne doit être tenu en captivité ou asservi, être soumis à un traitement cruel ou être retiré de son environnement naturel.
3. Tous les cétacés ont le droit à la liberté, de circuler et de résider dans leur environnement naturel.
4. Aucun cétacé n’est la propriété d’un État, d’une société, d’un groupe humain ou d’un individu.
5. Les cétacés ont le droit à la protection de leur environnement naturel.
6. Les cétacés ont le droit de ne pas être soumis à la perturbation de leurs cultures.
7. Les droits, les libertés et les normes énoncés dans la présente Déclaration doivent être protégés en vertu du droit international et national.
 

Si la mer lui offre un garde-manger richement pourvu, le dauphin au contraire de l’homme ne prend que ce dont il a besoin, il ne détruit ni ne tue inutilement.
 
Les dauphins sont reconnus comme tout le monde le sait comme de grands guérisseurs et thérapeutes notamment dans le cas des autistes. Le fait qu’ils ont eux-mêmes une grande confiance en la vie, ne se laisse pas envahir par la peur et leur amour inconditionnel est probablement une des raisons des « guérisons » qu’ils peuvent apporter aux hommes. En effet, à leur contact, les humains se transforment et adoptent leur comportement et façon d’appréhender la vie et ses expériences, ce qui les rend plus responsables et les remet en contact avec leur médecin intérieur.
 
Selon deux chercheurs, Igor Tjarkovsky et Estelle Myers qui a fait naître des enfants en présence de dauphins, on dit que : “ Fort, rempli d’amour et de santé, l’enfant né en mer, entouré de dauphins, grandira sans développer ni l’agressivité, ni la cupidité qui ont causé tant de peines et de souffrances à l’Homo Sapiens ”.
 
Le dauphin est venu nous enseigner de :
-Vivre le moment présent comme il se présente
-Vivre ensemble et dans l’amour inconditionnel
-Jouer avec la vie et s’en amuser car la vie est un jeu
-Être heureux et libre, aimer sans s’attacher et savoir laisser l’autre partir
-Respecter et protéger l’environnement et l’espace vital de chacun
 
 
 
Le Dauphin a une influence très forte sur le chakra du cœur de l'être humain qui peut établir une intense, intérieure et extérieure collaboration avec lui, avec des conséquences salutaires et bénéfiques de grande envergure :
 
Il est possible de réaliser une relation télépathique avec un ou plusieurs dauphins :
-Regardez intensivement l’image d’un dauphin
-Essayez d’entrer à l’intérieur de son enveloppe physique
-Ressentez ce que le dauphin veut exactement vous indiquer
-Ensuite vous pouvez visualiser cette image quand vous méditez ou quand vous allez dormir et ainsi le dauphin peut vous donner la connaissance ou la guérison pendant votre sommeil.
 
Pensons à remercier les Dauphins, courageux Ambassadeurs venus avec Amour s’incarner dans les eaux Terrestres pour éclairer et aider les humains !

"Les Enfants de l'Univers"