Depuis
que j'ai foi en l'humain/divin, je suis à réviser les fausses
croyances que j'ai nourries durant de nombreuses années. Trouver la
place qui me convient. Développer ma foi en tout ce qui constitue tant
humainement que divinement, cette souveraineté est de plus en plus à
portée de main. Tout au long de ma vie, j'ai écouté mon coeur, mon
feeling, mon intuition et parfois non, et j'ai commis des erreurs. Je ne
regrette rien de mes choix. "Il n'y a pas d'erreurs dans la vie,
seulement des leçons à apprendre"
Aujourd'hui j'ai envie de partager les émotions intenses d'un week-end, sous les auspices de la Pleine Lune, qui m'a re-confrontée au triangle pourri "Sauveur/Victime/Persécuteur* que je pensais avoir totalement tranformé en triangle béni Paix/Harmonie/Amour.
J'ai
accueilli chez moi, une amie de près de trente ans, qui souhaitait
passer quelques jours au soleil, dans la région où j'ai eu le coup de
foudre, il y a près d'un an.
J'ai
été comme poussée par mon âge à changer de vie, me libérer du passé et
commencer une vie nouvelle, dans une petite ville du Languedoc
Roussillon, où le soleil permanent m'éclaire et me réchauffe le coeur.
Je n'y avais aucune attache affective, aucune habitude, juste la
motivation du climat, d'autant que mon emménagement s'est réalisé en
été. Je suis fière du courage qui m'a animée, pour créer de nouvelles
relations dans le Sud, dont les gens sont plutôt hostiles à ce qu'ils
appellent les étrangers. Tout m'était donné à moi, fille du Nord, pour
aller vers les autres, nouer de nouvelles relations, moment difficile en
période d'hiver où plus personne ne se ballade, comme en période
estivale. J'ai donc rencontré quelques personnes, et j'ai noué quelques
liens qui ne me satisfaisaient pas totalement.. Puis à la fin de
l'hiver, j'ai été mise en relation avec deux soeurs, dont une vivait
plus au Sud et l'autre se réinstallait ici, après une vie aux Pays-Bas.
Notre présence l'une à l'autre s'est installée comme si nous nous
connaissions depuis toujours et la relation merveilleuse qu'elle
entretient avec sa famille m'a apporté la preuve que les liens familiaux
peuvent être un support affectif, de qui n'a pas été le cas chez moi.
Je réalisais que chacune de ces femmes est une partie de moi-même, ainsi
que la troisième soeur que j'ai rencontrée par la suite.
Le
pôle affectif est un booster énergétique qui permet à chacun de
ressentir en soi, l'amour qu'on se donne ou pas. L'autre est sur sa
planète mais est un miroir de ce que nous sommes, dans les différentes
dimensions de notre personnalité. Notre ego a besoin de se sentir aimé,
accepté et valorisé, pour dissoudre les blessures de notre âme. (*voir
l'article sur les 5 blessures).
Donc ce week-end augurait le plaisir et la joie de se retrouver et de visiter une partie de cette région que je ne connaissais pas encore. Ma nouvelle amie du Sud, me proposa de nous servir de guide et je les présentais donc l'une à l'autre dans une démarche d'ouverture comme je sais le faire, pour créer l'harmonie. Effectivement un lien s'est très vite noué entre les deux femmes, toutes deux épicuriennes.
En commun, nous avons le même signe astrologique : c'est un détail mais c'est important car nous sommes des enthousiastes, aventurières et globe-trotter... et le rire était au rendez-vous...
Dans le planning que j'avais créé pour recevoir mon amie, j'avais prévu, sachant qu'elle aimait bouger et manger, des visites, des restaurants intéressants de la ville, ballades sur la plage et sortie musicale le samedi soir.
Le temps passait vite et finalement peu de temps pour que nous soyons toutes les deux à nous reconnecter depuis les quelques années parisiennes où nos relations s'étaient espacées, dues à nos vies différentes et à quelques incompréhensions, dues à la différence d'âge d'une dizaine d'années. Pour ce week-end, mon intention était qu'elle vive un maximum de choses en un minimum de temps et appréhender ainsi cette belle région qu'elle ne connaissait pas.
Finalement nous avons vécu quatre jours en trio dans le programme prévu. Tout était "tout feu tout flamme", énergie et joie de partager.
Puis, le samedi soir, mon plaisir étant aussi de chanter, comme je le fais toutes les semaines depuis les mois d'hiver, nous allons au karaoké. Cette fois c'était dans un café restaurant de la plage où l'ambiance est différente et plus "festive" que l'endroit habituel.
Un femme s'était inscrite sur un site de sortie, et nous étions donc quatre autour d'une table, sur la terrasse. Nous apprenons par les animateurs du karaoké que celui-ci serait interrompu de vingt heures à vingt trois heures, à cause d'un match de foot projeté sur grand écran pour quelques clients. Déception des animateurs d'un âge certain, qui ont été prévenus à la dernière minute de ce changement. Pour moi, no problem, je m'adapte, et propose à mes amies de rester sur la terrasse ou d'aller ailleurs pendant le football time. Et là, une bande de jeunes joyeux lurons sont arrivés, déguisés, fêtant un anniversaire. L'un d'eux a envahi notre table, pour s'asseoir sur la balancelle, au milieu de mes amies, attirée par le sourire de la parisienne qui s'est mise très vite dans l'ambiance. D'autres jeunes sont arrivés. Entre-temps, les animateurs m'ont demandé de venir chanter avant la coupure. Puis en revenant sur la terrasse, je me suis assise sur la balancelle voisine pour fumer une cigarette. Des jeunes sont venus discuter avec moi dans la bonne humeur.
A l'arrêt du karaoké, l'animatrice vint me confier son désarroi : voilà l'ordinateur karaoké en panne... et son mari qui n'était pas content du patron de l'établissement qui a zappé le karaoké pour des extraits de matchs de foot. J'ai laissé les esprits s'apaiser puis leur ai proposé mon aide pour voir ce qui se passait au niveau informatique... Lui était en dans la peur que je casse tout (il ne connaissait pas mes talents en PC) et il voulait tout remballer, car toujours en colère contre le patron du lieu. J'ai réussi à le calmer et à lui dire de me faire confiance. Très vite j'ai vu que c'était son anti-virus qui bloquait car non-mis à jour. Le problème étant qu'il ne pouvait se connecter sur Internet pour le faire. Je demande intérieurement une aide et un jeune de la bande vient avec son smartphone pour la connection du PC. Tout se remet en place, après la mise à jour et la connectique. Je suis heureuse pour eux, le restaurant, la clientèle de jeunes et moi-même qui allions pouvoir chanter à l'heure prévue.
Après beaucoup de maîtrise de ma part pour apaiser les tensions, rétablir l'harmonie, je reviens m'asseoir pour prendre un verre, fumer une cigarette et me détendre avec mes amies et la bande de potes, qui s'alcoolisaient de plus en plus, dans la bonne humeur et sans violence. A peine étais-je assise que ma copine parisienne me confie sa colère après le patron du bar qui avait été injuste et apparemment violent en verbe à son encontre. Je lui dis sur ton d'humour qu'elle ne réalise pas que je fréquente ce café à l'année et que j'espérais que cela ne me donne pas une réputation. Elle me dit que cet homme est un "c..." Mon expérience était différente puisque quelques minutes auparavant il m'avait dit "merci" pour ce que je venais de faire pour son animation soirée. Je ne pouvais donc pas avoir la même perception qu'elle.
J'entends sa colère, et je ressens une tension supplémentaire à ce que je venais de vivre... Et là on ne s'écoute pas, elle alcoolisée, les nerfs à vif, qui me signifie que finalement le patron nous a offert un pot. Je lui fais part que finalement çà s'est bien terminé. et lui raconte qu'avec moi il avait été correct. Elle insiste sur le fait que c'est un "c..." et je ne l'écoute plus pour ne pas m'intoxiquer avec des émotions qui ne sont pas les miennes. Elle me répète, j'élève la voix vu le bruit environnant, elle se fâche comme elle le faisait par le passé, et je revis une tension intérieure. Enfin soit, la Pleine Lune a des effets sur l'inconscient, et après avoir chanté deux chansons avec la chorale des jeunes, je sens que ma voix s'estompe... aphone..
Evidemment, les courants d'air au restaurant le midi, le frais sur la terrasse le soir, le stress des autres, ma voix qui s'élève, mes chansons, ont enflammé mes cordes vocales.
En fait je me rends compte qu'en souhaitant que tout le monde soit heureux autour de moi, je n'ai pas écouté mon corps, je me suis laissée happée par l'énergie des autres, et je n'étais plus ancrée intérieurement. Mon corps m'a rappelé à l'ordre, notamment le chackra de la gorge, chackra de la communication, qui s'est bloqué pour me dire "tais-toi, tu n'es pas écoutée"..
Nous rentrons et en sortant ma petite bichonne d'amour, ma copine me ré-attaque avec la soirée comme pour se justifier qu'elle avait raison. A aucun moment dans son histoire je ne l'ai jugée.
Je lui ai dit :
- chacun a son miroir,
- on attire les situations sur lesquelles on doit travailler intérieurement au niveau émotionnel.
- on peut tout dire, sans être violent. (Si cet homme l'avait été, elle pouvait avoir une attitude différente, sans bouger de sa place, et sans lui lancer qu'elle avait la carte bleue.)
- à mon sens la violence engendre la violence. On peut s'affirmer sans être comme le "c... en face de soi.
Et quand elle m'a dit qu'elle avait été chercher le jeune qui fêtait son anniversaire, pour se plaindre du patron. (La petite fille qui va chercher papa pour la défendre). Je me suis mise à la place de ce garçon, connu de l'endroit, je lui ai dit "aurais-tu aim2 qu'on te dérange autour de tes amies, le jour de ton anniversaire, pour régler un problème qui n'est pas le tien ?
Je lui ai dit "pardonne-moi d'avoir élevé la voix, mais tu ne m'écoutais pas. Mon message n'était pas de te juger sur l'événement que tu me relatais, mais de te donner les clefs pour vivre sans conflit et améliorer tes relations avec les autres" .
Pour ce qui me concerne, mes rapports avec les autres se sont améliorés, ils ne sont plus conflictuels comme dans le passé. Ce soir-là, j'ai fait ce que j'avais à faire pour rétablir l'harmonie, et pour le reste chacun son chemin.
En conclusion je réalise que j'ai mis le pied dans le triangle pourri, me suis blessée peu de temps avant de me reconnecter à la terre par la méditation.
Je ne change pas le monde je m'améliore moi-même. Je suis adulte et responsable de ce que je créée.. Et comme j'aime vivre dans la Paix, l'Amour et l'Harmonie....
Après une bonne nuit de sommeil, je me suis réveillée le dimanche matin en soignant ma gorge avec citron et miel. J'avais envie de rester chez moi et de laisser mes deux copines épicuriennes aller déjeuner ensemble. Je me suis écoutée intérieurement et mon envie d'aller manger dans ce restaurant notoire était si forte, que j'ai décidé de les accompagner. Je ne suis pas déçue...
Une relation s'est installée entre mes deux amies, l'ancienne et la nouvelle... J'avoue qu'après cette soirée intense en émotion, je me suis un peu sentie en dehors de leur complicité, mais je connais ce schéma triangulaire. Je suis une femme libre et entière dans mes amitiés. Mon seul but est d'incarner en moi et autour de moi totalement le triangle "béni".
Ne pas m’éloigner de mon chemin de vie, de ma raison d’être, la mission de mon âme : être vraie afin d’aimer et d’être aimée sans attente, simplement en laissant l’être véritable émerger derrière les filtres, les masques
Merci à la vie de m'enseigner et d'être l'apprenti-sage.
11.5.2014
Donc ce week-end augurait le plaisir et la joie de se retrouver et de visiter une partie de cette région que je ne connaissais pas encore. Ma nouvelle amie du Sud, me proposa de nous servir de guide et je les présentais donc l'une à l'autre dans une démarche d'ouverture comme je sais le faire, pour créer l'harmonie. Effectivement un lien s'est très vite noué entre les deux femmes, toutes deux épicuriennes.
En commun, nous avons le même signe astrologique : c'est un détail mais c'est important car nous sommes des enthousiastes, aventurières et globe-trotter... et le rire était au rendez-vous...
Dans le planning que j'avais créé pour recevoir mon amie, j'avais prévu, sachant qu'elle aimait bouger et manger, des visites, des restaurants intéressants de la ville, ballades sur la plage et sortie musicale le samedi soir.
Le temps passait vite et finalement peu de temps pour que nous soyons toutes les deux à nous reconnecter depuis les quelques années parisiennes où nos relations s'étaient espacées, dues à nos vies différentes et à quelques incompréhensions, dues à la différence d'âge d'une dizaine d'années. Pour ce week-end, mon intention était qu'elle vive un maximum de choses en un minimum de temps et appréhender ainsi cette belle région qu'elle ne connaissait pas.
Finalement nous avons vécu quatre jours en trio dans le programme prévu. Tout était "tout feu tout flamme", énergie et joie de partager.
Puis, le samedi soir, mon plaisir étant aussi de chanter, comme je le fais toutes les semaines depuis les mois d'hiver, nous allons au karaoké. Cette fois c'était dans un café restaurant de la plage où l'ambiance est différente et plus "festive" que l'endroit habituel.
Un femme s'était inscrite sur un site de sortie, et nous étions donc quatre autour d'une table, sur la terrasse. Nous apprenons par les animateurs du karaoké que celui-ci serait interrompu de vingt heures à vingt trois heures, à cause d'un match de foot projeté sur grand écran pour quelques clients. Déception des animateurs d'un âge certain, qui ont été prévenus à la dernière minute de ce changement. Pour moi, no problem, je m'adapte, et propose à mes amies de rester sur la terrasse ou d'aller ailleurs pendant le football time. Et là, une bande de jeunes joyeux lurons sont arrivés, déguisés, fêtant un anniversaire. L'un d'eux a envahi notre table, pour s'asseoir sur la balancelle, au milieu de mes amies, attirée par le sourire de la parisienne qui s'est mise très vite dans l'ambiance. D'autres jeunes sont arrivés. Entre-temps, les animateurs m'ont demandé de venir chanter avant la coupure. Puis en revenant sur la terrasse, je me suis assise sur la balancelle voisine pour fumer une cigarette. Des jeunes sont venus discuter avec moi dans la bonne humeur.
A l'arrêt du karaoké, l'animatrice vint me confier son désarroi : voilà l'ordinateur karaoké en panne... et son mari qui n'était pas content du patron de l'établissement qui a zappé le karaoké pour des extraits de matchs de foot. J'ai laissé les esprits s'apaiser puis leur ai proposé mon aide pour voir ce qui se passait au niveau informatique... Lui était en dans la peur que je casse tout (il ne connaissait pas mes talents en PC) et il voulait tout remballer, car toujours en colère contre le patron du lieu. J'ai réussi à le calmer et à lui dire de me faire confiance. Très vite j'ai vu que c'était son anti-virus qui bloquait car non-mis à jour. Le problème étant qu'il ne pouvait se connecter sur Internet pour le faire. Je demande intérieurement une aide et un jeune de la bande vient avec son smartphone pour la connection du PC. Tout se remet en place, après la mise à jour et la connectique. Je suis heureuse pour eux, le restaurant, la clientèle de jeunes et moi-même qui allions pouvoir chanter à l'heure prévue.
Après beaucoup de maîtrise de ma part pour apaiser les tensions, rétablir l'harmonie, je reviens m'asseoir pour prendre un verre, fumer une cigarette et me détendre avec mes amies et la bande de potes, qui s'alcoolisaient de plus en plus, dans la bonne humeur et sans violence. A peine étais-je assise que ma copine parisienne me confie sa colère après le patron du bar qui avait été injuste et apparemment violent en verbe à son encontre. Je lui dis sur ton d'humour qu'elle ne réalise pas que je fréquente ce café à l'année et que j'espérais que cela ne me donne pas une réputation. Elle me dit que cet homme est un "c..." Mon expérience était différente puisque quelques minutes auparavant il m'avait dit "merci" pour ce que je venais de faire pour son animation soirée. Je ne pouvais donc pas avoir la même perception qu'elle.
J'entends sa colère, et je ressens une tension supplémentaire à ce que je venais de vivre... Et là on ne s'écoute pas, elle alcoolisée, les nerfs à vif, qui me signifie que finalement le patron nous a offert un pot. Je lui fais part que finalement çà s'est bien terminé. et lui raconte qu'avec moi il avait été correct. Elle insiste sur le fait que c'est un "c..." et je ne l'écoute plus pour ne pas m'intoxiquer avec des émotions qui ne sont pas les miennes. Elle me répète, j'élève la voix vu le bruit environnant, elle se fâche comme elle le faisait par le passé, et je revis une tension intérieure. Enfin soit, la Pleine Lune a des effets sur l'inconscient, et après avoir chanté deux chansons avec la chorale des jeunes, je sens que ma voix s'estompe... aphone..
Evidemment, les courants d'air au restaurant le midi, le frais sur la terrasse le soir, le stress des autres, ma voix qui s'élève, mes chansons, ont enflammé mes cordes vocales.
En fait je me rends compte qu'en souhaitant que tout le monde soit heureux autour de moi, je n'ai pas écouté mon corps, je me suis laissée happée par l'énergie des autres, et je n'étais plus ancrée intérieurement. Mon corps m'a rappelé à l'ordre, notamment le chackra de la gorge, chackra de la communication, qui s'est bloqué pour me dire "tais-toi, tu n'es pas écoutée"..
Nous rentrons et en sortant ma petite bichonne d'amour, ma copine me ré-attaque avec la soirée comme pour se justifier qu'elle avait raison. A aucun moment dans son histoire je ne l'ai jugée.
Je lui ai dit :
- chacun a son miroir,
- on attire les situations sur lesquelles on doit travailler intérieurement au niveau émotionnel.
- on peut tout dire, sans être violent. (Si cet homme l'avait été, elle pouvait avoir une attitude différente, sans bouger de sa place, et sans lui lancer qu'elle avait la carte bleue.)
- à mon sens la violence engendre la violence. On peut s'affirmer sans être comme le "c... en face de soi.
Et quand elle m'a dit qu'elle avait été chercher le jeune qui fêtait son anniversaire, pour se plaindre du patron. (La petite fille qui va chercher papa pour la défendre). Je me suis mise à la place de ce garçon, connu de l'endroit, je lui ai dit "aurais-tu aim2 qu'on te dérange autour de tes amies, le jour de ton anniversaire, pour régler un problème qui n'est pas le tien ?
Je lui ai dit "pardonne-moi d'avoir élevé la voix, mais tu ne m'écoutais pas. Mon message n'était pas de te juger sur l'événement que tu me relatais, mais de te donner les clefs pour vivre sans conflit et améliorer tes relations avec les autres" .
Pour ce qui me concerne, mes rapports avec les autres se sont améliorés, ils ne sont plus conflictuels comme dans le passé. Ce soir-là, j'ai fait ce que j'avais à faire pour rétablir l'harmonie, et pour le reste chacun son chemin.
En conclusion je réalise que j'ai mis le pied dans le triangle pourri, me suis blessée peu de temps avant de me reconnecter à la terre par la méditation.
Je ne change pas le monde je m'améliore moi-même. Je suis adulte et responsable de ce que je créée.. Et comme j'aime vivre dans la Paix, l'Amour et l'Harmonie....
Après une bonne nuit de sommeil, je me suis réveillée le dimanche matin en soignant ma gorge avec citron et miel. J'avais envie de rester chez moi et de laisser mes deux copines épicuriennes aller déjeuner ensemble. Je me suis écoutée intérieurement et mon envie d'aller manger dans ce restaurant notoire était si forte, que j'ai décidé de les accompagner. Je ne suis pas déçue...
Une relation s'est installée entre mes deux amies, l'ancienne et la nouvelle... J'avoue qu'après cette soirée intense en émotion, je me suis un peu sentie en dehors de leur complicité, mais je connais ce schéma triangulaire. Je suis une femme libre et entière dans mes amitiés. Mon seul but est d'incarner en moi et autour de moi totalement le triangle "béni".
Ne pas m’éloigner de mon chemin de vie, de ma raison d’être, la mission de mon âme : être vraie afin d’aimer et d’être aimée sans attente, simplement en laissant l’être véritable émerger derrière les filtres, les masques
J’ai confiance en l’intelligence parfaite de la
source, de ma présence divine et cet ego dont la mission consiste à protéger
l’intégrité de l’enfant intérieur. D’ailleurs plus ça va et plus cet aspect de
la personnalité me semble être l’expression du masculin intérieur qui associé
avec le féminin, amènera la complétude. Il a juste besoin de se sentir aimé, accepté et valorisé.
Merci à la vie de m'enseigner et d'être l'apprenti-sage.
11.5.2014