jeudi 27 février 2020

S’aimer soi-même...



«  Je suis certain que vous avez déjà vu cette phrase : « Vous devez commencer par vous aimer vous-même ». 
Mais qu’est-ce que cela signifie ?

S’offrir un chocolat chaud quand on a froid ?
 S’acheter une nouvelle robe quand on en a envie ? 
Faire ce qu’on veut quand on le veut ?

S’aimer soi-même signifie apprendre à vous traiter comme un parent aimant traiterait son enfant.

En tant qu’adulte, vous avez toujours un Enfant Intérieur en vous.
C’est le siège de vos émotions.
Au niveau émotionnel, vous réagissez toujours comme un enfant de 3-4 ans.
Vos émotions ne peuvent pas devenir « adultes ».

Mais vous pouvez le devenir et apprendre à agir comme un adulte.
Vous pouvez apprendre à respecter vos émotions, comment les accepter et les gérer.
Vous pouvez apprendre à vous occuper de cet Enfant Intérieur.

Quand vous n’avez pas conscience de l’existence de votre Enfant Intérieur, vous essayez de vivre dans un monde d’adultes comme un garçon ou une fille de 4 ans environ.
Vous vous sentez seul, vous avez peur du monde extérieur, ne sachant pas quoi faire, où demander l’aide, comment vous protéger.

C’est très difficile de vivre de cette façon.
 Sans avoir appris à prendre soin de cet Enfant Intérieur, vous vous sentirez toujours anxieux, effrayé, fatigué et plein de doutes.
Il est dur d’essayer de survivre comme un enfant dans un monde d’adultes.
Vous vous sentirez furieux, angoissé et perdu, le plus souvent. Pourquoi ?
Car personne ne s’occupe de ce Petit Enfant à l’intérieur de vous !

Disons que vous vous appelez Charlotte. Vous avez 35 ans.
Au fond de vous vit la petite Charlotte. Elle a quatre ans.
Pendant que vous vous occupez dans le monde extérieur d’autres personnes, de vos affaires, que vous essayez de survivre, de faire mille choses chaque jour, la petite Charlotte se sent délaissée.

Quand vous courez toujours pour aider les autres et vous assurer que leurs besoins soient comblés, vous serez épuisée chaque soir et il y a beaucoup de risques que vous pleuriez dans votre lit. Vous avez des sautes d’humeur, parfois même des crises de rage.

Vous vous sentez souvent furieuse sans pourquoi (mais il y a une raison importante à cela).
C’est votre Enfant Intérieur qui essaie de capter votre attention.

Imaginez que vous avez, en plus de vos enfants, mari, collègues, parents, amis, une petite fille de quatre ans, qui s’appelle Charlotte par exemple.
On ne s’occupe pas d’elle.
Dès qu’elle tente de dire quelque chose et d’obtenir un peu d’attention, vous lui criez “Tais-toi!”. Vous lui dites que vous devez vous occuper de vos parents, de votre travail, de votre mari, de vos paperasseries, de vos amis, de vos autres enfants, de votre maison … et que vous n’avez pas de temps pour elle !

Il n’y a rien de pire qu’ignorer votre Enfant Intérieur.
Cela signifie que vous essayez de vivre comme si VOUS n’existiez pas.
La pire sensation imaginable est d’être infidèle envers soi-même.
Il n’y a rien de pire que cela !

Combien de temps avez-vous ignoré ce que vous ressentiez, pour plaire à quelqu’un d’autre ?
Combien de fois avez-vous dit à votre Enfant Intérieur : “Tais-toi, tu n’es pas important, l’autre est bien plus important que toi, pars, je ne veux pas t’entendre, je ne veux pas te voir, laisse-moi tranquille” ? Horrible n’est-ce pas ? Et vous faites cela chaque fois que vous choisissez le désir de l’autre avant le vôtre.

Que fera cette petite Charlotte « ‘intérieure »? 
Quand elle remarquera que les tentatives pour attirer votre attention sont vaines, elle renoncera. Elle dira : ”Je n’ai pas d’importance, on ne m’aime pas, personne ne veut s’occuper de moi, je n’en vaux pas la peine ”, et elle déprimera.
Bien sûr, vous croirez que ce sont les autres qui vous dépriment, le travail, vos enfants, votre mari ou vos parents.
Mais ce n’est la faute de personne.
Vous devez seulement apprendre à vous occuper de cet Enfant Intérieur qui, lui, souffre de votre manque d’attention.

Lorsque la petite Charlotte ne réussit toujours pas malgré ses nombreuses tentatives à capter votre intérêt, il lui reste un arme ultime : petite Charlotte tombera malade.
Ou elle aura un accident.

De cette façon-là, la grande Charlotte adulte apprendra peut-être à prêter enfin attention à son Enfant Intérieur, qui est aussi réel (si pas plus) qu’un vrai enfant de chair et d’os.
Vous devez apprendre à être un parent aimant pour vous-même.

Qu’est-ce s’aimer soi-même signifie?

Premièrement vous devez développer une Mère Intérieure.
Si vous avez eu la chance d’avoir une mère aimante, vous pouvez la prendre comme exemple. Sinon vous devez l’inventer, la créer de toute pièce cette Mère Intérieure, qui est votre énergie féminine, votre côté intuitif, soignant, aimant.

Dès que vous avez une émotion, votre Mère Intérieure devrait demander à votre Enfant Intérieur : “Que se passe t-il, mon chéri ?” Écoutez ce que votre Enfant Intérieur a à dire. Et vous continuez le dialogue. La Mère Intérieure doit dire maintenant :
“Viens ici. Viens dans mes bras, je t’aime, je t’aime comme tu es. Je t’aime avec tes émotions. Tu es en sécurité.”

En faisant cela, le poids des émotions diminuera.
Dites surtout : “Je comprends” à votre enfant Intérieur.
Ce sont peut-être les mots les plus importants, les mots qui ont le plus manqué.

Ces mots sont très importants, car la plupart du temps on ne se sent pas « très normal » avec les sentiments que nous avons et nous essayons de les ignorer ou réprimer, ce qui les rend plus lourds. “Je comprends, mon chéri, viens ici dans mes bras, je t’aime.”
Restez quelque temps dans cet esprit jusqu’à ce que les émotions se calment, et demandez : ”De quoi as-tu besoin maintenant?”

Peu importe la réponse de votre Enfant, dites : “Nous le demanderons à ton Père”.
Ici commence la tâche de votre Père Intérieur, qui doit vous protéger et agir en votre faveur dans le monde extérieur.

Vous n’enverriez jamais votre petit de quatre ans demander une augmentation de salaire au patron ou régler un conflit à l’école ou avec les voisins, n’est-ce pas ?
Pourquoi le faites-vous avec vous-même ?
Envoyez votre Père Intérieur faire ce qu’il y a à faire dans le monde extérieur.

Votre Père Intérieur est votre énergie masculine, qui vous permet de prendre des décisions, d’agir, et de manifester les désirs de votre Enfant dans le monde adulte extérieur.

Lorsque votre Enfant a un besoin, comme appeler quelqu’un ou aller quelque part pour arranger quelque chose, imaginez que votre Enfant Intérieur reste à la maison avec sa Mère qui s’occupe de ses sentiments (“je comprends que tu as peur …”) et que votre Père Intérieur (cette autre partie de vous) aille faire ce qu’il y a à faire.

Votre Père Intérieur est la partie de vous qui est capable de gérer le stress, de prendre des mesures, d’arranger des conflits et toute autre action dans le monde extérieur.
Si cette partie (la capacité d’agir) vous manque parce que vous n’aviez pas de bon modèle quand vous étiez petit vous-même, vous devrez la créer et la développer.

Bien sûr votre Enfant Intérieur, votre Mère et votre Père sont les différentes facettes de vous-même.
Pour devenir une personne vraiment adulte, il faut développer ces parties à l’intérieur de vous.
Ainsi vous deviendrez une personne intégrée, qui est capable de gérer ses propres émotions, de s’écouter et d’agir selon ce qu‘elle sent.

C’est cela s’aimer vous-même : entendre votre Enfant Intérieur, prendre soin de ses besoins, et agir pour le protéger et le laisser s’épanouir.

Je vous ai donné un « modèle » pour comprendre ce qui se passe à l’intérieur de vous et de quelle façon vous pouvez apprendre à vous aimer.
L’amour pour vous-même consiste donc à prendre vos émotions au sérieux, et à agir selon vos besoins intérieurs.

S’aimer soi-même c’est installer ce dialogue avec vous-même chaque matin quand vous ouvrez vos yeux, chaque soir quand vous allez au lit et chaque fois que vous ressentez une émotion.

C’est créer votre propre famille d’amour, à l’intérieur de vous.
Vous ne vous sentirez plus jamais seul.
Vous êtes déjà trois! Appelez cela votre Trinité.
Où que vous alliez, à présent vous y allez avec votre Famille Intérieure.
Vous n’êtes pas seul.
On vous aime et on vous protège.

A présent vous vous écoutez et vous vous occupez de ce petit Enfant précieux qui a attendu si longtemps pour recevoir votre attention et amour. C’est cela la guérison intérieure »

mardi 25 février 2020

A qui donnez-vous votre pouvoir ?



À QUI DONNEZ-VOUS VOTRE POUVOIR?

Pour la plupart d’entre nous, nous nous croyons en contrôle sur notre vie; nous croyons que nous prenons nos propres décisions, que nous choisissons ce que nous voulons et que nous répondons à nos propres besoins.

Mais en êtes-vous si sûr?

Si nous hésitons à nous affirmer et à dire non pour ne pas déplaire aux autres, c’est entre les mains de ces autres que nous remettons notre pouvoir.

Si nous sommes toujours gentils, souvent trop gentils, afin de préserver notre image et nos relations, c’est encore entre les mains des autres et de leurs jugements que nous remettons notre pouvoir.

Si nous n’osons pas entreprendre un projet qui nous tient pourtant à cœur, nous remettons notre pouvoir à la peur de se tromper ou d’échouer qui nous habite.

Si nous restons dans un emploi qui nous tue à petit feu ou qui ne nous permet plus de nous réaliser, c’est notre insécurité qui détient notre pouvoir.

Si nous maintenons une relation sur le respirateur artificiel ou pire, une relation toxique, parce que nous espérons changer l’autre, c’est la peur d’être seuls qui a tout le pouvoir sur nous.

Si nous laissons la colère, l’impatience ou d’autres émotions intenses nous faire réagir au quart de tour, alors c’est à ces émotions que nous laissons le pouvoir d’être bien ou inconfortables. 

Parfois, nous laissons notre pouvoir aux mains de nos anciennes blessures non guéries, parce que nous n’avons peut-être pas encore trouvé le courage de les regarder en face et d’amorcer le processus de guérison pourtant nécessaires à notre bonheur.

Souvent, c’est notre ego qui prend tout le pouvoir dans notre vie car il veut gagner, compétitionner, juger, comparer, ne pas avoir tort et surtout parce qu’il est rempli de peurs de toutes sortes. 

Dans tous ces cas, ce n’est pas nous qui menons notre vie : nous avons remis le pouvoir aux autres, à notre ego, à nos peurs, à nos blessures.

 Inconsciemment nous prenons nos décisions à partir de ces peurs, de notre ego, de ces blessures, des autres.

 Et nous nous étonnons que nos problèmes persistent, que nos relations soient encore difficiles, que nous ne surmontions pas nos peurs, que notre mental ou notre orgueil nous fasse faire de mauvais choix.

Ce n’est qu’en nous connaissant mieux, en débusquant toutes ces fausses croyances, en apprenant à maîtriser notre ego, en guérissant nos blessures, en nous aimant mieux et inconditionnellement que nous reprendrons notre propre pouvoir.

 C’est à partir de ce moment-là que nous commencerons à faire de vrais choix conscients, plus en affinité avec ce que nous sommes, répondant mieux aux vrais besoins de notre âme. C’est aussi à partir de ces moments-là que nous commençons à goûter à la vraie liberté : celle d’être pleinement nous-mêmes. 

samedi 22 février 2020

Ce qui m'intéresse de toi, c'est....





Texte Amérindien.
 
Cela ne m'intéresse pas de savoir quel est ton métier ,
Ce que je veux savoir , c'est ce qui te tient à cœur 
Et si tu oses rêver d'accomplir tes désirs .

Cela ne m'intéresse pas de connaître ton âge,
Ce que je veux savoir, c'est si tu es prêt 
à paraître fou par amour ou pour tes rêves ,
Pour l'aventure d'être vivant .

Cela ne m'intéresse pas de connaître les planètes qui traversent ton ciel.
Je veux savoir si tu as touché le cœur de ta tristesse.
Si tu t'es ouvert suite aux épreuves de la vie 
Ou si tu t'es desséché et fermé par peur de la douleur.
Je veux savoir si tu peux expérimenter ta douleur 
Ou la mienne sans chercher à la cacher, à la diminuer ou à la solutionner.
Je veux savoir si tu peux entrer dans la joie ,
La mienne ou la tienne .
Si tu peux danser sauvagement et laisser l'extase 
Te remplir jusqu'au bout des doigts 
Sans opposer de limites humaines et sans penser être prudent ou réaliste.

Cela ne m'intéresse pas de savoir si l'histoire 
Que tu me racontes est vraie,
Ce que je veux savoir, c'est si tu peux décevoir 
Quelqu'un d'autre 
Afin de rester vrai envers toi~même,
Si tu peux supporter l'accusation d'être un traître 
Et ne pas trahir ta propre âme.
Je veux savoir si tu as suffisamment de foi 
Pour être digne de confiance,
Je veux savoir si tu sais voir la beauté 
Même si ce n'est pas beau tous les jours,
Et si tu peux mener ta vie à partir de la présence 
Du Grand Esprit ... 


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aimer et être aimé...



Aimer et être aimé 

« Sans l’amour on n’est rien du tout «  dit la chanson
Mais c’est quoi l’amour ?
L’individu s’identifie à sa personnalité 
C’est quoi la personnalité ?
C’est un sac à dos qu’il porte depuis sa naissance. Et jusqu’à sept ans les parents, éducateurs,... lui ont rempli avec des tas de pensées, de croyances, de valeurs, de sentiments, d’expériences, ... Tout cela a été stocké dans son inconscient comme étant vrais. L’enfant n’avait que des perceptions qu’il stockait dans la poche intérieure des émotions. (Peur, colère, tristesse). 
Puis il a grandi et le sac à dos s’est rempli de ses propres pensées, sentiments, désirs,  et expériences de réussite et d’échecs. Il a rajouté la honte, la culpabilité, les trahisons, les rejets, les abandons, les humiliations, mais aussi les plaisirs, les attachements, les petits bonheurs. 
Avec ce sac à dos, il a pris le train de la Vie, en direction d’un but : exister et accomplir une mission. Il n’a pas vu que sur le train, était écrit : « Illusion «  les compartiments étaient réservés pour des comédiens qui se rendaient au théâtre d’une vie illusoire et éphémère »  
Dans certaines gares, il y avait deux trains : celui qui roulait à l’énergie de l’Amour et l’autre à l’énergie de la Peur. Et beaucoup se précipitait dans le deuxième, qui pourtant, était bondé. Quelques voyageurs étaient attirés par le train de l’Amour, plus confortable car peu de monde. 
Chaque passager était de l’énergie condensée composée de : 90 % d’inconscient (habitudes du passé dépassé et futur hypothétique) et de 10 % de conscient (volonté et instant présent). Plusieurs  sortes de wagons étiquetés :
  • Solitude et en Famille, 
  • Stress et Relaxation méditation
  • Addictions et sports
  • Richesse et Pauvreté 
  • Croyances et non-croyances 

A chaque gare, montaient et descendaient des personnes au sac à dos plus ou moins lourds selon ce qu’ils emportaient de leurs expériences. Les très jeunes portaient légers et parfois, les plus âgés en avaient deux. Certains semblaient libres avec l’espoir (positifs) d’autres portaient les chaînes du désespoir (négatifs) 
Une inscription commune était inscrite sur les sacs à dos : SVP ce qui signifiait Sauveur, Victime, Persécuteur. 
Ils répétaient leurs rôles le temps de leur voyage. 
Parfois ils descendaient du train pour en prendre un autre. Ou celui de l’Amour, ou celui de la Peur. 
Les scenarii étaient différents et d’autres rôles étaient à apprendre (amour) ou à réviser (peur). 

Ils avaient le choix de changer de train à leur convenance. Sauf que le règlement pour monter dans le train de l’amour exigeait qu’on ait un peu vidé le sac à dos (lâcher-prise et prise de conscience). Le train vert de l’Amour conduit par un Ange blanc, passait sur le chemin ensoleillé de la beauté, de la bonté , de l’authenticité, de l’émerveillement. Le décor défilait : les montagnes, les forêts, les lacs, les rivières, les cascades, les animaux, ... on y voyageait en musique apaisante et relaxante. L’instant présent et le présent est un cadeau. 

Dans le train rouge de la Peur, piloté par un Ange noir, c’était différent. Il passait dans les tunnels des doutes, des incompréhensions, de l’injustice,...  les passagers vivaient plus dans leurs têtes que dans leurs corps. Parfois ils semblaient épuisés de voyager dans ce mal-être du passé et du futur. Ils décidaient donc de descendre à la gare de la Source, le temps de recharger leur batterie. Aussi un temps nécessaire pour alléger leur sac à dos ou pas, avant de décider dans quel train ils allaient monter pour parfaire ou pas, leurs expériences et augmenter ainsi le pourcentage de leur conscience au-delà de 10 %. La confiance face à l’inconnu leur octroyait courage et récompense. 

Très souvent, ils reprenaient le train de la Peur et de l’inconscience. C’était plus facile pour eux : les habitudes, les schémas répétitifs, le combat, le conflit, la résistance à ce qui est,... 
« Leur motivation « était d’exister, disaient-ils. 

Quand ils descendaient à la gare de la Source, ils avaient l’illusion que les trains allaient dans des destinations différentes. En vérité le seul chemin était de «  vivre la vie à chaque instant, Aimer et être aimé » et la destination était de rentrer à la maison en pleine conscience, en ayant déposé le sac de souffrances, et le coeur rempli d’amour. S’abandonner pour retrouver l’être que nous avons toujours été, séparés de rien et en unité avec le tout : l’Amour, la conscience universelle. 
Amour, paix et lumière : trois compagnons pour voyager légèrement. « Vibrer l’Amour, attire l’Amour. « 

Illusion de croire que les personnages s’aiment... Ils aiment ce qu’ils perçoivent de l’autre. Ils s’illusionnent, ils confondent l’amour et le désir. Cela passe par deux canaux : attraction/répulsion, désir/rejet. Et la fusion devient confusion. L’insatisfaction de l’être humain est son moteur tant qu’il se croit séparé de l’Amour. Il vit  de l’Amour relatif conditionné par les intérêts de combler ses manques et donc de remplir ses besoins. C’est un jeu de rôles « hollywood » qu’il joue,  tant qu’il n’est pas conscient que ce n’est qu’un film qu’il projette sur un écran. Ne pas s’identifier aux acteurs car lorsqu’il  sort de la salle de projection, il ne reste rien d’autre qu’un vague souvenir qui s’estompera avec le temps comme un rêve 

En vérité, ce sont les âmes qui s’aiment et évoluent. 
Ce que les personnages vibrent intérieurement attirent d’autres personnages qui sont sur la même fréquence vibratoire. 

Comme les papillons sont attirés par la lumière, les personnes sont attirés par la lumière des autres, reflets de leur âme. 
Peu à peu, les personnages conscients de l’illusion qu’ils ont créé, se relient à leur âme, écoutent leurs corps et font la jonction entre le visible et l’invisible. 
La magie de la vie, c’est quand l’âme agit. 

L'acceptation...







L'ACCEPTATION
L’acceptation est un mot « magique » qui peut transformer une Vie. Une clé magique pour votre coeur !

ACCEPTEZ ce qui est pour ce qui est, même si vous n’avez pas les clés pour le comprendre dans votre mental .

ACCEPTEZ la différence des autres, vous n’êtes pas « parfaits », alors acceptez les imperfections des autres.

ACCEPTEZ que si certains événements ne se déroulent pas comme vous le souhaitez, il y a une raison dont vous ne pouvez pas comprendre sur le moment, mais que plus tard avec du temps et avec du recul, vous en aurez la compréhension et la signification, alors lâchez prise au lieu de vous torturer inutilement.

ACCEPTEZ que le monde est tel qu’il est, que vous ne pouvez pas le «sauver», mais que par votre propre personne, par qui vous êtes, de votre propre source vous avez tout pouvoir d’apporter du changement autour de vous. (Sois le changement que tu veux voir en ce monde, Gandhi).

ACCEPTEZ que vous ne pouvez pas plus sauver les autres, que vous pouvez seul vous sauver Vous, et que la meilleure façon d’aider une personne est de lui offrir toute votre compassion et acceptez que les autres ne sont pas prêts à changer ou évoluer, sans jugement et sans vouloir les «contrôler».
Ce n’est pas à vous de savoir ou de penser pour eux et à leur place !
Être responsable, ce n’est pas prendre des responsabilités qui ne vous appartiennent pas, sinon comment ces personnes vont-elles apprendre à grandir et à se responsabiliser si vous le faites à leur place !

ACCEPTEZ une séparation, l’amour n’est pas un devoir ni une obligation, vous avez le droit de ne plus aimer une personne, tout comme l’autre à ce même droit réciproque de ne plus avoir de sentiments amoureux à votre égard. L’Amour n’est pas un du, un devoir, une obligation ou un contrat à vie.

ACCEPTEZ le «deuil» ! Acceptez que c’est le cours de la vie et que les personnes qui nous sont les plus précieuses dans nos cœurs peuvent un jour partir de l’autre côté du voile, et donnez-vous le temps nécessaire de guérison et cicatrisation.

ACCEPTEZ la souffrance, ne pas la fuir ou la rejeter.
Dans cet état d’acceptation et de non résistance, ce qui fait mal pourra se cicatriser et se guérir beaucoup plus vite.
ACCEPTEZ le bonheur, parce que vous y avez droit. Parce que vous êtes en réalité sur terre pour être heureux. Alors acceptez le bonheur quand il se présente à vous, sans avoir peur de le voir s’envoler.

ACCEPTEZ vos défauts, vos imperfections, vos faiblesses, vos failles, vos blessures, vos peurs, acceptez-vous dans la totalité de qui vous êtes et non à moitié, en voulant montrer qu’une partie de vous-même et en vous mentant à vous-même, vous rejetant et vous fuyant ! Seul dans cet accueil et acceptation de vous-même, de qui vous êtes vraiment, et non d’une image fausse ou erronée que vous voulez montrer aux autres, vous pourrez vous aimer et vous respecter vraiment.
S’aimer et se respecter demande une acceptation totale de son être.
Être et non paraître !

ACCEPTEZ votre beauté, vos qualités, vos talents, vos compétences, vos points forts, votre lumière.
Non ce n’est point de l’ego que de reconnaître et d’accepter votre beauté, que de prendre votre juste place, que de vous accepter dans l’amour et la lumière de qui vous êtes. C’est simplement vous reconnaître et vous aimer, et non pas vous rejeter ou ne pas vous donner le droit d’être beau et merveilleux.
Cela se traduit aussi par l’estime et la confiance de soi !

ACCEPTEZ que les autres ne vous aiment pas. Vous non plus vous n’aimez pas tout le monde, alors acceptez que vous ne puissiez pas plaire à tout le monde.

ACCEPTEZ de donner sans rien attendre en retour. Donner pour donner.
Si vous donnez dans l’attente d’un retour, cela ne s’appelle pas donner mais marchander ! (Je te donne si tu me donnes).

ACCEPTEZ de recevoir, parce que en vérité vous en avez besoin et vous le méritez. Acceptez sans vous sentir redevable, parce que vous vous aimez assez pour pouvoir simplement recevoir.

ACCEPTEZ de voir plus fort et plus brillant que vous et apprenez sans éprouver de la jalousie ou de l’envie, et remerciez de pouvoir apprendre de plus fort que vous.

ACCEPTEZ de voir plus faible que vous et au lieu de le juger, le critiquer ou le condamnez, aidez-le.

ACCEPTEZ votre réussite.
ACCEPTEZ votre échec.
ACCEPTEZ D’ÊTRE.
ACCEPTEZ D'ACCEPTER !