Une vie... comme la vôtre probablement... avec ses hauts et ses bas, une sorte de yin/yang du plan humain :
Ne me sentant pas exister dans mon enfance, ne me sentant pas aimée, reconnue, écoutée, rassurée, encouragée, et comprise toute ma vie j’ai essayé d’aimer, d’écouter, de rassurer, d’encourager, de reconnaître, de comprendre les autres (les miroirs de moi-même) pour combler mes manques. . J’ai créé des Scenari qui m’ont permis d’exister comme une actrice qui joue l’expérience humaine, emprunte de liberté dont j’avais été privée dans ma jeunesse.
J’ai évité de vivre mes émotions (colère, tristesse,...) car je voulais être parfaite pour tenter d’être aimée.
Du coup à vouloir être un ange pour les autres je suis devenue un démon pour moi. Au lieu d’être libre je me suis emprisonnée et avec le temps est venu un trop plein d’émotions qui m’a poussée à m’isoler à me retirer d’un monde qui ne me convenait pas, pour échapper à ma souffrance. Avant d'en prendre conscience, j’ai oublié de vivre car, et sans m’en rendre compte, j’étais en mode survie. La peur d’exprimer mon identité humaine, m’a voilé l’amour de ce que je suis vraiment au plus profond de mon être.
Je me suis battue pour avoir le sentiment d’exister. J'ai résisté à ce qui est et j'avais oublié de vibrer de l’intérieur, de ressentir mon corps qui me sonnait l’alarme. J’ai évité les larmes de mon enfance et du coup j’ai renforcé mon hypersensibilité.
Dualité de notre monde humain.
Deux facettes de la même pièce. Pile : voir le bon, le beau et le vrai. Face : voir le mauvais, le laid et le faux.
A vouloir ne voir que ma lumière il fallait voir mes ombres et les éclairer.
Je devais me jeter à l’eau et plonger à l’intérieur de moi-même. Ecouter ce véhicule terrestre qu’est mon corps, qui, de nombreuses fois m’avait alertée que quelque chose clochait, cette sonnette d’alarme ! Je n’étais pas en phase. J’étais branchée mais le courant ne passait pas. Energie relative mais pas continue. Une ampoule qui clignotait. Et mon cerveau prenait feu avec des pensées du passé qui tournaient en boucle, des pensées limitantes... disent les experts du développement personnel. Dans ma tête : des « pourquoi ? La victime continuait de me martyrisait. « Et dans mon corps des « comment ? » mon souhait pour vivre le bien-être, l’amour, la paix et le joie. et je décidais le dépouillement personnel...
Oui car dans le monde des bisounours qui me préservait des difficultés de ce monde de matière, je ne voulais voir dans les beautés de la vie terrestre, que la nature et les animaux. L'humain, je le trouvais violent et noir.. Alors je me suis mise, encore une fois à observer les autres et j’en ai conclu qu’ils vivaient dans l’illusion, qu’ils semblaient heureux et qu’en vérité ils ne l’étaient pas. Inconscients et ignorants, ils vivaient dans ce rêve, comblaient leur mal être et leur solitude, par des addictions à tout ce que la société proposait. Ça leur donner l’impression de vivre et d’exister. Les personnages étaient vivants mais pas en vie et tout comme moi, en mode survie. Car la vie ne se charge pas de nos scenari. ...de nos bien être ou de nos mal être. Mon regard restait tourné sur les autres et je vivais dans le palais des glaces. Je voyais que nos créations mentales forment un égrégore illusoire qui ne mettra jamais en cause la Vie et la nature de ce que nous sommes intrinsèquement. Je voyais l’entité illusoire horizontale et la Vie, verticale. La dualité est le monde humain et l’unité est divin. De notre point de vue humain tout est linéaire, défini, limité, une dimension. Du point de vue de notre Etre, tout est infini, illimité, multidimensionnel. Et tout çà c'est la même médaille, rien n'est séparé, ni de moi, ni de nous, ni du ciel, ni de la terre...
En attendant, je pris conscience que nous sommes sur cette belle planète bleue qu’est la terre et nous vivons cette expérience en ayant fait des choix inconscients (conditionnés par des croyances qui ne sont pas souvent les nôtres) et pour ce qui me concerne, de plus en plus conscients, en étant de plus en plus moi-même, à chaque instant...
Il est important de ramener la conscience à ce qui est et non pas à ce qui devrait être. Le voile de l’oubli doit être ôté pour laisser passer la lumière pour que progressivement l’ombre s’efface. ETRE, VIVRE et ACCEPTER CE QUI EST... et la VIE continue comme elle n'a jamais cessé d'être, avec ou sans nous..
La suite à bientôt....
Ne me sentant pas exister dans mon enfance, ne me sentant pas aimée, reconnue, écoutée, rassurée, encouragée, et comprise toute ma vie j’ai essayé d’aimer, d’écouter, de rassurer, d’encourager, de reconnaître, de comprendre les autres (les miroirs de moi-même) pour combler mes manques. . J’ai créé des Scenari qui m’ont permis d’exister comme une actrice qui joue l’expérience humaine, emprunte de liberté dont j’avais été privée dans ma jeunesse.
J’ai évité de vivre mes émotions (colère, tristesse,...) car je voulais être parfaite pour tenter d’être aimée.
Du coup à vouloir être un ange pour les autres je suis devenue un démon pour moi. Au lieu d’être libre je me suis emprisonnée et avec le temps est venu un trop plein d’émotions qui m’a poussée à m’isoler à me retirer d’un monde qui ne me convenait pas, pour échapper à ma souffrance. Avant d'en prendre conscience, j’ai oublié de vivre car, et sans m’en rendre compte, j’étais en mode survie. La peur d’exprimer mon identité humaine, m’a voilé l’amour de ce que je suis vraiment au plus profond de mon être.
Je me suis battue pour avoir le sentiment d’exister. J'ai résisté à ce qui est et j'avais oublié de vibrer de l’intérieur, de ressentir mon corps qui me sonnait l’alarme. J’ai évité les larmes de mon enfance et du coup j’ai renforcé mon hypersensibilité.
Dualité de notre monde humain.
Deux facettes de la même pièce. Pile : voir le bon, le beau et le vrai. Face : voir le mauvais, le laid et le faux.
A vouloir ne voir que ma lumière il fallait voir mes ombres et les éclairer.
Je devais me jeter à l’eau et plonger à l’intérieur de moi-même. Ecouter ce véhicule terrestre qu’est mon corps, qui, de nombreuses fois m’avait alertée que quelque chose clochait, cette sonnette d’alarme ! Je n’étais pas en phase. J’étais branchée mais le courant ne passait pas. Energie relative mais pas continue. Une ampoule qui clignotait. Et mon cerveau prenait feu avec des pensées du passé qui tournaient en boucle, des pensées limitantes... disent les experts du développement personnel. Dans ma tête : des « pourquoi ? La victime continuait de me martyrisait. « Et dans mon corps des « comment ? » mon souhait pour vivre le bien-être, l’amour, la paix et le joie. et je décidais le dépouillement personnel...
Oui car dans le monde des bisounours qui me préservait des difficultés de ce monde de matière, je ne voulais voir dans les beautés de la vie terrestre, que la nature et les animaux. L'humain, je le trouvais violent et noir.. Alors je me suis mise, encore une fois à observer les autres et j’en ai conclu qu’ils vivaient dans l’illusion, qu’ils semblaient heureux et qu’en vérité ils ne l’étaient pas. Inconscients et ignorants, ils vivaient dans ce rêve, comblaient leur mal être et leur solitude, par des addictions à tout ce que la société proposait. Ça leur donner l’impression de vivre et d’exister. Les personnages étaient vivants mais pas en vie et tout comme moi, en mode survie. Car la vie ne se charge pas de nos scenari. ...de nos bien être ou de nos mal être. Mon regard restait tourné sur les autres et je vivais dans le palais des glaces. Je voyais que nos créations mentales forment un égrégore illusoire qui ne mettra jamais en cause la Vie et la nature de ce que nous sommes intrinsèquement. Je voyais l’entité illusoire horizontale et la Vie, verticale. La dualité est le monde humain et l’unité est divin. De notre point de vue humain tout est linéaire, défini, limité, une dimension. Du point de vue de notre Etre, tout est infini, illimité, multidimensionnel. Et tout çà c'est la même médaille, rien n'est séparé, ni de moi, ni de nous, ni du ciel, ni de la terre...
En attendant, je pris conscience que nous sommes sur cette belle planète bleue qu’est la terre et nous vivons cette expérience en ayant fait des choix inconscients (conditionnés par des croyances qui ne sont pas souvent les nôtres) et pour ce qui me concerne, de plus en plus conscients, en étant de plus en plus moi-même, à chaque instant...
Il est important de ramener la conscience à ce qui est et non pas à ce qui devrait être. Le voile de l’oubli doit être ôté pour laisser passer la lumière pour que progressivement l’ombre s’efface. ETRE, VIVRE et ACCEPTER CE QUI EST... et la VIE continue comme elle n'a jamais cessé d'être, avec ou sans nous..
La suite à bientôt....