mercredi 4 juin 2014

Le gluten : intolérance alimentaire....

Le gluten est une protéine présente dans le seigle, l'avoine, le blé, l'orge, le kamut et l'épeautre. Il existe un moyen mémo-technique pour s’en souvenir : cela fait S-A-B-O-K-E. C'est une protéine qui permet à la pâte de filer et de monter. Sans gluten, une farine n'est pas panifiable. C'est le cas des farines de maïs, de sarrasin, de riz ou encore de châtaigne, que l'on combine souvent avec les farines de blé pour faire ces pains spécifiques.
   


     
Quels sont les différents types d’intolérance au gluten ?
Tout d’abord, certaines personnes ont une forte allergie au gluten que l'on appelle maladie coeliaque. Au contact du gluten, leur intestin-grêle « s’autodétruit ». Ils doivent adopter un régime strict sans gluten.
Par ailleurs, depuis quelques années, beaucoup ont attribué au gluten l'origine de leurs maux. Comme dit le dicton « il n'y a pas de fumée sans feu », et cette montée en puissance d'allergies au gluten, plus ou moins fondée, est d’origine multifactorielle.
Est-ce que le mot « gluten » ne nous ferait pas penser à un autre mot ? ...Peut-être, voir certainement le mot « glu » ... Non ?
Sachant que le rôle de l’intestin grêle est d’absorber les nutriments nécessaires à notre organisme, disons-nous bien que lorsque les parois de l’intestin sont enduites de colle, il va sans dire que sa fonctionnalité est incomplète. Ensuite il va bien falloir que l’organisme se débarrasse de cette inutile substance : des surcroits d’efforts sont alors fournis, or le rôle de la nourriture en plus d’être un plaisir est avant tout celui de soutenir le corps par ce qu’elle lui apporte de nutritif et de vitalité.
Concernant le blé, ce sont surtout les sélections effectuées par l’homme au fil du temps qui l’on chargé d’autant de gluten.
Et comme si déjà ceci ne suffisait pas, vicieusement l’industrie agroalimentaire en met partout, même là où il ne devrait sensément point y en avoir.
Faire des galettes de sarrasin peut être un moyen de garder une céréale (ou pseudo-céréale) dans son alimentation sans risque d’ingurgiter quel que gluten que ce soit.
Il y a d’autres pistes, mais c’est à chacun chacune de les explorer en fonction des allergies ou encore en fonction des intolérances alimentaires dont il ou elle ferait l’objet.
(Notons que les intolérances alimentaires n’ont rien à voir avec les allergies. Seuls quelques laboratoires d’analyses les pratiques, en particulier un à Metz qui est vraiment sérieux. Aussi, notons que les intolérances alimentaires impliquent uniquement le retrait durant environ seulement 5 mois des aliments incriminés soit juste le temps que les parois du cerveau entérique se réhabilitent.)
(Les intolérances alimentaires font que les parois de l’intestin grêle ne jouent plus l’un des rôles qui leur incombe à savoir être la barrière intestinale qui ne laissera pas tout passer dans le sang et dans le corps. Or si l’intestin grêle devient une passoire alors il ne faudra pas s’étonner soit de prendre du poids soit de laisser entrer dans l’organisme des métaux lourds (Parkinson ? Alzheimer ? ....)