Le Café de l'harmonie est un espace de liberté et de détente, où vous pouvez vous exprimer librement avec respect. C'est un instant de vie où l'âme agit. Spiritualité - Amour - Paix - Partage. C'est la relation de coeur à coeur...
mardi 29 avril 2014
Paroles de sagesse...
Ne croyez pas que ce sont nécessairement les gens de bien qui soulignent la malhonnêteté, l’injustice et la méchanceté chez les autres.
Au contraire, ce sont souvent ceux qui ont ces défauts qui les voient partout : ils sont toujours critiq...ues et soupçonneux, parce qu’ils jugent le monde entier à travers eux.
Et inversement, ceux qui possèdent de grandes qualités morales ne remarquent pas tellement les défauts de leur entourage, car ils voient les autres à travers les qualités qu’ils possèdent, eux.
Chaque être humain ne peut voir qu’à travers ses propres yeux, et c’est lui qui façonne ses yeux par ses pensées et ses sentiments.
Si vous rencontrez des gens qui ne vous parlent que des défauts des autres, sachez que, d’une façon ou d’une autre, c’est d’abord sur eux-mêmes qu’ils vous font des révélations.
S’ils possédaient la noblesse, la bonté, l’honnêteté et surtout l’amour, ils trouveraient aussi chez les autres toutes ces bonnes qualités.
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Trois questions à vous poser pour savoir si vos relations sont saines...
« Trois questions à vous poser pour savoir si vos relations sont saines »
Vous allez probablement être d’accord avec
moi pour dire que dans la vie, les relations personnelles peuvent être
une très grande source de bonheur et de joie, mais également une très
grande source de souffrance et de stress!
Que ce soient nos relations avec nos ami(e)s,
la famille, les collègues de bureau ou avec notre partenaire de vie, il
est important de s’assurer de choisir les gens qui nous entourent avec
sagesse, car il parait que les cinq personnes avec qui nous passons le
plus de temps définissent comment nous vivons notre vie!
Personnellement, je dois avouer que les
relations ont longtemps été la source de bien des souffrances dans ma
vie, car je n’avais pas les outils nécessaires ni le courage de mettre
un terme aux relations malsaines par peur d’être jugée et surtout parce
que je voulais à tout prix éviter de vivre avec le sentiment d’être
abandonnée.
Heureusement au fil du temps, j’ai réussi à
vaincre mes peurs, à guérir mes blessures et petit à petit à m’entourer
de personnes saines pour “moi” et surtout, à faire le ménage des
relations énergivores.
Aujourd’hui, je vous partage donc en toute humilité le fruit de mon cheminement en espérant que cela puisse vous aider.
Voici trois questions essentielles à vous poser afin de savoir si vos relations sont saines.
1) Est-ce que je peux être totalement
authentique et vulnérable et est-ce que je me sens en sécurité lorsque
je suis “moi-même” avec cette personne?
C’est important de pouvoir parler de ses
peurs, blessures, questionnements et aussi de ses rêves et d’être
complètement accueilli dans une relation: c’est-à-dire entendu(e) et
valorisé(e).
2) Est-ce que je me sens respecté(e)?
Est-ce la relations est bâtie sur le respect, l’écoute attentive et
consciente ou est-ce que je sens qu’il y a du jugement lorsque je suis
moi-même?
3) Comment est-ce que je me sens
quand je suis avec cette personne? Est-ce que cette personne me vide de
mon énergie ou au contraire, je me sens rechargée à bloc quand je suis
dans cette relation…
Puisqu’une relation se construit et se vit à
deux, il faut aussi se poser ces mêmes questions envers les personnes
qui nous entourent. Est-ce que permet moi aussi aux gens d’être
vulnérable? Est-ce que je les respecte? Est-ce que je me vide ou me
remplis d’énergie quand je suis autour de ces personnes?
L’important c’est d’être totalement honnête
avec soi-même lorsque l’on fait cet exercice et d’avoir le courage de
mettre des balises saines avec le gens.
Mais surtout, l’essentiel est de se donner la
permission de laisser-aller les relations qui ne sont pas en accord
complet avec ces trois questions et par le fait même, avec notre âme et
notre coeur.
Au final, l’intention c’est de laisser-aller
les relations qui ne nous conviennent plus avec amour et compassion en
se rappelant que tout le monde fait son possible avec les outils qu’ils
ont.
N’oubliez pas, les cinq personnes qui nous
entourent définissent comment nous vivons notre vie alors assurons-nous
de faire des choix sains, aimants et porteur de rêves!
Je vous souhaite une belle transformation et
prise et conscience et surtout, essayez d’être aimant envers vous-même
et avec tout le monde autour de vous.
mardi 22 avril 2014
Le jeu amoureux de la vie
Nous sommes tous esprits créés de lumière et d'amour et, éternels au-delà de notre forme physique.
C'est un fait que les physiciens quantiques confirment.
Notre source lumière de vie brille à l'intérieur de nos atomes et ne demande qu'à se manifester dans le monde matérialisé.
La plus belle façon de 'briller' est donc, d'émettre cet amour sur tout ce qui se présente à nous.
Il existe des milliers de façons d'exprimer l'amour authentique, même pour les personnes seules et isolées.
C'est un état d'esprit, une générosité du cœur.
Voici quelques formes facilement utilisables :
S'aimer et se valoriser dans la reconnaissance de notre source lumière, c'est aimer et valoriser la divinité en nous et c'est un point trop souvent oublié et surtout se respecter et reconnaitre son unité avec tout ce qui est : Tout est UN et tout à la même valeur.
- Dire merci à la vie, être reconnaissant, gratifier, rire avec spontanéité, reconnaître la valeur d'une personne, d'un talent, en toute sincérité.
- Se taire et écouter avec intérêt.
- Aider, s'entraider, partager un repas, un moment de loisir.
- Bénir, dire du bien, parler des autres en les élevant.
- Accepter le choix des autres.
- Se mettre en harmonie avec une personne, pardonner, souhaiter l'entente cordiale.
- Adopter, rendre visite à des personnes isolées ou malade, accueillir, offrir un présent.
- Glorifier la vie, rendre grâce pour tout ce qui peut apporter un petit moment de bonheur ou de paix.
- Dire 'je t'aime' en conscience à d'autres, mais aussi 'je m'aime' en se souvenant que le "je" qui aime est la source divine qui nous anime...
- Caresser un animal, lui apporter une belle vie confortable, idem pour une plante, pour la nature... planter des arbres,
- ramasser des déchets après un pique-nique et toute forme de respect de l'environnement.
Il y en a tant d'autres... des milliers.
Lorsque l'amour coule 'de source', la vie est sereine.
La fréquence s'élève naturellement et permet de passer au-dessus d'obstacles destinés uniquement à développer l'amour puisqu'il est déjà présent.
Car tout ce qui se manifeste à nous, est simplement une opportunité d'expression, que nous choisissons d'émettre ou non, de notre vraie nature lumineuse.
C'est le jeu amoureux de la vie !
C'est un fait que les physiciens quantiques confirment.
Notre source lumière de vie brille à l'intérieur de nos atomes et ne demande qu'à se manifester dans le monde matérialisé.
La plus belle façon de 'briller' est donc, d'émettre cet amour sur tout ce qui se présente à nous.
Il existe des milliers de façons d'exprimer l'amour authentique, même pour les personnes seules et isolées.
C'est un état d'esprit, une générosité du cœur.
Voici quelques formes facilement utilisables :
S'aimer et se valoriser dans la reconnaissance de notre source lumière, c'est aimer et valoriser la divinité en nous et c'est un point trop souvent oublié et surtout se respecter et reconnaitre son unité avec tout ce qui est : Tout est UN et tout à la même valeur.
- Dire merci à la vie, être reconnaissant, gratifier, rire avec spontanéité, reconnaître la valeur d'une personne, d'un talent, en toute sincérité.
- Se taire et écouter avec intérêt.
- Aider, s'entraider, partager un repas, un moment de loisir.
- Bénir, dire du bien, parler des autres en les élevant.
- Accepter le choix des autres.
- Se mettre en harmonie avec une personne, pardonner, souhaiter l'entente cordiale.
- Adopter, rendre visite à des personnes isolées ou malade, accueillir, offrir un présent.
- Glorifier la vie, rendre grâce pour tout ce qui peut apporter un petit moment de bonheur ou de paix.
- Dire 'je t'aime' en conscience à d'autres, mais aussi 'je m'aime' en se souvenant que le "je" qui aime est la source divine qui nous anime...
- Caresser un animal, lui apporter une belle vie confortable, idem pour une plante, pour la nature... planter des arbres,
- ramasser des déchets après un pique-nique et toute forme de respect de l'environnement.
Il y en a tant d'autres... des milliers.
Lorsque l'amour coule 'de source', la vie est sereine.
La fréquence s'élève naturellement et permet de passer au-dessus d'obstacles destinés uniquement à développer l'amour puisqu'il est déjà présent.
Car tout ce qui se manifeste à nous, est simplement une opportunité d'expression, que nous choisissons d'émettre ou non, de notre vraie nature lumineuse.
C'est le jeu amoureux de la vie !
vendredi 18 avril 2014
Les vitamines
Des combinaisons bénéfiques de vitamines et minéraux pour votre santé
* des os solides: vitamines C+D
* du sang de qualité: fer+vitamine C
* construction de l'ADN: acide folique+vitamine C...
* système immunitaire: vitamine A + zinc
* des os solides: vitamines C+D
* du sang de qualité: fer+vitamine C
* construction de l'ADN: acide folique+vitamine C...
* système immunitaire: vitamine A + zinc
Les 7 bénéfices de la Méditation
Les 7 bénéfices de la méditation
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1) Relaxation TOTALE et sentiment de bien être profond
Vous
avez un job stressant ou un conjoint stressant, ou des enfants
stressants ou des stress financiers ou un mélange de plusieurs de ces
éléments ??
Des études ont montré que la méditation relaxe vos muscles et même vos organes, tout en vous clarifiant les idées ! Après une bonne séance de méditation, vous vous sentez rechargé, détendu et revitalisé et, cerise sur le gâteau, vous serez beaucoup plus résistant au stress à l'avenir !
"Rien
ne m'a ouvert les yeux plus que la méditation, cela me rend calme et
heureux et m'apporte la paix dans une vie plutôt chaotique."
Hugh Jackman, Acteur célèbre |
2) Une meilleure connection entre votre corps et votre mental qui vous incite à créer des habitudes saines
Vous voulez arrêter de grignoter, de fumer ou de procrastiner ?
Des centaines d'études sur la méditation prouvent qu'elle vous aidera à créer et à maintenir des habitudes de vie saines !
"La méditation réduit l'hypertension, le cholestérol et le sucre trop élevé dans le sang"
Dr Oz, Chirurgien |
3) Une créativité inédite qui vous permet de résoudre vos problèmes et qui vous fera briller au boulot !
Les
méditants confirmés sont tous d'accord pour dire que la méditation leur
apporte une créativité qu'ils n'avaient pas jusque-là.
Richard Bach, l'auteur célèbre, a utilisé la méditation pour trouver l'inspiration qui lui a permis de terminer son roman phare : Jonathan Linvingstone le goélan.
"Ce
que j'adore avec la médiation c'est qu'elle vous apprend des choses que
vous pouvez utiliser partout... Et cela m'a beaucoup aidé en tant que
réalisateur."
David Lynch, Célèbre réalisteur |
4) Une connection plus profonde avec votre entourage
La
méditation renforce les liens que vous avez avec votre entourage et
vous aide à créer des liens plus forts plus rapidement avec les
personnes que vous rencontrez.
Besoin d'une meilleure communication avec votre conjoint ? Envie d'avoir une vraie relation avec votre enfant qui est en pleine crise d'adolescence ? Vous devez négocier avec votre patron ou un collaborateur ? Essayez de méditer avant ! En 2009, le docteur en psychologie clinique Marsha Lucas a expliqué que la méditation reprogramme le cerveau pour nous rendre plus aptes à créer et maintenir de bonnes relations avec les autres. Les méditants ont plus tendance à être complètement présents et concentrés lorsqu'ils interagissent avec d'autres et font preuves d'une meilleure empathie. |
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5) Les meilleures relations sexuelles de votre vie
Vous voulez devenir plus aventureux au lit ?
Vous voulez que le sexe devienne plus qu'une expérience physique ? Une étude récente a démontré des améliorations au niveau du désir, au niveau de la satisfaction lors des rapports, une meilleure performance, une meilleure érection et un meilleur contrôle de l'éjaculation pour des sujets ayant suivi une session d'une heure de yoga suivie d'une séance de respiration méditative, tous les jours pendant 12 semaines.
"Il y a de bonnes raisons de croire que la méditation, à elle seule, améliore la vie sexuelle"
Vikas Dikav, Docteur |
6) Attirez le succès et la richesse comme un véritable aimant
Ce
n'est pas pour rien si Apple ou Google (2 des entreprises les plus
puissantes du monde) offrent des cours de méditation à leurs employés.
Vous connaissez Nike, AOL, Yahoo! ou Procter & Gamble ? Encore quelques entreprises parmi les plus puissantes au monde qui investissent dans la méditation pour leurs employés.
"La
méditation m'a été d'une aide incroyable pour me remettre d'une
addiction à la drogue mais aussi dans ma vie privée et professionnelle.
L'autre jour en méditant, une idée m'est venue de nulle part et je pense qu'elle va me rapporter des millions" Russell Brand, Comédien célèbre |
7) Une connaissance de soi plus profonde et une plus grande clarté sur votre but dans la vie
Chacun a son propre ensemble unique de qualités qui le rendent parfait pour atteindre un but particulier au cours de sa vie.
En méditant, vous obtenez une meilleure compréhension du but de votre vie et du chemin à parcourir pour l'atteindre. Vous ne vous sentirez plus perdu ou bloqué.
"La
méditation m'a donné plus d'énergie, plus de force, une meilleure
santé, de la sagesse, ainsi qu'un accès à ma propre bulle de calme et de
bonheur intérieur.
C'est mon point de connexion avec moi-même; c'est mon point de connexion avec l'univers." Russell Simmons, Homme d'affaire et célébrité dans le monde du Hip Hop |
Mais que se passe-t-il VRAIMENT dans notre esprit quand nous méditons ?
Quand vous méditez, les fréquences de votre cerveau sont modifiées et vous entrez dans un état de conscience plus profond.
Les niveaux Alpha et Thêta sont les états de conscience associés à la méditation-et la méthode la plus utilisée pour atteindre ces niveaux est la concentration sur sa propre respiration. Certaines personnes utilisent certains souvenirs ou certaines émotions pour y arriver. Les moines, eux, utilisent des chants. Mais quelle que soit la méthode utilisée, la plus grosse difficulté que vous rencontrerez en méditation sera de rester aux niveaux Alpha ou Thêta suffisamment longtemps pour profiter des bénéfices de la méditation. . |
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Le besoin d'être écouté (e)
LE BESOIN D'ÊTRE ÉCOUTÉ (E)
Le besoin d’être écouté est un des besoins fondamentaux de l’être humain. Enfant, nous avions très fortement ce besoin qui servait, entre autre, à construire notre estime personnelle (confiance en ce que l’on FAIT) et notre valeur personnelle (confiance en ce que l’on EST). Le fait d’être écouté jeune faisait également naître en nous le sentiment d’être aimé et accepté tel que nous étions. Donc, comme vous pouvez vous l’imaginer, si nous n’avons pas eu cette écoute chaleureuse, empathique et respectueuse, il y a fort à parier que nous avons de la difficulté à nous aimer véritablement et à nous accepter tel que nous sommes, dans toutes les parties de notre être.
Un endroit spécifique où il est souvent difficile pour l’adulte de s’aimer, c’est dans sa vulnérabilité. Lorsqu’il vit des souffrances, des peurs, de la colère, de la peine et toute la gamme des émotions qui peuvent l'habiter, l’être humain à tendance à se cacher, à vouloir rester seul. Personne n’est au-dessus des émotions. Certaines personnes peuvent le laisser croire en se montrant stoïque, rationnelle, très cultivée, très drôle, sans jamais laisser transparaître d’émotions. Toutefois, rare sont celles qui réussissent à passer toute une vie sans montrer leurs émotions puisque la vie nous «force» à le faire, à un moment ou un autre, à travers les gens et les événements qui se présentent sur notre route.
Le fait d’être écouté nous permet d’entrer doucement en contact avec nous-même. Cela nous permet d’accéder à des parties de nous qui ont été refoulées dans l’inconscient et qui refont inévitablement surface, à notre insu, dans notre quotidien. D’où pensez-vous que les souffrances que nous vivons viennent? Entre autre des événements passés et des émotions qui s’y rattachent. Les émotions refont surface dans le présent afin que nous les accueillons pour les guérir. Nos souffrances viennent également du fait d’être incapable d’accéder à nos émotions réelles dans le moment présent, en nous en défendant. Ainsi nous résistons et tentons de les contrôler. Ce qui ajoute à notre souffrance encore plus d’ampleur.
Donc, reconnaître ce besoin d’être écouté et s’en occuper, c’est se donner la chance de guérir et de se transformer en profondeur afin d’atteindre la paix intérieure et de retrouver l’harmonie du corps, du coeur, de la tête et de l’âme. Toutefois, comme nous ne sommes plus des enfants, c’est maintenant à nous de nous occuper de ce besoin. Pour la plupart d’entre nous, il n’y aura personne qui viendra s’asseoir à nos côtés pour nous demander si nous avons besoin de parler. Il va falloir avoir le courage de sortir de l’isolement, du refoulement, de la rationalisation et oser se montrer dans ce besoin. Naturellement, se montrer dans un besoin, ça demande de l’humilité, ça demande du courage, ça demande de se montrer vulnérable. Toutefois, de par mon expérience, je peux vous dire que ça en vaut vraiment le coup. Oser aller demander à l’autre de nous écouter, c’est sortir de la dépendance d’attendre que l’autre vienne vers nous pour nous demander ce qui ne va pas, c’est donc acquérir son autonomie à plus ou moins long terme. Et ça, ça fait du bien pour son estime et sa valeur personnelle.
Les bienfaits du concombre
Les bienfaits du concombre
Le concombre est un véritable allié minceur!
Il faut savoir que le concombre est un légume vert très faible en calories!
Pour 100 grammes, il contient 1.9 gramme de glucides, 18 mg de calcium, 13 mg de magnésium, 150 mg de potassium, 1.2 g de lipides, de plus ce légume est composé de 95 % d'eau, riche en Vitamine B9 et en lutéine. Riche en oligoélément, le concombre est reminéralisant. Ses propriétés lui valent largement une place dans les cures pour l’élimination des toxines !
Le concombre est un légume très rafraîchissant, il fait partie des aliments les moins caloriques avec seulement 12 calories.
C'est donc un allié certain pour les personnes qui suivent un régime amaigrissant, d'autant plus qu'il possède un pouvoir de satiété très élevé.
Pour parfaire ses atouts minceurs, sa consommation nécessite beaucoup de mastication. Or la mastication est reconnue pour favoriser également la satiété. Résultat, il aide à manger moins au cours d'un repas et à avoir moins faim ensuite.
Les nutritionnistes conseillent vivement ce légumes frais pour ses multitudes de vertus.
C'est un excellent dépuratif et diurétique. D'ailleurs, le jus de concombre consommé à jeun serait le meilleur des dépuratifs. En outre, toutes les vitamines connues sont présentes dans ce légume. Et en particulier tout l'éventail des vitamines B. Bien pourvu en fibres, le concombre participe au bon fonctionnement du transit intestinal.
Inutile de faire dégorger le concombre dans du sel au risque de lui faire perdre ses minéraux. Ce sont ses graines qui peuvent le rendre indigeste. Il suffit donc de lui ôter ses graines centrales avant de le consommer.
Envie de grignoter ? Concombres, radis, champignons de paris, tomates cerises, fruits doivent devenir votre automatisme grignotage
* Il favorise la satiété !!!
Barbara Rolls, une chercheuse américaine spécialiste des comportements alimentaires et de la gestion du poids, a en effet mis en évidence qu’en adoptant un régime « volumétrique », basé sur les aliments à faible densité énergétique (riches en eau, en fibre, et pauvres en graisses), on agissait positivement sur les mécanismes naturels de la satiété et on perdait du poids. Avec ses collaborateurs, la scientifique a démontré par exemple qu’en mangeant des crudités 15 minutes avant le repas, on réduisait de 12 % en moyenne le nombre de calories consommés au cours du repas.
En 2007, elle a comparé l’efficacité du régime volumétrique à un régime pauvre en graisses et mis en évidence que le premier permet de perdre un peu plus de poids mais surtout d’avoir moins faim.
Inspiré par perte de poids, la nutrition et e-santé
C'est donc un allié certain pour les personnes qui suivent un régime amaigrissant, d'autant plus qu'il possède un pouvoir de satiété très élevé.
Pour parfaire ses atouts minceurs, sa consommation nécessite beaucoup de mastication. Or la mastication est reconnue pour favoriser également la satiété. Résultat, il aide à manger moins au cours d'un repas et à avoir moins faim ensuite.
Les nutritionnistes conseillent vivement ce légumes frais pour ses multitudes de vertus.
C'est un excellent dépuratif et diurétique. D'ailleurs, le jus de concombre consommé à jeun serait le meilleur des dépuratifs. En outre, toutes les vitamines connues sont présentes dans ce légume. Et en particulier tout l'éventail des vitamines B. Bien pourvu en fibres, le concombre participe au bon fonctionnement du transit intestinal.
Inutile de faire dégorger le concombre dans du sel au risque de lui faire perdre ses minéraux. Ce sont ses graines qui peuvent le rendre indigeste. Il suffit donc de lui ôter ses graines centrales avant de le consommer.
Envie de grignoter ? Concombres, radis, champignons de paris, tomates cerises, fruits doivent devenir votre automatisme grignotage
* Il favorise la satiété !!!
Barbara Rolls, une chercheuse américaine spécialiste des comportements alimentaires et de la gestion du poids, a en effet mis en évidence qu’en adoptant un régime « volumétrique », basé sur les aliments à faible densité énergétique (riches en eau, en fibre, et pauvres en graisses), on agissait positivement sur les mécanismes naturels de la satiété et on perdait du poids. Avec ses collaborateurs, la scientifique a démontré par exemple qu’en mangeant des crudités 15 minutes avant le repas, on réduisait de 12 % en moyenne le nombre de calories consommés au cours du repas.
En 2007, elle a comparé l’efficacité du régime volumétrique à un régime pauvre en graisses et mis en évidence que le premier permet de perdre un peu plus de poids mais surtout d’avoir moins faim.
Inspiré par perte de poids, la nutrition et e-santé
jeudi 17 avril 2014
Alimentation santé : Végétal Vivant Varié
Quelle ironie du sort : l’ignorance nutritionnelle qui rend certains êtres humains obèses est aussi la cause du fait que d’autres meurent de faim…
D’où la nécessité d’établir quels sont les vrais besoins et donc les droits fondamentaux des êtres humains à une alimentation qui assure santé et bien-être à tout âge.
Dans tous les pays du monde et à toutes les époques de l’histoire voici la règle d’or de l’alimentation adéquate pour l’être humain: la règle des trois V : VEGETAL, VIVANT, VARIE
Cette règle des trois V permet de trouver son équilibre personnel au-delà des modes et des dogmes d’une époque donnée, au-delà des habitudes alimentaires de telle ou telle population.
V pour Végétal
L’être humain est fait pour se nourrir principalement de végétaux. Les plantes ont cette extraordinaire capacité de transformer l’énergie solaire en oxygène et en molécules organiques qui devraient former la base même de notre alimentation. Qu’il s’agisse des feuilles, des racines, des fruits, des graines ou des algues, tous les végétaux sont parfaitement adaptés à l’alimentation humaine. L’être humain n’est absolument pas obligé de manger des produits d’origine animale. Au contraire, ces aliments sont la cause d’un encrassement de l’organisme tout à fait caractéristique des sociétés occidentales. On s’en rend parfaitement compte en voyageant : dans les pays où les gens mangent essentiellement des végétaux, on ne rencontre pratiquement pas de personnes obèses. Dans les pays où l’alimentation fait une large place aux produits animaux, plus de la moitié de la population souffre de surcharge pondérale et de mille autres troubles de santé.
L’être humain n’est pas un carnivore. La nature ne l’a pas fabriqué comme un chien, un lion ou un tigre ! Pour bien des personnes, cette notion est difficile à avaler car elle remet en question l’éducation qu’ils ont reçue. Leurs parents, en les obligeant à consommer force viandes, lait et fromages ont-ils pu se tromper à ce point ? Toutes les recommandations des écoles officielles de diététique peuvent-elles être fausses ? Hélas, la réponse est oui !
Depuis quelques décennies, la science est venue confirmer ce que disait la sagesse des millénaires passés, à savoir que l’être humain est « végétophile » (ami des végétaux). Elle a redécouvert l’importance des fibres végétales dans l’alimentation. Si nous n’avons pas assez de fibres cellulosiques (le constituant principal des fruits, légumes, céréales et oléagineux), à cause d’une priorité donnée aux aliments d’origine animale (qui ne contiennent aucune fibre végétale) ou aux produits raffinés, nous souffrons de constipation, de gaz et de mille autres maux qui vont jusqu’aux cancers du côlon et au diabète. Il y a dans les fibres végétales mille substances biologiques qui nous aident à bien vivre. Les polysaccharides de la carotte, des poires, des tomates ou des radis sont riches en arabinogalactanes qui stimulent le système immunitaire en augmentant la production d’interféron, d’interleukine et d’un facteur de nécrose tumorale. On pourrait multiplier les exemples de ces substances utiles qui sont apportées en abondance par le règne végétal.
V est pour vivant
Les aliments vivants sont les fruits, légumes, graines germées, jeunes pousses, oléagineux, algues et autres aliments consommés tels que la nature nous les offre, sans cuisson ni manipulations industrielles. Ils apportent à notre corps toutes les substances actives nécessaires au métabolisme de ses cellules. Nous ne sommes pas obligés de manger seulement des aliments vivants pour être en bonne santé, mais l’état de notre organisme nous indique très précisément si notre équilibre est bon. Une personne dont l’alimentation comprend environ 75 % d’aliments vivants jouit en général d’une énergie sans faille et tous ses organes fonctionnent correctement. Si la proportion d’aliments vivants diminue, le corps ne pourra plus assurer ses fonctions et des symptômes vont apparaître : fatigue, dépression, allergies, insomnie, maladies infectieuses de toutes sortes ; ces maux traduisent les difficultés d’un corps qui ne parvient plus à maintenir des fonctions physiologiques normales en raison d’une déficience en éléments vitaux vivants et des efforts du corps pour se dépolluer. Quand on sait que la plupart des occidentaux ont moins de 20 % d’aliments vivants dans leur nutrition quotidienne, on s’explique facilement pourquoi ils sont en si mauvaise santé !
Quels que soient les troubles dont vous souffrez, faites l’expérience d’une cure d’aliments végétaux vivants jusqu’à ce que votre santé soit tout à fait rétablie. Vous pourrez alors recommencer à manger des aliments différents et vous serez attentifs, cette fois-ci, à garder une proportion suffisante d’aliments vivants par rapport aux aliments non vivants. Vous pourrez aussi, ce qui est plus facile pour certains, faire de temps à autre des cures d’aliments vivants pour maintenir votre équilibre.
La cuisson et les procédés de conservation industrielle détruisent une grande partie des vitamines, des enzymes et d’autres éléments biologiques vitaux. Les aliments cuits ou industriels apportent certes des quantités d’hydrates de carbone, de protéines, de graisses ou d’autres éléments nutritifs, mais, au niveau qualitatif, ils ont perdu toute valeur. La notion du vivant permet de remplacer une diététique purement quantitative, fondée sur des normes établies arbitrairement et qui varient d’un pays à l’autre, par une diététique qualitative et individualisée, dans laquelle chacun gère son alimentation lui-même en apprenant à être à l’écoute des besoins de son corps et en tenant compte de tous les éléments de sa vie. C’est le concept de la médecine holistique qui tient compte des quatre corps de l’être humain : physique, émotionnel, mental et spirituel.
Les idées sur la nutrition qui ont donné naissance à l’industrie alimentaire ont été élaborées par une science purement matérialiste, qui ne tenait compte que des calories et ignorait même l’existence des vitamines. La découverte de celles-ci n’a malheureusement pas débouché sur un plus grand respect des aliments naturels, mais sur l’enrichissement des aliments industriels par des vitamines de synthèse ! Ce qui n’est pas du tout la même chose. L’un des plus grands malheurs de l’histoire contemporaine est la terrible habitude qui s’est répandue de pasteuriser les aliments. C’est à la suite des travaux du célèbre Pasteur que l’on prit conscience du danger d’un excès de bactéries dans les aliments. Pour les détruire, on se mit à chauffer les aliments afin de les stériliser. Ce faisant, on a détruit tous les enzymes puisque ceux-ci ne supportent pas la chaleur. Et l’on a créé ainsi toute une catégorie d’aliments stériles mais morts puisque totalement dévitalisés et privés de ces enzymes dont le rôle, dans le maintien de notre santé, est absolument capital. Dans un aliment vivant, offert par la nature, il y a non seulement des protéines, des corps gras, des hydrates de carbone, des vitamines mais aussi des enzymes qui vont permettre de les digérer dans le tube digestif. Lorsque l’aliment est chauffé (que cela soit par la pasteurisation industrielle ou par la cuisson faite dans les cuisines), les enzymes sont détruits et le corps va devoir mobiliser ses propres enzymes pour assurer le travail digestif. C’est pour cette raison qu’après un repas constitué d’aliments cuits, on observe une augmentation des globules blancs dans le sang (leucocytose digestive).
Cette mobilisation des globules blancs est destinée à apporter les enzymes dont les aliments cuits sont privés. Avec un repas d’aliments crus rien de tel, il n’y a pas d’élévation du nombre de globules blancs dans le sang. C’est le drame qui se joue dans notre tube digestif : les enzymes que le corps doit apporter pour assurer la digestion ne sont plus disponibles pour assurer la dépollution des espaces intercellulaires et intracellulaires. Notre organisme va ainsi laisser stagner dans ses organes et autour d’eux toutes sortes de substances qu’il aurait normalement dû évacuer. On les appelle les « toxines » ou les « radicaux libres » et un grand nombre de maladies correspondent aux efforts du corps pour les évacuer.
Ainsi la pasteurisation des aliments industriels et l’habitude de manger cuit sont l’une des causes principales de ces fléaux qui empoisonnent la vie des occidentaux actuels. Les maladies cardio-vasculaires, le diabète, les rhumatismes, les allergies, les scléroses et dégénérescences de toutes sortes, tous ces maux sont directement liés aux habitudes alimentaires modernes, inspirées par une diététique quantitative matérialiste qui n’a pas encore intégré le concept des aliments vivants.
Ceux-ci sont plus difficiles à gérer pour les marchands. Ils ne peuvent pas être stockés longtemps car ils pourrissent après quelques jours. C’est la raison pour laquelle l’industrie alimentaire encourage les consommateurs à préférer ses boîtes et petits pots aux fruits, légumes et graines des marchés. On voit ainsi des millions de gens réduits à un véritable esclavage par la toute puissante industrie alimentaire. Ils ne sont pas des esclaves avec des chaînes aux pieds, marqués au fer rouge, mais ils sont esclaves de souffrances et de maladies innombrables, pour lesquelles l’industrie pharmaceutique, qui est la sœur jumelle de l’industrie alimentaire, offre un soulagement par des médicaments chimiques qui vont les empoisonner toujours plus et faire de leur vie un véritable enfer. On s’émeut de ces temps reculés où des millions d’êtres humains étaient réduits en esclavage sans se rendre compte aujourd’hui qu’une autre forme d’esclavage s’est imposée dans laquelle le Grand Maître Profit règne sur des populations de malades ignorants, privés de leur santé et de leur liberté. Le Profit n’a même pas besoin de contremaîtres armés de fouets pour maintenir les populations dans la soumission. Il lui suffit d’utiliser les services de sa charmante fille, la Reine Publicité, pour que tous obéissent, en consommateurs dociles et inconscients.
Une personne qui se nourrit principalement d’aliments industriels ne peut que se sentir mal dans sa peau et souffrir de difficultés digestives et de douleurs diverses. Elle sera alors attirée par l’utilisation de médicaments, d’alcool, de café, de tabac ou d’autres excitants pour s’anesthésier et oublier ses maux. La carence d’aliments vivants est l’une des causes fondamentales des habitudes nocives de notre société. Un être humain qui est mal nourri va être tenté d’utiliser des moyens de bien-être artificiel. Il va devenir un consommateur de drogues légales ou illégales. Parmi les aliments vivants, une mention spéciale est à décerner aux graines germées, qui sont des concentrés de vitamines, d’enzymes et de toutes sortes de substances biologiques vivantes que la science n’a pas encore découvertes. C’est en se nourrissant exclusivement de graines germées que de nombreux sportifs battent des records ou gagnent des compétitions. Mais le public est maintenu dans l’ignorance de ce fait parce que les multinationales de l’alimentaires veulent vendre leurs produits et font taire les médias.
V pour Varié
Il est important de ne pas manger tout le temps les mêmes aliments mais d’offrir à son corps une diversité de fruits, de légumes, de graines, d’oléagineux et même, de temps en temps, si vous en avez envie, de produits animaux ! En effet, la règle du Varié efface tout sectarisme alimentaire. Manger parfois un morceau de viande, un peu de fromage, un yaourt ou un œuf n’est pas du tout incompatible avec une bonne santé. C’est le fait de manger trop souvent et en trop grande quantité des produits animaux ou des aliments industriels qui entraîne une intoxication du corps et un affaiblissement du système immunitaire.
Le concept de la variété alimentaire permet d’éviter la monotonie et de manger avec le plaisir du changement. Certains systèmes alimentaires sont très rigides dans leur concept : ils interdisent définitivement certains aliments et enferment leurs adeptes dans une véritable « forteresse alimentaire » dont ils ne peuvent jamais sortir. Malheureusement, être prisonnier d’une alimentation, même très pure, même parfaitement crue, crée toutes sortes de problèmes sociaux puisque l’adepte d’un tel système ne peut plus jamais partager la convivialité d’un repas avec des amis ou des parents. Ceux qui s’enferment dans une règle trop rigide et ne respectent pas le concept de la variété finissent souvent par voir leur santé se détériorer.
Le V pour Varié est donc un hymne à la liberté, à la mobilité, en apprenant à gérer la variété alimentaire de façon sage, c’est-à-dire en évitant que des aliments peut-être agréables au goût ou très bien considérés dans la vie sociale ne prennent trop de place par rapport aux aliments dont le corps à besoin pour bien fonctionner.
Dans sa constitution intérieure, l’être humain n’est pas seulement un corps physique. Il est aussi un corps émotionnel, un corps mental et un corps spirituel. On devrait même plutôt dire qu’il est un corps spirituel (que l’on appelle aussi âme, Moi Supérieur ou corps de lumière) qui a créé trois corps de plus en plus denses, de plus en plus lents sur le plan de la fréquence vibratoire, pour vivre sur la planète Terre. Notre organisme de matière est de la « lumière gelée », le fruit de nos vibrations spirituelles, mentales et émotionnelles.
Ce concept permet de comprendre pourquoi la mobilité (le V de varié) est essentielle non seulement au niveau de nos aliments mais aussi pour que l’énergie spirituelle coule harmonieusement dans nos pensées, nos sentiments et nos organes physiques. Des croyances limitées et les émotions négatives qu’elles entraînent (jugement, peur, colère, frustration, jalousie, rancune, honte, culpabilité, etc.) bloquent nos organes d’élimination et paralysent notre système immunitaire. Être mobile sur le plan alimentaire signifie aussi apporter des changements à nos habitudes émotionnelles et mentales pour faire de sa vie une constante aventure.
Pour sortir de l’esclavage et de la dépendance il faut se réveiller, devenir conscient et apprendre à gérer soi-même sa santé et son alimentation. Nul n’est besoin pour cela d’apprendre à calculer des calories ni de suivre des régimes draconiens. La règle des trois V donne à chacun les principes de base permettant d’apprendre à se nourrir en respectant les lois fondamentales de l’harmonie et du bien-être.
Notre nourriture n’est pas seulement constituée par nos aliments. Nous recevons également de l’énergie par la respiration, la lumière solaire qui touche nos yeux et notre peau, l’énergie cosmique du ciel et l’énergie électromagnétique de la Terre (énergie tellurique). D’où l’importance d’un mode de vie sain, où nous marchons souvent pieds nus, prenons des bains de soleil, faisons de l’exercice pour respirer à fond, tout cela pour veiller à nourrir notre corps avec les éléments dont il a besoin.
Puisque, dans le monde, tout est vibration, nous pouvons apprendre à nous nourrir de beauté, de sons, de musiques, de chansons, de couleurs, de pensées positives, de rêves merveilleux, de joie et d’amour. Plus nous devenons réceptifs à la lumière de notre corps spirituel, plus nos autres corps sont nourris d’énergies subtiles et plus nous sentons la guidance intérieure qui nous mène vers tout ce qui concourt à la santé et au bonheur. Dans cette optique, découvrir tous les régimes alimentaires est une aventure passionnante vers une conscience toujours plus grande de l’alimentation plaisir.
Par sa simplicité cette règle des trois V peut permettre de résoudre tant les problèmes d’obésité des occidentaux (1 milliard et demi de personnes) que ceux de ceux qui souffrent de malnutrition dans les pays du Tiers-Monde.
Il est temps que tous les habitants de la Terre connaissent leur droit à une alimentation qui corresponde aux vrais besoins de leur corps et ne soit plus laissée dans les mains de multinationales ou d’institutions internationales . Plus les consommateurs sont empoisonnés par des aliments dévitalisés, plus une spirale infernale de consommation effrénée les conduit vers un affaiblissement de leurs défenses immunitaires. Aujourd’hui les quantités de produits chimiques fabriqués et consommés dépassent les capacités d’épuration de la Terre et des corps humains, conduisant à une pollution généralisée qui devient peu à peu un génocide planétaire. Il est temps de nous délivrer des faux dogmes de la diététique quantitative et de devenir responsables et conscients des besoins fondamentaux de notre corps et avancer vers une alimentation toujours plus consciente et plus spirituelle.
D’où la nécessité d’établir quels sont les vrais besoins et donc les droits fondamentaux des êtres humains à une alimentation qui assure santé et bien-être à tout âge.
Dans tous les pays du monde et à toutes les époques de l’histoire voici la règle d’or de l’alimentation adéquate pour l’être humain: la règle des trois V : VEGETAL, VIVANT, VARIE
Cette règle des trois V permet de trouver son équilibre personnel au-delà des modes et des dogmes d’une époque donnée, au-delà des habitudes alimentaires de telle ou telle population.
V pour Végétal
L’être humain est fait pour se nourrir principalement de végétaux. Les plantes ont cette extraordinaire capacité de transformer l’énergie solaire en oxygène et en molécules organiques qui devraient former la base même de notre alimentation. Qu’il s’agisse des feuilles, des racines, des fruits, des graines ou des algues, tous les végétaux sont parfaitement adaptés à l’alimentation humaine. L’être humain n’est absolument pas obligé de manger des produits d’origine animale. Au contraire, ces aliments sont la cause d’un encrassement de l’organisme tout à fait caractéristique des sociétés occidentales. On s’en rend parfaitement compte en voyageant : dans les pays où les gens mangent essentiellement des végétaux, on ne rencontre pratiquement pas de personnes obèses. Dans les pays où l’alimentation fait une large place aux produits animaux, plus de la moitié de la population souffre de surcharge pondérale et de mille autres troubles de santé.
L’être humain n’est pas un carnivore. La nature ne l’a pas fabriqué comme un chien, un lion ou un tigre ! Pour bien des personnes, cette notion est difficile à avaler car elle remet en question l’éducation qu’ils ont reçue. Leurs parents, en les obligeant à consommer force viandes, lait et fromages ont-ils pu se tromper à ce point ? Toutes les recommandations des écoles officielles de diététique peuvent-elles être fausses ? Hélas, la réponse est oui !
Depuis quelques décennies, la science est venue confirmer ce que disait la sagesse des millénaires passés, à savoir que l’être humain est « végétophile » (ami des végétaux). Elle a redécouvert l’importance des fibres végétales dans l’alimentation. Si nous n’avons pas assez de fibres cellulosiques (le constituant principal des fruits, légumes, céréales et oléagineux), à cause d’une priorité donnée aux aliments d’origine animale (qui ne contiennent aucune fibre végétale) ou aux produits raffinés, nous souffrons de constipation, de gaz et de mille autres maux qui vont jusqu’aux cancers du côlon et au diabète. Il y a dans les fibres végétales mille substances biologiques qui nous aident à bien vivre. Les polysaccharides de la carotte, des poires, des tomates ou des radis sont riches en arabinogalactanes qui stimulent le système immunitaire en augmentant la production d’interféron, d’interleukine et d’un facteur de nécrose tumorale. On pourrait multiplier les exemples de ces substances utiles qui sont apportées en abondance par le règne végétal.
V est pour vivant
Les aliments vivants sont les fruits, légumes, graines germées, jeunes pousses, oléagineux, algues et autres aliments consommés tels que la nature nous les offre, sans cuisson ni manipulations industrielles. Ils apportent à notre corps toutes les substances actives nécessaires au métabolisme de ses cellules. Nous ne sommes pas obligés de manger seulement des aliments vivants pour être en bonne santé, mais l’état de notre organisme nous indique très précisément si notre équilibre est bon. Une personne dont l’alimentation comprend environ 75 % d’aliments vivants jouit en général d’une énergie sans faille et tous ses organes fonctionnent correctement. Si la proportion d’aliments vivants diminue, le corps ne pourra plus assurer ses fonctions et des symptômes vont apparaître : fatigue, dépression, allergies, insomnie, maladies infectieuses de toutes sortes ; ces maux traduisent les difficultés d’un corps qui ne parvient plus à maintenir des fonctions physiologiques normales en raison d’une déficience en éléments vitaux vivants et des efforts du corps pour se dépolluer. Quand on sait que la plupart des occidentaux ont moins de 20 % d’aliments vivants dans leur nutrition quotidienne, on s’explique facilement pourquoi ils sont en si mauvaise santé !
Quels que soient les troubles dont vous souffrez, faites l’expérience d’une cure d’aliments végétaux vivants jusqu’à ce que votre santé soit tout à fait rétablie. Vous pourrez alors recommencer à manger des aliments différents et vous serez attentifs, cette fois-ci, à garder une proportion suffisante d’aliments vivants par rapport aux aliments non vivants. Vous pourrez aussi, ce qui est plus facile pour certains, faire de temps à autre des cures d’aliments vivants pour maintenir votre équilibre.
La cuisson et les procédés de conservation industrielle détruisent une grande partie des vitamines, des enzymes et d’autres éléments biologiques vitaux. Les aliments cuits ou industriels apportent certes des quantités d’hydrates de carbone, de protéines, de graisses ou d’autres éléments nutritifs, mais, au niveau qualitatif, ils ont perdu toute valeur. La notion du vivant permet de remplacer une diététique purement quantitative, fondée sur des normes établies arbitrairement et qui varient d’un pays à l’autre, par une diététique qualitative et individualisée, dans laquelle chacun gère son alimentation lui-même en apprenant à être à l’écoute des besoins de son corps et en tenant compte de tous les éléments de sa vie. C’est le concept de la médecine holistique qui tient compte des quatre corps de l’être humain : physique, émotionnel, mental et spirituel.
Les idées sur la nutrition qui ont donné naissance à l’industrie alimentaire ont été élaborées par une science purement matérialiste, qui ne tenait compte que des calories et ignorait même l’existence des vitamines. La découverte de celles-ci n’a malheureusement pas débouché sur un plus grand respect des aliments naturels, mais sur l’enrichissement des aliments industriels par des vitamines de synthèse ! Ce qui n’est pas du tout la même chose. L’un des plus grands malheurs de l’histoire contemporaine est la terrible habitude qui s’est répandue de pasteuriser les aliments. C’est à la suite des travaux du célèbre Pasteur que l’on prit conscience du danger d’un excès de bactéries dans les aliments. Pour les détruire, on se mit à chauffer les aliments afin de les stériliser. Ce faisant, on a détruit tous les enzymes puisque ceux-ci ne supportent pas la chaleur. Et l’on a créé ainsi toute une catégorie d’aliments stériles mais morts puisque totalement dévitalisés et privés de ces enzymes dont le rôle, dans le maintien de notre santé, est absolument capital. Dans un aliment vivant, offert par la nature, il y a non seulement des protéines, des corps gras, des hydrates de carbone, des vitamines mais aussi des enzymes qui vont permettre de les digérer dans le tube digestif. Lorsque l’aliment est chauffé (que cela soit par la pasteurisation industrielle ou par la cuisson faite dans les cuisines), les enzymes sont détruits et le corps va devoir mobiliser ses propres enzymes pour assurer le travail digestif. C’est pour cette raison qu’après un repas constitué d’aliments cuits, on observe une augmentation des globules blancs dans le sang (leucocytose digestive).
Cette mobilisation des globules blancs est destinée à apporter les enzymes dont les aliments cuits sont privés. Avec un repas d’aliments crus rien de tel, il n’y a pas d’élévation du nombre de globules blancs dans le sang. C’est le drame qui se joue dans notre tube digestif : les enzymes que le corps doit apporter pour assurer la digestion ne sont plus disponibles pour assurer la dépollution des espaces intercellulaires et intracellulaires. Notre organisme va ainsi laisser stagner dans ses organes et autour d’eux toutes sortes de substances qu’il aurait normalement dû évacuer. On les appelle les « toxines » ou les « radicaux libres » et un grand nombre de maladies correspondent aux efforts du corps pour les évacuer.
Ainsi la pasteurisation des aliments industriels et l’habitude de manger cuit sont l’une des causes principales de ces fléaux qui empoisonnent la vie des occidentaux actuels. Les maladies cardio-vasculaires, le diabète, les rhumatismes, les allergies, les scléroses et dégénérescences de toutes sortes, tous ces maux sont directement liés aux habitudes alimentaires modernes, inspirées par une diététique quantitative matérialiste qui n’a pas encore intégré le concept des aliments vivants.
Ceux-ci sont plus difficiles à gérer pour les marchands. Ils ne peuvent pas être stockés longtemps car ils pourrissent après quelques jours. C’est la raison pour laquelle l’industrie alimentaire encourage les consommateurs à préférer ses boîtes et petits pots aux fruits, légumes et graines des marchés. On voit ainsi des millions de gens réduits à un véritable esclavage par la toute puissante industrie alimentaire. Ils ne sont pas des esclaves avec des chaînes aux pieds, marqués au fer rouge, mais ils sont esclaves de souffrances et de maladies innombrables, pour lesquelles l’industrie pharmaceutique, qui est la sœur jumelle de l’industrie alimentaire, offre un soulagement par des médicaments chimiques qui vont les empoisonner toujours plus et faire de leur vie un véritable enfer. On s’émeut de ces temps reculés où des millions d’êtres humains étaient réduits en esclavage sans se rendre compte aujourd’hui qu’une autre forme d’esclavage s’est imposée dans laquelle le Grand Maître Profit règne sur des populations de malades ignorants, privés de leur santé et de leur liberté. Le Profit n’a même pas besoin de contremaîtres armés de fouets pour maintenir les populations dans la soumission. Il lui suffit d’utiliser les services de sa charmante fille, la Reine Publicité, pour que tous obéissent, en consommateurs dociles et inconscients.
Une personne qui se nourrit principalement d’aliments industriels ne peut que se sentir mal dans sa peau et souffrir de difficultés digestives et de douleurs diverses. Elle sera alors attirée par l’utilisation de médicaments, d’alcool, de café, de tabac ou d’autres excitants pour s’anesthésier et oublier ses maux. La carence d’aliments vivants est l’une des causes fondamentales des habitudes nocives de notre société. Un être humain qui est mal nourri va être tenté d’utiliser des moyens de bien-être artificiel. Il va devenir un consommateur de drogues légales ou illégales. Parmi les aliments vivants, une mention spéciale est à décerner aux graines germées, qui sont des concentrés de vitamines, d’enzymes et de toutes sortes de substances biologiques vivantes que la science n’a pas encore découvertes. C’est en se nourrissant exclusivement de graines germées que de nombreux sportifs battent des records ou gagnent des compétitions. Mais le public est maintenu dans l’ignorance de ce fait parce que les multinationales de l’alimentaires veulent vendre leurs produits et font taire les médias.
V pour Varié
Il est important de ne pas manger tout le temps les mêmes aliments mais d’offrir à son corps une diversité de fruits, de légumes, de graines, d’oléagineux et même, de temps en temps, si vous en avez envie, de produits animaux ! En effet, la règle du Varié efface tout sectarisme alimentaire. Manger parfois un morceau de viande, un peu de fromage, un yaourt ou un œuf n’est pas du tout incompatible avec une bonne santé. C’est le fait de manger trop souvent et en trop grande quantité des produits animaux ou des aliments industriels qui entraîne une intoxication du corps et un affaiblissement du système immunitaire.
Le concept de la variété alimentaire permet d’éviter la monotonie et de manger avec le plaisir du changement. Certains systèmes alimentaires sont très rigides dans leur concept : ils interdisent définitivement certains aliments et enferment leurs adeptes dans une véritable « forteresse alimentaire » dont ils ne peuvent jamais sortir. Malheureusement, être prisonnier d’une alimentation, même très pure, même parfaitement crue, crée toutes sortes de problèmes sociaux puisque l’adepte d’un tel système ne peut plus jamais partager la convivialité d’un repas avec des amis ou des parents. Ceux qui s’enferment dans une règle trop rigide et ne respectent pas le concept de la variété finissent souvent par voir leur santé se détériorer.
Le V pour Varié est donc un hymne à la liberté, à la mobilité, en apprenant à gérer la variété alimentaire de façon sage, c’est-à-dire en évitant que des aliments peut-être agréables au goût ou très bien considérés dans la vie sociale ne prennent trop de place par rapport aux aliments dont le corps à besoin pour bien fonctionner.
Dans sa constitution intérieure, l’être humain n’est pas seulement un corps physique. Il est aussi un corps émotionnel, un corps mental et un corps spirituel. On devrait même plutôt dire qu’il est un corps spirituel (que l’on appelle aussi âme, Moi Supérieur ou corps de lumière) qui a créé trois corps de plus en plus denses, de plus en plus lents sur le plan de la fréquence vibratoire, pour vivre sur la planète Terre. Notre organisme de matière est de la « lumière gelée », le fruit de nos vibrations spirituelles, mentales et émotionnelles.
Ce concept permet de comprendre pourquoi la mobilité (le V de varié) est essentielle non seulement au niveau de nos aliments mais aussi pour que l’énergie spirituelle coule harmonieusement dans nos pensées, nos sentiments et nos organes physiques. Des croyances limitées et les émotions négatives qu’elles entraînent (jugement, peur, colère, frustration, jalousie, rancune, honte, culpabilité, etc.) bloquent nos organes d’élimination et paralysent notre système immunitaire. Être mobile sur le plan alimentaire signifie aussi apporter des changements à nos habitudes émotionnelles et mentales pour faire de sa vie une constante aventure.
Pour sortir de l’esclavage et de la dépendance il faut se réveiller, devenir conscient et apprendre à gérer soi-même sa santé et son alimentation. Nul n’est besoin pour cela d’apprendre à calculer des calories ni de suivre des régimes draconiens. La règle des trois V donne à chacun les principes de base permettant d’apprendre à se nourrir en respectant les lois fondamentales de l’harmonie et du bien-être.
Notre nourriture n’est pas seulement constituée par nos aliments. Nous recevons également de l’énergie par la respiration, la lumière solaire qui touche nos yeux et notre peau, l’énergie cosmique du ciel et l’énergie électromagnétique de la Terre (énergie tellurique). D’où l’importance d’un mode de vie sain, où nous marchons souvent pieds nus, prenons des bains de soleil, faisons de l’exercice pour respirer à fond, tout cela pour veiller à nourrir notre corps avec les éléments dont il a besoin.
Puisque, dans le monde, tout est vibration, nous pouvons apprendre à nous nourrir de beauté, de sons, de musiques, de chansons, de couleurs, de pensées positives, de rêves merveilleux, de joie et d’amour. Plus nous devenons réceptifs à la lumière de notre corps spirituel, plus nos autres corps sont nourris d’énergies subtiles et plus nous sentons la guidance intérieure qui nous mène vers tout ce qui concourt à la santé et au bonheur. Dans cette optique, découvrir tous les régimes alimentaires est une aventure passionnante vers une conscience toujours plus grande de l’alimentation plaisir.
Par sa simplicité cette règle des trois V peut permettre de résoudre tant les problèmes d’obésité des occidentaux (1 milliard et demi de personnes) que ceux de ceux qui souffrent de malnutrition dans les pays du Tiers-Monde.
Il est temps que tous les habitants de la Terre connaissent leur droit à une alimentation qui corresponde aux vrais besoins de leur corps et ne soit plus laissée dans les mains de multinationales ou d’institutions internationales . Plus les consommateurs sont empoisonnés par des aliments dévitalisés, plus une spirale infernale de consommation effrénée les conduit vers un affaiblissement de leurs défenses immunitaires. Aujourd’hui les quantités de produits chimiques fabriqués et consommés dépassent les capacités d’épuration de la Terre et des corps humains, conduisant à une pollution généralisée qui devient peu à peu un génocide planétaire. Il est temps de nous délivrer des faux dogmes de la diététique quantitative et de devenir responsables et conscients des besoins fondamentaux de notre corps et avancer vers une alimentation toujours plus consciente et plus spirituelle.
mercredi 16 avril 2014
Etes-vous désarmé (e) face à la solitude ?
Êtes-vous désarmé face à la solitude?
Nous entendons régulièrement parler des personnes âgées qui sont seules, sans famille et amis pour leur rendre visite et c’est malheureusement très vrai que beaucoup de ces personnes souffrent de solitude.
Bien que je ne veuille absolument pas minimiser ce genre de solitude, j’aimerais porter mon article sur une autre forme de solitude. Celle dont on parle moins. Celle qui est moins visible, mais que l’on peut ressentir jusqu’au fond de ses tripes.
La solitude qu’on appelle, la solitude morale. Qui, selon le dictionnaire veut dire : État de quelqu’un qui est psychologiquement seul.
Moi je l’appelle, la solitude du cœur et de l’âme.
Vaincre la solitude ne se fait pas en cliquant des doigts, mais il y a des solutions. Plusieurs peuvent être bonnes. Je vous en propose une avec la psychanalyse corporelle. L’important c’est de se sentir bien accompagné et en confiance.
Bien que je ne veuille absolument pas minimiser ce genre de solitude, j’aimerais porter mon article sur une autre forme de solitude. Celle dont on parle moins. Celle qui est moins visible, mais que l’on peut ressentir jusqu’au fond de ses tripes.
La solitude qu’on appelle, la solitude morale. Qui, selon le dictionnaire veut dire : État de quelqu’un qui est psychologiquement seul.
Moi je l’appelle, la solitude du cœur et de l’âme.
Je parle de cette solitude qui vient du plus profond de soi, qui vous accompagne au quotidien depuis l’enfance, sans même en avoir conscience parfois. Que ce soit à cause d’un manque d’amour, de l’abandon, de la dépendance, du jugement, du rejet ou de toutes sortes de peur. C’est une solitude hypocrite et sournoise, qui vous arrive en pleine face dans les moments ou vous y attendez le moins, et ce, malgré que nous sommes bien entourés et en bonne compagnie.
Peut-on apprivoiser cette solitude?
Bien sûr, nous pouvons apprivoiser cette solitude et apaiser notre cœur, que ce soit en faisant des lectures, des méditations, des rencontres de groupe, de la consultation avec un thérapeute ou du ressourcement. Pour fuir cette solitude, certains feront du bénévolat, d’autres travailleront 70 heures par semaines et d’autres prendront de l’alcool ou feront du sport en excès.
Cependant, tant que l’émotion qui est reliée à cette solitude est toujours présente en dedans, il y aura toujours ce sentiment de vide intérieur. Ce vide qui malgré toute notre bonne volonté, a tendance à nous tirer vers le bas.
Cependant, tant que l’émotion qui est reliée à cette solitude est toujours présente en dedans, il y aura toujours ce sentiment de vide intérieur. Ce vide qui malgré toute notre bonne volonté, a tendance à nous tirer vers le bas.
La solitude de l’âme
Une autre forme de solitude qui se fait très discrète et qui a mon avis est encore plus profonde, c’est ce que j’appelle la solitude de l’âme.
Ça ne se passe pas au niveau physique, ni même au niveau du cœur, mais au niveau de l’âme.
Ça ne se passe pas au niveau physique, ni même au niveau du cœur, mais au niveau de l’âme.
C’est d’avoir l’impression de vivre dans une autre vibration totalement différente des autres.
C’est d’avoir le sentiment que personne ne voit ou ne ressent la même chose que nous et que personne ne peut nous dire : « Ça ne vas pas aujourd’hui?», puisque même nous, nous ne pouvons pas mettre des mots sur ce que l’on ressent.
C’est d’avoir le sentiment que personne ne voit ou ne ressent la même chose que nous et que personne ne peut nous dire : « Ça ne vas pas aujourd’hui?», puisque même nous, nous ne pouvons pas mettre des mots sur ce que l’on ressent.
Je parle ici du genre de solitude que tous les efforts physiques et émotionnels ne peuvent apaiser. Je parle du sentiment de vide en dedans, si fort et si puissant et dont nous n’avons pas le contrôle. Ce vide que seule la spiritualité et la croyance à un être supérieur peuvent apaiser.
Je ne parle pas ici d’un Dieu en particulier, vous êtes libre de croire à qui vous voulez, que ce soit Dieu, Bouddha ou une énergie supérieure ou divine. Mais pour apaiser ce genre de vide, croire en une forme d’énergie supérieure, aide beaucoup.
Lorsque des gens me parlent de ce genre de solitude en consultation, que ce soit la solitude du cœur ou de l’âme, je peux ressentir exactement ce dont ils me parlent. J’ai déjà ressenti ces solitudes dans ma vie, je suis donc très à l’écoute des gens qui me disent vivre ce genre de solitude. Cependant, je suis la preuve que l’on peut guérir de ça. Que l’on peut vaincre ses peurs!Je ne parle pas ici d’un Dieu en particulier, vous êtes libre de croire à qui vous voulez, que ce soit Dieu, Bouddha ou une énergie supérieure ou divine. Mais pour apaiser ce genre de vide, croire en une forme d’énergie supérieure, aide beaucoup.
Vaincre la solitude ne se fait pas en cliquant des doigts, mais il y a des solutions. Plusieurs peuvent être bonnes. Je vous en propose une avec la psychanalyse corporelle. L’important c’est de se sentir bien accompagné et en confiance.
Sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur ?
Sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur ?
Avant de répondre à cette question, j’aimerais donner mon opinion sur ce que c’est que le bonheur pour moi.
Pour moi le bonheur c’est d’abord et avant tout, être bien avec soi-même et être en paix à l’intérieur.
Comment pouvons-nous être heureux et trouver le bonheur avec quelqu’un, si nous ne sommes pas heureux avec nous même. Si nous sommes mal dans notre peau et si les émotions du passé et les blessures de notre enfance, nous hantent encore et envahissent notre vie. Pour trouver le vrai bonheur, il faut faire l’effort de prendre le temps d’analyser sa vie et ses comportements. Et surtout, il faut vouloir profondément être heureux et en paix en dedans.
On dit que la sagesse commence à s’installer dans la quarantaine. En général, c’est vers cet âge que la recherche de paix et de bonheur intérieur commence vraiment à surgir. Avant cette période, souvent, nous sommes beaucoup trop préoccupées à élever les enfants ou à performer au niveau de son travail.
Avoir 40 ans, nous amène souvent à réfléchir sur sa vie et à faire une mise au point sur ce que l’on veut réellement vivre et sur nos besoins réels. C’est souvent dans le milieu de la quarantaine que les questions commencent à surgir et qu’il y a une remise en question.
- Est-ce que je réussis ma vie?
- Est-ce que je réussis dans ma vie?
- Est-ce que mes besoins sont comblés?
- Est-ce que c’est ça que je veux pour le reste de ma vie ?
Le bonheur ça ne s’achète pas. Si nous ne le trouvons pas à l’intérieur de nous, nous ne le trouverons pas nulle part ailleurs.
Alors pour répondre à la question de cet article, sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur ?
Je répondrai que, mon amoureux est un supplément à mon bonheur, qu’il participe à ce bonheur, mais que le bonheur ne se trouve pas en lui, ni en nous, mais bien en moi.
Être seul sans amoureux ne veut pas dire avoir une vie terne et sans plaisir. Le partage avec les amis et la famille sont importants et comblent une grande partie de ce manque.
Je connais des célibataires qui se disent heureux, parce qu’ils sont toujours très occupés et en demande. Cependant, si je creuse un peu et je pose les bonnes questions ou plutôt les vraies questions, qui s’adressent à leur cœur et non à leur tête, il y a presque toujours des réponses du genre, je suis bien, mais ça me manque de ne pas pouvoir partager avec un ou une partenaire.
PARTAGER! Voilà pour moi le bonheur. C’est le partage.
Le partage des petits bonheurs quotidiens.
C’est de me réveiller le matin avec mon partenaire de vie.
C’est de prendre un café relaxe le matin en écoutant les oiseaux.
C’est une niaiserie qui me fait pouffer de rire.
C’est une bonne marche main dans la main.
C’est de faire des activités ensemble.
C’est de voir amis et famille.
C’est de voyager ensemble.
C’est de se faire plaisir et…
C’est d’avoir hâte à la fin de journée de travail pour retrouver mon amoureux.
Et surtout, tout ceci dans la simplicité, la paix et l’harmonie.
Voilà pour moi ce qu’est le bonheur. Pas trop compliqué, n’est-ce pas?
Est-ce que ce genre de bonheur vous manque ?
Alors, malgré que je suis une femme épanouie personnellement et professionnellement et que la vie est bonne pour moi. Je crois en une relation homme/femme très harmonieuse.
Alors, sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur ?
Je dois être honnête avec vous et répondre oui à cette question. Peu importe ce que la vie me donne, si je ne peux pas le partager avec un complice, il me manquera toujours un petit quelque chose à mon bonheur.
Faire le deuil d'une personne toxique....
Y a-t-il une personne toxique dans votre environnement?Une personne toxique fait du mal, blesse et fait souffrir une autre personne, et ce, en sachant très bien qu’elle le fait. Elle ne reconnaît jamais ses torts, ni n’éprouve aucun regret des gestes qu’elle pose.
Une personne toxique fait du chantage affectif et est insensible à sa victime.
Pour arriver à ses fins, elle peut mépriser, jalouser, rabaisser, juger, faire du harcèlement ou manipuler de toutes sortes de façon sa victime. Elle fait en sorte que tranquillement sa victime perde l’estime de soi et devienne son bouche-trou, afin de garder l’emprise sur elle.
La plus grande peur d’une personne toxique est de perdre le pouvoir qu’elle exerce sur sa victime. Elle ne souhaite aucunement la voir s’épanouir et réussir sa vie. Alors, elle sabote les efforts que cette dernière fait pour mener une vie heureuse et productive.
On peut avoir une relation toxique avec un parent, un ami, un collègue de travail, un conjoint (conjointe) ou même nos propres enfants.
C’est difficile de croire que ce sont les gens qui vous sont les plus chers, qui abusent de vous.
Le début d’une relation toxique
Une relation toxique a presque toujours comme base une famille dysfonctionnelle qui mène à une dépendance affective. Pendant votre enfance, on vous a appris qu’il fallait plaire pour être aimé. Qu’il fallait vous oublier et faire ce que vos parents vous disaient, sans écouter vos propres besoins. Très vite, vous avez compris en tant qu’enfant que si vous voulez de l’amour, de l’attention ou simplement être vu de vos parents (ou d’un parent), vous devez être à la hauteur de leurs attentes. Cela devient avec le temps du chantage affectif de la part des parents. C’est comme s’ils vous disaient, je vais t’aimer, si tu agis ou tu fais ce que je te dis de faire.Avec le temps, vous grandissez et ce lien de dépendance devient de plus en plus fort et toxique.
Vous quittez le nid familial pour vous marier et vous vous rendez compte après quelques années que la femme ou l’homme que vous avez marié fait exactement le même chantage affectif que votre père ou votre mère. C’est-à-dire, vous fait croire que pour avoir de l’amour, il vous faut accepter de vous oublier et de vous laisser dénigrer.
Pourquoi je reste dans cette relation
Il y a de fortes chances que si vous restez dans une relation toxique, c’est sans doute que:- Vous avez peur d’être seul
- Peur de vous sentir abandonné.
- Peur de prendre votre place
- Vous manquez d’estime de vous
- Vous vous sentez vulnérable
- Vous vous sentez coupable
Pourquoi est-ce si difficile de sortir d’une relation toxique?
Tout simplement parce que vous êtes dans l’attente.Vous espérez que peut-être un jour cette personne va vous donner un peu de reconnaissance, de bonheur ou de l’amour. Exactement comme lorsque vous étiez enfant et que vous attendiez désespérément que papa ou maman vous voit vous reconnaisse et vous aime. C’est pour cette raison que c’est si dur de sortir d’une relation toxique. C’est votre enfant intérieur qui est encore en attente.
Pour sortir de ce genre de relation, il faut faire le deuil de vos attentes, de tout ce que vous aurez aimé recevoir de cette personne. Il faut accepter que jamais vous n’ayez ce que vous attendez de cette personne. C’est d’accepter aussi que vous ne puissiez jamais changer cette personne.
Lorsque vous étiez enfant, vous aviez besoin de vos parents pour combler vos besoins affectifs. C’est normal qu’un enfant s’attende à recevoir de l’amour de ces parents. Mais en tant qu’adulte, il faut prendre conscience que ce n’est pas le rôle de l’autre de combler vos besoins. Vous pouvez les combler par vous même et ainsi, devenir responsable de votre bonheur.
Comment s’en sortir?
Rien ne changera si vous ne faites rien. Dans ce cas-ci, c’est faux de dire que le temps arrange les choses.Il faut prendre le temps de vous retrouver. De retrouver votre identité, votre essence et de vous faire confiance.
Ce n’est pas toujours nécessaire de quitter définitivement la personne toxique, surtout si c’est une personne à laquelle vous tenez vraiment (ex.: un enfant, un parent). Quelques fois de s’en éloigner quelques semaines ou mois ou même des années, peut être bénéfique. Le temps de reprendre des forces, de réfléchir et de se retrouver soi-même. Si plus tard, vous voulez rebâtir quelque chose avec cette personne, vous serez plus en état de le faire.
Si pour vous, la meilleure décision est de couper les ponts définitivement, alors faites-le et sachez que ce n’est pas d’être égoïste que de penser à soi.
Votre entourage (qui n’est pas au courant de ce que vous vivez pour la plupart du temps) vous dira sans doute:
- Tu as juste une mère, un fils, etc. Tu devrais faire des efforts.
Aucune relation ne vaut le coup de continuer à coup de chantage affectif, par peur de l’abandon.
Sortir d’une relation toxique, ce n’est pas faire du mal à l’autre. C’est d‘ouvrir les yeux, d’ouvrir son cœur et de s’aimer assez pour ne plus accepter de vivre dans cette relation.
Une personne qui vous aime vraiment vous laissera libre d’être vous-même.
Aimer ce n’est pas SE donner et s’oublier, c’est de donner et partager.
Pourquoi la souffrance ?
«La souffrance donne à l'homme la possibilité de descendre en lui-même pour réfléchir, méditer et attirer à lui des êtres supérieurs qui le guideront et lui viendront en aide. Si vous souffrez en sachant comprendre cette souffrance par laquelle le ciel veut vous transformer, il sortira de vous un être exceptionnel»
Omraam Mikhael Aivanhov
Comment Tom s'est guéri du cancer...
J’ai choisi de traduire cet article pour démontrer que l’être humain a en lui sur tous les plans les ressources nécessaires pour devenir autonome dans la gestion de sa vie.
Il est vrai qu’on entend de plus en plus parler de gens morts “d’une longue maladie” (on préfère ne pas prononcer le mot tabou, un peu par superstition).
Les gens ne sont pas informés : ni sur la signification du cancer, qui est fabriqué par le cerveau pour une raison précise, comme l’a si bien expliqué le Dr Ryke Geerd Hamer, ni sur les méthodes alternatives, dont font très largement partie l’alimentation et le psychisme. Mais aujourd’hui, il devient impardonnable de ne pas vouloir s’informer.
Tom Arguello nous en donne la preuve (Hélios).
“Comment je me suis guéri d’un cancer – naturellement”
Par Amanda Froelich
Voir le visage sérieux du médecin annonce les très mauvaises nouvelles avant même qu’il n’ait ouvert la bouche pour dire, “Je suis désolé, mais vous avez un cancer”. Et recevoir un tel choc se révèle la pire peur de chacun de nous, sachant qu’une femme sur trois et un homme sur deux sont selon les estimations touchés par cette maladie de notre époque moderne [aux US].
Des statistiques de ce genre rendent presque impossible d’échapper à cette effrayante maladie et les perspectives ne sont pas optimistes avec les traitements de la médecine moderne. Les médias peuvent proclamer que la chimiothérapie obtient un fort pourcentage de réussite, mais les enquêtes des activistes de santé ont mis à jour que, selon les statistiques, ce type de traitement tue plus de gens que le cancer lui-même.
Pour ces raisons et grâce à une bonne intuition, Tom Arguello a compris que la voie conventionnelle de traitement pour son cancer diagnostiqué du testicule n’était pas pour lui. Et de ce fait, il a trouvé en lui les ressources suffisantes pour rechercher une formule alternative de traitement et se guérir par un régime alimentaire et un changement de mode de vie. Lisez ci-dessous son extraordinaire aventure et inspirez-vous de l’attitude positive adoptée pendant son cancer et de ce qu’il en a appris.
Avertissement : le récit de première main de Tom ne se veut en aucune manière un traitement ou un moyen de diagnostic de la maladie. Le but de l’information est de partager l’expérience d’un homme qui a triomphé d’un cancer par la méthode holistique pour que d’autres puissent découvrir des modes de traitement alternatifs en vue de guérir une maladie si handicapante.
“Je remercie Dieu pour mon cancer.
C’est deux semaines avant mon 37ème anniversaire que je suis allé (à contre-cœur) voir un urologue pour une “anomalie” sur l’un de mes testicules. Je l’avais remarquée 9 mois auparavant et comme beaucoup d’hommes, j’ai fait comme si le problème n’existait pas. Les semaines et les mois passant, j’ai constaté que le testicule augmentait de taille et que sa consistance changeait. Il était anormalement dur. J’ai passé un nombre incalculable d’heures sur tous les sites médicaux du web dans une recherche désespérée de diagnostic. Il y en avait un qui revenait fréquemment et sans ambiguïté : cancer.
Je suis né et j’ai grandi à San Antonio au Texas. C’est une grande ville et un endroit fantastique pour élever une famille, mais il est régulièrement classé dans les pires “villes à obésité” de la nation. J’étais un parfait adepte du modèle alimentaire mexicain, fast-food et sodas. J’ai pesé jusqu’à 100 kilos pour 1,55 m … faites le calcul. Étais-je conscient à l’époque que quelque chose clochait ? Absolument ! M’en souciais-je ? Peut-être un peu, mais j’étais jeune. J’étais invincible. J’avais l’avenir devant moi …ou le pensais-je. Ce que j’oubliais à ce moment-là, c’est une petite chose qu’on appelle conséquence.
J’étais donc assis nerveusement dans la salle d’attente, essayant désespérément de me convaincre que ce qui m’arrivait était normal, probablement une sorte d’infection qui partirait avec des antibiotiques. Après un examen physique, j’ai commencé à comprendre que j’avais tort. Je pouvais le lire sur le visage du médecin. Il m’a envoyé immédiatement dans le service des ultrasons. J’ai gardé jusqu’au bout l’espoir de quelque chose d’autre, mais cet espoir s’est très vite envolé aussi. Le médecin a analysé mon examen aux ultrasons et a immédiatement ordonné un scanner, des analyses de sang et a programmé une intervention. “Annulez votre voyage d’affaires”, a-t-il dit. Aïe !. Il était 17 h ce vendredi après-midi-là. J’étais le tout dernier patient et me retrouvais avec une bombe cancéreuse entre les jambes. Pas la manière idéale de commencer le week-end. J’étais parvenu au pire moment de ma vie. Je me sentais perdu. Sans espoir. Anesthésié. Victime.
Tom et sa fille Laïla dans leur jardin bio
Après l’opération, je suis retourné voir le médecin pour le rapport d’intervention. Le diagnostic était un cancer du testicule stade II. Décelé relativement à temps, mais il y avait des complications. Le cancer avait gagné l’épididyme et il y avait une “invasion vasculaire”, ce qui voulait dire une plus grande probabilité que le cancer gagnerait d’autres parties du corps. En passant devant moi en revue les taux de survie et les options de traitement, je ne me sentais pas à l’aise avec son “approche unilatérale”. Le fait que toutes ces informations venaient de références médicales tirées de son ordinateur portable n’a pas contribué à me rassurer. Je me sentais plus comme une statistique que comme un être humain. La semaine suivante, je suis allé voir un oncologue qui a analysé mes pronostics, et m’a pressé ensuite de me soumettre à quelques séances de chimiothérapie pour que je puisse “bien dormir la nuit”. Il m’a aussi encouragé pendant l’entretien à manger chez McDo après la chimio si j’en avais envie. C’est là que ça a fait tilt ! Voilà que je me retrouvais dans les griffes acérées de la florissante industrie du cancer et de la médecine occidentale moderne. Où était mon choix ? Voilà ce que vous devez faire. Il n’y a pas d’autres options, d’accord ?
Après en avoir discuté avec ma femme, j’ai décidé de m’attaquer au problème de la chimiothérapie. J’ai pris rendez-vous avec une conseillère financière qui m’a poussé à faire autant de séances de chimio que possible avant la fin de l’année, tant que ma franchise d’assurance était valable sinon j’y serais de ma poche. Comment pouvait-elle savoir combien il me faudrait de séances de chimiothérapie ? Elle n’était pas médecin ! Mon étape suivante fut de m’informer sur les conséquences de la chimio. Une infirmière commença à me raconter dans le détail ce qui allait m’arriver de pire (perte des cheveux, perte d’appétit, perte de sensation dans le bout des doigts, etc.), et que je finirais probablement plusieurs fois aux urgences parce que la chimiothérapie fait baisser le taux des globules blancs, ce qui fait chuter l’immunité. C’était le scénario classique des effets secondaires qui sont pires que les symptômes ! J’ai rapidement décidé d’oublier la chimiothérapie.
Je me retrouvais donc tout seul. J’avais tourné le dos à la médecine conventionnelle. Comment allais-je donc me soigner avec la certitude que le cancer serait éradiqué ? C’est à ce moment-là que j’ai creusé la question. Pendant les quelques semaines suivantes, je n’ai vécu que pour ce qui tournait autour des traitements alternatifs du cancer. J’y ai découvert des trésors d’information. Les témoignages sans nombre de gens qui avaient guéri de cancers au dernier stade grâce à la nutrition et aux plantes et aux huiles naturelles. J’ai toujours eu le goût du risque au cours de ma vie et la pensée “d’avoir confiance en l’humain” me séduisait beaucoup. En outre, j’avais constaté durant cette recherche que le taux de cancer de ce pays avait grimpé à un niveau épidémique. Chaque jour sur les sites des médias sociaux, mon fil d’actualités était inondé de gens qui avaient ou bien un cancer ou qui connaissaient quelqu’un ayant le cancer. J’ai su à ce moment-là que je voulais que mon histoire serve à aider les gens. J’ai décidé de renoncer aux traitements traditionnels du cancer et de suivre des moyens de guérison naturels parce que, Dieu m’en préserve, si un de mes amis ou un membre de ma famille avait un cancer, je pourrais les aider par mon exemple. De plus je voulais montrer à mes enfants que je pouvais surmonter l’adversité en faisant les choses à mon idée.
Voici donc ce que j’ai fait : un régime alimentaire à base de cru.
Tous les matins je démarre avec un verre de kombucha (thé fermenté contenant des probiotiques naturels qui améliorent la digestion parce que toutes les maladies commencent dans le tube
digestif). Une heure plus tard, je me fais un jus avec des quantités de légumes et de fruits biologiques. J’en bois normalement entre ½ litre et 1 litre répartis sur la journée. Quel genre de fruits et de légumes pour les jus ? Beaucoup de légumes verts à feuilles comme le chou frisé et les épinards. Je fais aussi du jus de betteraves, de carottes, de céleri, de concombre, de persil et de blettes. Je me fais des mélanges différents tous les jours. Je bois aussi de l’eau alcaline toute la journée. Augmenter le pH est vital parce que les cancers prospèrent dans un environnement acide, donc en augmentant le pH intérieur, il devient difficile au cancer de vivre dans le corps. Consommer des légumes biologiques et des jus de fruit aide aussi beaucoup à élever le niveau du pH. Ensuite je prends des compléments sous forme d’aliments. Le curcuma et l’ail ont prouvé combattre le cancer. Je consomme aussi du moringa, qui est également fantastique et rempli de vitamines et de minéraux primordiaux.
Parlons maintenant des en-cas[aux US, les gens ne font pas de vrais repas comme chez nous, ils grignotent toute la journée, NdT]. (L’un de mes sujets favoris). Je mangeais habituellement du yaourt bio, mais j’ai réalisé que les laitages peuvent favoriser le cancer, je les ai donc supprimés. J’ai également réduit drastiquement ma quantité de viande. J’ai arrêté totalement la viande rouge et ne consomme que du poisson fraîchement pêché de l’Atlantique et du poulet. L’activité physique est aussi un élément crucial de la guérison. Après avoir récupéré de l’opération, j’ai commencé à faire de longues promenades. L’air frais et la vitamine D du soleil ne sont pas seulement bons pour l’âme, mais ils le sont sans doute aucun pour le corps. J’ai commencé aussi de la musculation dans mon club de gym local.
Depuis le diagnostic initial, j’ai fait faire de multiples tests sanguins qui montrent que je n’ai plus de cancer. Je n’aime pas employer le mot de “rémission” parce qu’il implique un retour possible. Je suis ici pour dire que le cancer PEUT être vaincu naturellement par une transformation complète sur les plans mental, physique et spirituel ! Vous devez vraiment changer votre mode de vie pour y arriver. Ce qui veut dire abandonner les aliments transformés et les OGM. En tant que société, nous choisissons souvent la facilité. Pour moi, la chimiothérapie était comme prendre le chemin de la facilité. J’ai réalisé que la chirurgie et la chimio ne guérissent pas réellement quoi que ce soit. On peut enlever une tumeur et la voir revenir. Ce qui importe est la cause primaire du problème : le régime alimentaire et la façon de vivre. Le seul traitement du cancer est de se consacrer tout au long de sa vie à une alimentation saine et à se sentir bien dans sa peau.
Ma vie a changé pour le meilleur à la suite de ce cancer. Ma famille a également beaucoup profité de mon changement de vie. Nous avons créé un grand jardin biologique pour cultiver nos légumes à jus. J’ai aussi le grand désir de contribuer à aider les gens. Je suis actuellement en train de mettre sur pied une structure à but non lucratif [The Green Health Project] qui fournira aux gens de vrais aliments biologiques soit parce qu’ils n’y ont pas accès, ou pas les moyens de s’en procurer.
Donc oui, je remercie Dieu pour mon cancer parce que ce fut la nécessaire prise de conscience cosmique dont j’avais désespérément besoin. J’ai transformé ma vie et aujourd’hui je suis en très grande forme et pour la première fois de ma vie, JE ME SENS EN BONNE SANTÉ !
Ma femme et moi avons fait de la santé et du bien-être une affaire de famille et notre première priorité. L’une des meilleures récompenses de mon épreuve est d’être témoin de la transformation chez nos enfants. Ils ne désirent ni ne réclament des aliments frelatés ! Ils adorent jardiner et vivent sainement et c’est peut-être le plus beau cadeau que je pourrais jamais leur faire.”
Tom et son fils Alex
L’histoire de Tom est à partager pour montrer qu’une guérison holistique des maladies actuelles, comme le cancer, est possible. Et les gens n’ont pas besoin d’attendre de recevoir le diagnostic paralysant, car le pouvoir de prévenir et même d’inverser ces maladies réside majoritairement dans le choix alimentaire et le mode de vie.
Pour que quelque chose se manifeste, il faut forcément une cause ou une origine. Les modalités holistiques et naturelles fonctionnent pour tous les aspects aussi bien corporels que mentaux et spirituels afin d’éclairer la raison sous-jacente qui a entraîné la maladie ; c’est là où pèche la médecine occidentale. Si on se sent suffisamment motivé pour agir aujourd’hui, on n’aura pas à s’inquiéter demain de ces maladies modernes handicapantes.
Traduction par Hélios
mardi 15 avril 2014
Rencontrer l'âme soeur
« Même après plusieurs échecs et déceptions, combien d’hommes et de femmes s’obstinent à croire que ce n’est pas leur compréhension de l’amour qui est défectueuse, mais seulement qu’ils n’ont pas encore rencontré la personne qu’il leur faut… l’être idéal… l’âme sœur. Comme si le bonheur dépendait d’une rencontre que l’on fait par miracle ou par hasard ! Et voilà que ce n’est pas ainsi que les chos...es se passent. Sachez donc que l’âme sœur ne se présente pas comme un homme ou une femme que vous allez subitement rencontrer et pour qui vous aurez le coup de foudre. La rencontre avec l’âme sœur est d’abord un processus psychique par lequel la partie supérieure de votre être attire sa partie complémentaire. Vous devez avoir longtemps travaillé sur vous-même pour être digne d’attirer votre moitié divine, mais lorsque vous avez enfin établi le lien, vous sentez qu’elle est là, car elle habite en vous.
Vous voulez vraiment rencontrer votre âme sœur? Ne partez pas à sa recherche, mais concentrez-vous sur la lumière : elle viendra d’elle-même, attirée par cette lueur qu’elle verra briller en vous. Vous ne savez pas où est votre âme sœur, mais elle, elle sait où vous êtes. Qu’il vous suffise de l’attendre intérieurement: elle viendra. »
Omraam Mikhaël Aïvanho
Vous voulez vraiment rencontrer votre âme sœur? Ne partez pas à sa recherche, mais concentrez-vous sur la lumière : elle viendra d’elle-même, attirée par cette lueur qu’elle verra briller en vous. Vous ne savez pas où est votre âme sœur, mais elle, elle sait où vous êtes. Qu’il vous suffise de l’attendre intérieurement: elle viendra. »
Omraam Mikhaël Aïvanho
lundi 14 avril 2014
La transformation est inévitable
Une conscience différente est en train de se mettre en action dans l’humanité. Un nouveau paradigme axé sur le partage des richesses, sur la responsabilité de chacun, sur des choix de vie plus sains et réfléchis, sur une éthique plus fraternelle est en accouchement et le bébé se présente bien, même si les douleurs du passage sont encore très perceptibles et font souffrir de nombreuses personnes.
Tous les humains vont devoir renaitre à leur vraie nature, libérer l’ancien monde pour entrer dans la liberté d’être.
La période ‘chenille’ de l’humanité, qui mange énormément et fait souvent des ravages sur son passage est déjà terminée pour un certain nombre. D’autres sont en plein dedans et détruisent encore beaucoup pour survivre.
Mais la transformation est inévitable car elle fait partie du cycle naturel de tout ce qui est : se transformer pour manifester le meilleur.
Une partie de l’humanité est dans le cocon de la transformation. Chaque humain doit mourir à ce qui est connu, souffrir, libérer, se transformer dans le noir sans savoir encore à quoi cela va mener, mais dans la simple foi d’un avenir meilleur.
Et un jour, il est prêt. Sa nature profonde de papillon s’est manifesté.
Il ne lui reste qu’à sortir de son cocon, du noir et de la sécurité d’un petit espace connu pour, après des minutes ou des heures de souffrance qui vont le renforcer, pouvoir voler de ses propres ailes et voir le monde différemment.
Ses organes sont différents, sa façon de penser est différente, sa façon de s’alimenter est plus subtile et il demande maintenant le nectar, la douceur, le meilleur.
Il peut vivre libre, aller où bon lui semble et ses limites sont simplement celles qu’il se donne.
Si la vie d’un papillon est limitée, celle de l’humain libre peut durer des années…
Certains humains se pensant déjà papillons, impatients, se désespèrent de voir les autres trainer dans leur avancement.
Ils aimeraient voir disparaitre toutes les chenilles si viles et destructrices en oubliant que c’est grâce à ce passé qu’ils peuvent être ce qu’ils rêvent d’être et passent leur temps à les critiquer, vouloir les détruire ou se détruire, ne les comprennent pas, alors qu’il leur suffit de se transformer réellement de l’intérieur pour que tout change à l’extérieur.
La fleur qui nourrit le papillon ne peut pas dénigrer le chou qui nourrit la chenille. Chacun est important.
Tout a sa raison d’être. Tout est une question de transformation et de temps.
Aujourd’hui, il y a des grosses entreprises qui sont les choux gras pour des milliers d’humains chenilles et, qui se réjouissent de cet appétit insatiable dans tous les domaines de leur vie. Cela est un temps d’abondance et de gâchis, de dégâts mais aussi de plaisirs immédiats et de contentements en rapport avec la vibration. Il est obligatoire.
La nature le sait et donne en abondance pour nourrir toutes les chenilles du monde mais certaines sont plus voraces que d’autres et ne laissent pas grand chose aux autres.
C’est un temps où le triangle est roi. En haut un petit nombre de ceux qui font pousser les choux en brevetant sa nature et en empêchant aux hommes de pouvoir en faire pousser eux-mêmes, surveillent et raflent tout, et en bas ceux qui sont obligés de les arroser pour pouvoir en manger un peu. Ils veillent bien à ce que la répartition soit limitée. Temps du maitre et de l’esclave, du bourreau et de la victime, et du sauveur extérieur…
Le temps passé dans la chrysalide est celui où l’humain observe, regarde ce qui ne lui convient plus, libère ses habitudes et fait de nouveaux choix
plus conscientisés dans le respect de tout ce qui est. C’est un temps de souffrance, de libération du passé ou il doit se libérer de tous les anciens programmes qui l’attache encore à sa première nature. Un temps de métamorphose profonde où il doit tout abandonner pour sublimer sa vraie nature.
Ce temps pour une partie de l’humanité, est celui d’avoir des nouveaux schémas d’actions, de coopérations, d’arrêter de se regarder le nombril tout en critiquant ce qui ne va pas autour et de prendre de nouvelles mesures radicalement opposées. C’est ainsi que naissent des nouveaux concepts d’intérêt général, des entreprises solidaires et des coopératives participatives, des sites Internet de partage de savoirs, des éco-villages et même des villes avec des schémas différents comme Auroville. C’est le temps où les ventes doivent se faire différemment avec des partages plus équilibrés entre les acteurs et les producteurs, plus le temps de la pyramide mais d’un arbre commun choisi qui pousse avec des multiples branches et où tous sont solidaires et profitent les uns des autres.
Un temps où les transports vont être plus propres et plus imaginatifs. L’énergie sera utilisée différemment avec des productions plus propres et conscientisées. Un temps où les religions vont aussi évoluer de même que la manière de gouverner.
Qui ou quel système est encore chenille, est déjà chrysalide ou est papillon ?…
Amusons-nous à observer et à transformer ce qui ne nous convient plus.
Nous devons devenir acteurs de ce nouveau monde, par tous les choix que nous faisons.
La transformation est inévitable. C’est seulement une question de temps.
Lorsque l’humanité sera papillon, alors tous les choux pourront fleurir.
Que le meilleur soit !
Joéliah
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