Le Café de l'harmonie est un espace de liberté et de détente, où vous pouvez vous exprimer librement avec respect. C'est un instant de vie où l'âme agit. Spiritualité - Amour - Paix - Partage. C'est la relation de coeur à coeur...
dimanche 29 décembre 2019
On récolte ce que l’on vibre...
ON RECOLTE CE QUE L'ON VIBRE
"Le bien, le mal ...
J'ai beaucoup réfléchi sur le sujet, pourquoi des personnes bonnes et généreuses se ramassent autant des tuiles, et des personnes mauvaises ou sans morale, la victoire leur réussit ...
Parce que l'Univers répond à la vibration, pas aux valeurs, c'est du moins ma compréhension à ce jour.
Après les valeurs, c'est une histoire de conscience de soi à soi.
Si tu ne crois pas en toi, tu as beau être une magnifique personne, ayant des valeurs belles et altruistes, tu ne recevras pas pour autant réussite et chance de l'Univers. Si dans tes croyances tu estimes ne pas mériter, avoir droit, te donner le droit de recevoir, l'Univers ne fera que répondre à tes croyances et pensées limitantes.
Quand on dit qu'on récolte ce que l'on sème, je pense qu'on récolte surtout ce que l'on vibre.
Pourquoi l'élite au-dessus de toute morale, pillant et escroquant l'humanité, reçois toujours plus en encore plus ?
Pourquoi ces personnes pieuses, vivent des vies si difficiles, de carence et pénurie ?
Où est le juste retour reçu ?
Parce que l'Univers ne juge pas, c'est nous qui jugeons mais pas l'Univers.
L'Univers est énergie, vibration. Ce que tu vibres, tu te l'attires et c'est là que revient notre responsabilité de ce que nous vivons et nous attirons. Si tu vibres confiance et victoire, peu importe tes valeurs, tu recevras encore plus parce que tu y crois, tu as foi en toi et cette même foi, l'Univers s'y alignera.
Si tu vois le monde comme injuste, vibrant injustice et impuissance, l'Univers s'y alignera aussi, parce que il ne répond pas aux valeurs mais aux vibrations. Il ne juge pas ce qui est bon ou mal, il te donne et amplifie encore plus ce que tu vibres, penses et crois.
Les valeurs, c'est une question de conscience, de soi à soi.
D'amour et de paix en soi, créant et préservant une bonne santé, car l'amour est aussi énergie et la plus puissante de l'Univers.
Une conscience tranquille permet de vivre sereinement, donc de favoriser une bonne santé, ce qui est le plus important, car il n'y a rien de plus précieux que d'avoir une bonne santé.
Les valeurs permettent de s'élever spirituellement, mais ce ne sont pas elles qui créent, mais la vibration et le ressenti.
Le conscient permet de se diriger dans la vie, de donner une ligne de conduite, mais le vrai moteur et le véritable maître sont l'inconscient.
L'Univers ne juge pas, ne pense pas, ne réfléchit pas, ne calcule pas.
L'Univers ne répond pas à tes valeurs, l'Univers répond à tes vibrations."
"Le bien, le mal ...
J'ai beaucoup réfléchi sur le sujet, pourquoi des personnes bonnes et généreuses se ramassent autant des tuiles, et des personnes mauvaises ou sans morale, la victoire leur réussit ...
Parce que l'Univers répond à la vibration, pas aux valeurs, c'est du moins ma compréhension à ce jour.
Après les valeurs, c'est une histoire de conscience de soi à soi.
Si tu ne crois pas en toi, tu as beau être une magnifique personne, ayant des valeurs belles et altruistes, tu ne recevras pas pour autant réussite et chance de l'Univers. Si dans tes croyances tu estimes ne pas mériter, avoir droit, te donner le droit de recevoir, l'Univers ne fera que répondre à tes croyances et pensées limitantes.
Quand on dit qu'on récolte ce que l'on sème, je pense qu'on récolte surtout ce que l'on vibre.
Pourquoi l'élite au-dessus de toute morale, pillant et escroquant l'humanité, reçois toujours plus en encore plus ?
Pourquoi ces personnes pieuses, vivent des vies si difficiles, de carence et pénurie ?
Où est le juste retour reçu ?
Parce que l'Univers ne juge pas, c'est nous qui jugeons mais pas l'Univers.
L'Univers est énergie, vibration. Ce que tu vibres, tu te l'attires et c'est là que revient notre responsabilité de ce que nous vivons et nous attirons. Si tu vibres confiance et victoire, peu importe tes valeurs, tu recevras encore plus parce que tu y crois, tu as foi en toi et cette même foi, l'Univers s'y alignera.
Si tu vois le monde comme injuste, vibrant injustice et impuissance, l'Univers s'y alignera aussi, parce que il ne répond pas aux valeurs mais aux vibrations. Il ne juge pas ce qui est bon ou mal, il te donne et amplifie encore plus ce que tu vibres, penses et crois.
Les valeurs, c'est une question de conscience, de soi à soi.
D'amour et de paix en soi, créant et préservant une bonne santé, car l'amour est aussi énergie et la plus puissante de l'Univers.
Une conscience tranquille permet de vivre sereinement, donc de favoriser une bonne santé, ce qui est le plus important, car il n'y a rien de plus précieux que d'avoir une bonne santé.
Les valeurs permettent de s'élever spirituellement, mais ce ne sont pas elles qui créent, mais la vibration et le ressenti.
Le conscient permet de se diriger dans la vie, de donner une ligne de conduite, mais le vrai moteur et le véritable maître sont l'inconscient.
L'Univers ne juge pas, ne pense pas, ne réfléchit pas, ne calcule pas.
L'Univers ne répond pas à tes valeurs, l'Univers répond à tes vibrations."
jeudi 26 septembre 2019
Mémoire d’incarnation
MÉMOIRE D'INCARNATION ...
Es-tu certaine de vouloir t’incarner sur Terre ?
- Tout à fait. Ma décision est prise !
- Es-tu consciente des défis que tu devras relever ?
- Je ne connais pas cette planète, donc je ne sais pas vraiment à quoi m'attendre, ni ce que signifient vraiment les concepts de "peur", "douleur", "solitude" ou "tristesse".
Peut-être que ce qui m'inquiète le plus, c'est celui de la "mort"... Parce que je ne comprends pas l'idée de cesser d'exister pour toujours. C'est impossible, mais les humains croient que c'est comme ça. Quoi qu'il en soit, je veux "descendre" et expérimenter tout ça, apporter ma lumière et contribuer avec mon Être au changement de Conscience.
- Quand tu seras là-bas, limitée par ton corps physique et que tu te demanderas ce que tu fais dans cet endroit ... Tu comprendras ...
Tu ne peux pas imaginer ce que signifie expérimenter cet état de conscience, de densité limitée.
- Je suis prête à relever le défi ...
- Alors, si c'est ta volonté, je ne peux que te souhaiter un heureux voyage dans ce monde en trois dimensions, et te rappeler que nous serons avec toi, depuis notre dimension, en t’observant et en te guidant ...
Si tu parviens à ouvrir grand ton cœur, une tâche qui n'a rien de simple, tu seras en mesure d’écouter, de voir et de comprendre nos signes.
- Et quelle est la meilleure façon d'ouvrir son cœur ?
- Fais attention à lui. Écoute sa voix intérieure. Laisse-toi aller et laisse partir la résistance et la croyance que les choses sur terre ne sont pas comme tu le souhaites ... Accepte ...
Ce n'est que de cette façon que tu peux réellement rencontrer les autres et honorer leur apprentissage. La paix et l'amour qui apparaîtront en toi grâce à cette acceptation te mettront automatiquement en "contact" avec nous.
- OK, je vais garder ça à l'esprit !
- Non, mon amie ... Tu vas oublier ... C’est la règle ...
Tu dois t’en souvenir dans la mesure où ton corps physique, déjà contaminé par des procès, des penchants et des croyances négatives, grandit et devient adulte.
La lumière de ton âme doit apparaître à travers les ténèbres de la peur, de la méfiance et de l'incompréhension.
FAIS CONFIANCE ...
Nous sommes sûrs que tu seras en mesure de l'atteindre.
- Qu'est-ce que c'est ?
- C'est le ventre de ta mère présente. Et ce petit embryon avec des membres que tu peux voir à l'intérieur est le corps physique dans lequel tu vas t’incarner.
Bon voyage, Âme Stellaire ! 🌟
Es-tu certaine de vouloir t’incarner sur Terre ?
- Tout à fait. Ma décision est prise !
- Es-tu consciente des défis que tu devras relever ?
- Je ne connais pas cette planète, donc je ne sais pas vraiment à quoi m'attendre, ni ce que signifient vraiment les concepts de "peur", "douleur", "solitude" ou "tristesse".
Peut-être que ce qui m'inquiète le plus, c'est celui de la "mort"... Parce que je ne comprends pas l'idée de cesser d'exister pour toujours. C'est impossible, mais les humains croient que c'est comme ça. Quoi qu'il en soit, je veux "descendre" et expérimenter tout ça, apporter ma lumière et contribuer avec mon Être au changement de Conscience.
- Quand tu seras là-bas, limitée par ton corps physique et que tu te demanderas ce que tu fais dans cet endroit ... Tu comprendras ...
Tu ne peux pas imaginer ce que signifie expérimenter cet état de conscience, de densité limitée.
- Je suis prête à relever le défi ...
- Alors, si c'est ta volonté, je ne peux que te souhaiter un heureux voyage dans ce monde en trois dimensions, et te rappeler que nous serons avec toi, depuis notre dimension, en t’observant et en te guidant ...
Si tu parviens à ouvrir grand ton cœur, une tâche qui n'a rien de simple, tu seras en mesure d’écouter, de voir et de comprendre nos signes.
- Et quelle est la meilleure façon d'ouvrir son cœur ?
- Fais attention à lui. Écoute sa voix intérieure. Laisse-toi aller et laisse partir la résistance et la croyance que les choses sur terre ne sont pas comme tu le souhaites ... Accepte ...
Ce n'est que de cette façon que tu peux réellement rencontrer les autres et honorer leur apprentissage. La paix et l'amour qui apparaîtront en toi grâce à cette acceptation te mettront automatiquement en "contact" avec nous.
- OK, je vais garder ça à l'esprit !
- Non, mon amie ... Tu vas oublier ... C’est la règle ...
Tu dois t’en souvenir dans la mesure où ton corps physique, déjà contaminé par des procès, des penchants et des croyances négatives, grandit et devient adulte.
La lumière de ton âme doit apparaître à travers les ténèbres de la peur, de la méfiance et de l'incompréhension.
FAIS CONFIANCE ...
Nous sommes sûrs que tu seras en mesure de l'atteindre.
- Qu'est-ce que c'est ?
- C'est le ventre de ta mère présente. Et ce petit embryon avec des membres que tu peux voir à l'intérieur est le corps physique dans lequel tu vas t’incarner.
Bon voyage, Âme Stellaire ! 🌟
lundi 23 septembre 2019
Le jour où j'ai lâché prise....
Le jour où j'ai lâché prise de ce monde, de cet univers, de toute création et de toute dimension.
Ce
jour- là, je suis né à nouveau, complètement libre, vivant la paix, la
joie et un amour incommensurable. J'ai arrêté d'être une personne,
d'être à l'image de ceux et celles qui ont des attentes, en projetant
leurs propres perceptions. J'ai arrêté de vouloir être le meilleur,
d'être aimé pour ce que j'apporte. J'ai arrêté de me projeter dans les
blessures des autres pour essayer d'apporter un soulagement quelconque,
en fait j'ai tout arrêté, je laisse tout à l'intelligence de la lumière.
Depuis, que j'ai arrêté, je vis l'instant présent sans regarder en
arrière et sans projeter mon regard à demain, je laisse l'intelligence
de la lumière mettre sur mon chemin, tous les cadeaux de la vie,
qu'importe ce qui se présente, je me laisse traverser, car en fait, je
suis que l'observateur de mon propre rêve en aimant tout d'un même amour
pour la simple raison que tout est illusion, même la forme dans
laquelle je vis l'expérience dans le rêve. Il n'y a pas de plus grandes
libertés de ne plus être personne, de ne plus alimenter aucune histoire,
juste révéler et dévoiler par cette forme illusoire que tout est
lumière et amour. Est-ce que je me pose la question que se passera-t-il
de ce monde, de cet univers, de toutes ces créations et dimensions,
ainsi de toute cette diversité de la vie ? Non, car je sais que je suis
aussi toute cette diversité, toutes ces créations et dimensions, que
tout ça n'est que le rêve dans laquelle j'en suis le créateur. Il y a de
quoi à rire, quand tu réalises que tout est illusion, ce que tu croyais
être réel, n'est que toi dans cet enfermement, quelle que soit la forme
de vie, peu importe sa provenance, le temps où l'espace, tout est la
même présence vivant le rêve éphémère et prisonnier de celui-ci.
Quand
l'être réalise qu'il est à la fois le rêve éphémère, tout ce qui est et
en même temps réalise qu'il n'est rien de tout cela, qu'une projection,
création illusoire, qu'en fait, on n'a jamais quitté la source
originelle, qui est antérieure au rêve, à toute création, dimension. Il
ne peut plus avoir de dualité et de séparation. Quand j'ai réalisé que
tout est un rêve, à un moment donné, je me disais, cela ne peut pas être
réel, cela devenait complètement absurde, de vivre tant de scénarios,
tant d'incompréhension et à un moment, je ne pouvais pas faire autrement
qu'en rire, c'était pousser le bouchon plus loin qu'il le fallait.
Quelle délivrance, soulagement, détachement de vivre cette dissolution
du rêve éphémère, du personnage, de ne plus être personne, de ne plus
avoir peur, de ne plus être dans aucune croyance, n'avoir aucun regard
qui apporte du jugement, ne plus être dans aucun concept, enfermement.
L'amour n'a point besoin de rien, de quoi ou de qui que ce soit, sans
aucune attente à ce qui se présente en tant que rêve éphémère, consumant
tout par amour dénué de tout jugement. En fait, on réalise que tout est
amour et lumière. La conscience, le mental, l'âme, l'esprit sont toutes
des conceptions, des masques du rêve éphémère, à rester identifié pour
vivre l illusion de dualité et de séparation, le rêve est synonyme
d'enfermement, tout est illusion. Qu'importe comment le rêve apporte
comme illusion, rien n'est réel, comment cela est vécu dans l'éphémère,
pour celui qui en est sortie, il perçoit que la lumière et amour. Et
vous, toujours ou pas sous l'emprise du rêve éphémère, rappelez-vous que
rien n'est réel à part que nous sommes antérieurs, en notre essence
éternelle, la lumière de l'amour.
mardi 13 août 2019
Lettre aux hommes et aux femmes de ma vie
Lettre aux femmes de ma vie ...
Lettre aux hommes de ma vie ...
Ces lettres s’adressent à toutes et tous qui se verront dans un schéma plus ou moins similaire. Car chacune et chacun est un personnage unique et différent vivant l’expérience terrestre. Et toutes et tous, un seul coeur au plan divin, celui de la conscience universelle.
Puisque je n’ai jamais su l’exprimer, mon corps lui, a imprimé les rejets, les abandons et les humiliations.
Aujourd’hui je lâche en conscience le statut de victime, avec l’intention de me guérir des chocs émotionnels du passé et revêtir l’habit de lumière. Devenir gaie et rire.
En place des maux, j’écris ces mots pour, enfin, ressentir l’amour. Je me pardonne de m’être crue séparée de mon Être, et je remercie ma famille d’avoir jouer les rôles nécessaires dans ce théâtre illusoire. D’avoir été mes modèles, d’incarnation de ma part féminine et masculine.
D’avoir exprimé les éléments positifs et négatifs qui ont marqué émotionnellement mon enfance
D’avoir conditionné mon inconscient qui a dirigé ma vie à 90%
Cela m’a mise en situation de survivre, plutôt que vivre.
Bien que je sois consciente aujourd’hui que je suis responsable de tout, que c’est ma création pour ce que j’avais à vivre pour être pleinement heureuse. Même avec les peurs et les émotions récurrentes de l’enfant blessée, je me suis construite à aider les autres, à m’oublier comme priorité et à donner de l’amour, de l’attention, de l’écoute et de la bienveillance. J’ai refoulé et stocké mes colères, en parole et en acte, pour être aimée de vous. Et tout le contraire s’est produit au fil des années. Comment donner de l’amour quand on ne s’en donne pas soi-même. Ai-je vraiment aimé ou ai-attendu que les autres m’aiment ? Vous m’avez crue heureuse, indépendante et libre ? Illusion ! jugement de votre part, vous qui ne savez même pas ce que j’ai vécu. Je vous l’ai caché, pensant vous préserver. Illusion ! Inconsciemment, je me suis préservée pour vous offrir le plus beau des cadeaux : de vous rendre libre vous aussi. Illusion !
A l’enfant que j’étais, on répétait sans cesse : « tais-toi « et j’aurais dû comprendre ce message subliminal : « t’es toi » autrement dit : « tu es toi »
Vous n’avez parlé que de vous, vous avez crié à corps perdus vos émotions que j’ai perçues et ressenti comme une culpabilité. Oh que j’ai pleuré de ces cascades de cris et de douleurs. Alors que vous ne vous jetiez au visage, que vos propres blessures de l’enfance. Et jamais de douceur, de paix, d’amour. Je ne trouvais pas ma place..
Par peur, je n’ai jamais osé exprimer mon désespoir et mes souffrances. Je n’ai jamais pris l’espace pour vous parler de mes désirs, de mes besoins, de mes espoirs ... de mon idéal de vie...
En conséquence, le même schéma s’est reproduit en boucle, dans mon monde : de l’adolescence interdite à l’adulte assumée qui conduit à vue, sans permis, car non enseignée, ... jusqu’à aujourd’hui.
J’ai traversé le pont de l’ombre à la lumière, du sombre à la clarté, et je suis lucide intérieurement. L’apprentissage de la solitude, parfois choisie souvent subie, s’est transformé en apprentie-sage, isolée d’un genre humain encore inconscient, car voilé par l’ombre de la peur, et appelé à révéler la lumière éclatante de l’Amour.
Deux facettes de la dualité du plan terrestre de l’expérience humaine.
lundi 12 août 2019
vendredi 5 juillet 2019
Je m’aime...
AVANT DE T’AIMER, JE M’AIME ...
Laisse-moi te dire qu’avant de me donner à toi, j’ai besoin de me donner à moi-même ...
De connaître tous mes recoins, et de pénétrer dans les zones, les plus silencieuses de mon âme ...
Je veux connaître chacun de mes secrets, savoir ce qui me fait du bien, et ce qui me fait du mal, et creuser les raisons de ces sentiments ...
Je suis de celles qui pensent qu’avant un "je t’aime", Il faut savoir se dire "je m’aime", pour être juste avec l’autre ...
J’ai besoin de savoir quelles sont mes blessures, et quel est le point d’achoppement qui les fait saigner à nouveau.
Connaître mes forces et savoir ce qui me définit, savoir quelle est mon empreinte, mon point fort pour ensuite, quand la situation le demande, t’offrir un sourire.
Je préfère m’aimer avant tout, pour ainsi pouvoir t’aimer bien et sainement.
Et si tu doutes encore, ne t’inquiète pas, une fois que tu auras terminé cette lettre, tu sauras ce que je veux dire.
Lorsque je ne savais pas m’aimer, j'ai commencé à me rendre compte de l’importance de s’aimer, lorsque j’ai oublié de le faire au moment le pire où je me trouvais, et que je me consacrais à mendier de l’amour à d’autres pour bien me sentir.
Mon faux bien-être, dépendait de l’approbation des autres et de leur moral.
S’ils/elles décidaient de me valoriser, et qu’ils/elles m’offraient un compliment, je pensais être heureux(se).
À l’inverse, quand ils/elles me critiquaient, et qu’ils/elles me dévalorisaient, je me considérais comme nul(le).
Sans le savoir j’offrais, les clés de mon bien-être à toutes et tous, en m’oubliant.
Je suis arrivé(e) si loin que j’ai fini par devenir, ce que les autres voulaient pour moi, et donc un(e) inconnu(e) complet(ète), pour moi-même.
Je ne savais même pas ce que j’aimais, où je voulais aller, et quels étaient mes rêves, car les autres le décidaient pour moi.
Je me refusais à moi-même l’opportunité de me connaître.
Je ne savais même pas que c’était possible.
Et un beau jour, j’ai explosé !
Seul(e), mais j’ai explosé !
Au début, je ne savais pas ce qui m’arrivait.
Je ne ressentais que du mal être et je pleurais.
Mais avec le temps, je me suis rendu(e) compte que c’était un appel au secours, vis à vis de moi-même.
À partir de ce moment, j’ai commencé à prendre conscience que je ne pouvais pas continuer, à être quelqu’un "à moitié", et aux dépens des autres.
Je me suis fatigué(e) d’être qui je n’étais pas pour que le reste se sente bien, et j’ai commencé petit à petit à me découvrir.
J’ai commencé à m’aimer.
Je m’aime ainsi, imparfait(e) mais authentique
J’ai soudain pris conscience que je pouvais, être plus indépendant(e) de ce que j’imaginais, que mon opinion était également valide, et que mes yeux étaient jolis.
J’ai adoré me rendre compte que je savais agir sans que les autres ne me donnent leur aval, même si bien sûr cela a été difficile à atteindre.
Je m’appréciais ...
Je me demandais "Comment vas-tu ?"
Et si la journée s’était bien passée.
Je me lançais même des défis, pour faire émerger le soleil.
Je n’avais alors plus besoin que les autres me disent ce que je valais, car moi, de manière autonome, j’étais capable de le savoir si on m’envoyait une critique ou que je ne savais pas faire quelque chose, ce n’est pas de moi que je doutais.
J’ai appris à aimer mes défauts, à les modifier et à valoriser mes réussites et mes capacités.
Grâce à cela j’ai abandonné l’obsessive pensée d’être parfait(e) pour plaire à toutes et tous.
Maintenant, j’aime mes imperfections car si je ne les aimais pas ce serait comme amputer une partie de moi.
Je m’aime, pour pouvoir me montrer authentique face à toi ...
Et ne pas feindre qui je ne suis pas ...
Je m’aime pour éviter que tu ne me rejettes, comme je me suis rejetée ...
Tu te demanderas sûrement quel est le lien entre le fait de m’aimer et de t’aimer ...
Mais il est nécessaire que tu le saches pour comprendre, comment aurait pu tourner notre relation, si je ne m’étais accordé(e), aucune valeur à moi-même ...
Si je ne m’aimais pas je t’obligerais, à te souvenir de moi en permanence ...
Et à rassasier mes doutes sur ton amour, et mon manque de confiance.
Tu serais responsable de la manière dont je me sens ou du moins, c’est ainsi que je le percevrais ...
Et tu agirais en conséquence ... ou pire ...
Tu devrais me sauver à chaque fois, que mes insécurités apparaîtraient, et remettre en cause mon courage.
Ce ne serait pas un amour sain, mais plutôt une relation qui aurait pour objectif de guérir mes blessures ...
Je ne dis pas que quand je me sens mal, tu ne dois pas m’apporter ta chaleur, ou tes bras pour refuge ...
Mais que tu n’es pas responsable de ma personne.
Tu n’as pas le devoir, de me rappeler à mon bon souvenir, et de me dire combien je vaux, pour que je me sente bien.
Ça, c’est ma tâche.
Je refuse que tu paies pour les fantômes de mon passé.
C’est pour cela que j’ai besoin de temps pour m’aimer, pour identifier mes peurs et mes vulnérabilités, et ne pas les traîner dans notre relation.
Car tu n’as pas à me sauver de mes vides ...
Tu n’es pas mon sauveur !
Je m’aime pour te donner le meilleur de moi, et ne pas te responsabiliser de mon mal être.
Je m’aime car mon objectif est de grandir avec toi.
Ce que j’aime, c’est partager mon chemin avec toi, à partir de la confiance et de la compréhension, pour construire un amour loin du besoin, et continuer à grandir.
C’est pour cela, qu’avant de t’aimer, je m’aime.
Car je ne souhaite pas, me perdre dans la relation, mais me perdre en toi.
Source : Nos pensées
Béa
Laisse-moi te dire qu’avant de me donner à toi, j’ai besoin de me donner à moi-même ...
De connaître tous mes recoins, et de pénétrer dans les zones, les plus silencieuses de mon âme ...
Je veux connaître chacun de mes secrets, savoir ce qui me fait du bien, et ce qui me fait du mal, et creuser les raisons de ces sentiments ...
Je suis de celles qui pensent qu’avant un "je t’aime", Il faut savoir se dire "je m’aime", pour être juste avec l’autre ...
J’ai besoin de savoir quelles sont mes blessures, et quel est le point d’achoppement qui les fait saigner à nouveau.
Connaître mes forces et savoir ce qui me définit, savoir quelle est mon empreinte, mon point fort pour ensuite, quand la situation le demande, t’offrir un sourire.
Je préfère m’aimer avant tout, pour ainsi pouvoir t’aimer bien et sainement.
Et si tu doutes encore, ne t’inquiète pas, une fois que tu auras terminé cette lettre, tu sauras ce que je veux dire.
Lorsque je ne savais pas m’aimer, j'ai commencé à me rendre compte de l’importance de s’aimer, lorsque j’ai oublié de le faire au moment le pire où je me trouvais, et que je me consacrais à mendier de l’amour à d’autres pour bien me sentir.
Mon faux bien-être, dépendait de l’approbation des autres et de leur moral.
S’ils/elles décidaient de me valoriser, et qu’ils/elles m’offraient un compliment, je pensais être heureux(se).
À l’inverse, quand ils/elles me critiquaient, et qu’ils/elles me dévalorisaient, je me considérais comme nul(le).
Sans le savoir j’offrais, les clés de mon bien-être à toutes et tous, en m’oubliant.
Je suis arrivé(e) si loin que j’ai fini par devenir, ce que les autres voulaient pour moi, et donc un(e) inconnu(e) complet(ète), pour moi-même.
Je ne savais même pas ce que j’aimais, où je voulais aller, et quels étaient mes rêves, car les autres le décidaient pour moi.
Je me refusais à moi-même l’opportunité de me connaître.
Je ne savais même pas que c’était possible.
Et un beau jour, j’ai explosé !
Seul(e), mais j’ai explosé !
Au début, je ne savais pas ce qui m’arrivait.
Je ne ressentais que du mal être et je pleurais.
Mais avec le temps, je me suis rendu(e) compte que c’était un appel au secours, vis à vis de moi-même.
À partir de ce moment, j’ai commencé à prendre conscience que je ne pouvais pas continuer, à être quelqu’un "à moitié", et aux dépens des autres.
Je me suis fatigué(e) d’être qui je n’étais pas pour que le reste se sente bien, et j’ai commencé petit à petit à me découvrir.
J’ai commencé à m’aimer.
Je m’aime ainsi, imparfait(e) mais authentique
J’ai soudain pris conscience que je pouvais, être plus indépendant(e) de ce que j’imaginais, que mon opinion était également valide, et que mes yeux étaient jolis.
J’ai adoré me rendre compte que je savais agir sans que les autres ne me donnent leur aval, même si bien sûr cela a été difficile à atteindre.
Je m’appréciais ...
Je me demandais "Comment vas-tu ?"
Et si la journée s’était bien passée.
Je me lançais même des défis, pour faire émerger le soleil.
Je n’avais alors plus besoin que les autres me disent ce que je valais, car moi, de manière autonome, j’étais capable de le savoir si on m’envoyait une critique ou que je ne savais pas faire quelque chose, ce n’est pas de moi que je doutais.
J’ai appris à aimer mes défauts, à les modifier et à valoriser mes réussites et mes capacités.
Grâce à cela j’ai abandonné l’obsessive pensée d’être parfait(e) pour plaire à toutes et tous.
Maintenant, j’aime mes imperfections car si je ne les aimais pas ce serait comme amputer une partie de moi.
Je m’aime, pour pouvoir me montrer authentique face à toi ...
Et ne pas feindre qui je ne suis pas ...
Je m’aime pour éviter que tu ne me rejettes, comme je me suis rejetée ...
Tu te demanderas sûrement quel est le lien entre le fait de m’aimer et de t’aimer ...
Mais il est nécessaire que tu le saches pour comprendre, comment aurait pu tourner notre relation, si je ne m’étais accordé(e), aucune valeur à moi-même ...
Si je ne m’aimais pas je t’obligerais, à te souvenir de moi en permanence ...
Et à rassasier mes doutes sur ton amour, et mon manque de confiance.
Tu serais responsable de la manière dont je me sens ou du moins, c’est ainsi que je le percevrais ...
Et tu agirais en conséquence ... ou pire ...
Tu devrais me sauver à chaque fois, que mes insécurités apparaîtraient, et remettre en cause mon courage.
Ce ne serait pas un amour sain, mais plutôt une relation qui aurait pour objectif de guérir mes blessures ...
Je ne dis pas que quand je me sens mal, tu ne dois pas m’apporter ta chaleur, ou tes bras pour refuge ...
Mais que tu n’es pas responsable de ma personne.
Tu n’as pas le devoir, de me rappeler à mon bon souvenir, et de me dire combien je vaux, pour que je me sente bien.
Ça, c’est ma tâche.
Je refuse que tu paies pour les fantômes de mon passé.
C’est pour cela que j’ai besoin de temps pour m’aimer, pour identifier mes peurs et mes vulnérabilités, et ne pas les traîner dans notre relation.
Car tu n’as pas à me sauver de mes vides ...
Tu n’es pas mon sauveur !
Je m’aime pour te donner le meilleur de moi, et ne pas te responsabiliser de mon mal être.
Je m’aime car mon objectif est de grandir avec toi.
Ce que j’aime, c’est partager mon chemin avec toi, à partir de la confiance et de la compréhension, pour construire un amour loin du besoin, et continuer à grandir.
C’est pour cela, qu’avant de t’aimer, je m’aime.
Car je ne souhaite pas, me perdre dans la relation, mais me perdre en toi.
Source : Nos pensées
Béa
mardi 2 juillet 2019
Paroles de sagesse amérindienne
Magnifique texte (Code éthique Amérindien)
1. Lève-toi avec le soleil pour prier. Prie seul. Prie souvent.
Le Grand Esprit t'écoutera si seulement tu parles.
2. Sois tolérant avec ceux qui sont perdus sur la route. L'ignorance, la suffisance, la colère, la jalousie et la cupidité naissent dans des esprits perdus. Prie pour qu'ils trouvent la voie.
3. Cherche-toi. Toi-même. Ne laisse personne tracer ta route. C'est ta route, à toi seul. D'autres peuvent bien cheminer à tes côtés... mais personne ne peut faire ton chemin.
4. Traite avec bienveillance ceux qui pénètrent dans ta maison. Sers-leur les meilleurs mets, donne-leur le meilleur lit et traite les avec respect et honneur.
5. Ne prends pas ce qui ne t'appartient pas, que ce soit d'une personne, d'une communauté, de la nature, d'une culture. Si tu ne l'as pas gagné ou qu'on ne te l'a pas donné ... ce n'est pas à toi.
6. Respecte tout ce qui est sur cette Terre : humains, animaux ou plantes. Honore l'esprit de toute chose.
7. Honore les pensées d'autrui, ses pensées et ses mots. N'interrompe personne ; ne les moque pas ; ne les ridiculise pas. Accepte que chacun ait le droit de s'exprimer à sa façon.
8. Ne parle jamais des autres en mal. L'énergie négative que tu déverses dans l'Univers se multipliera et te reviendra. Tout le monde fait des erreurs ... et toutes les erreurs peuvent être pardonnées. Les mauvaises pensées causent la maladie de l'esprit, du corps, de l'âme. Entraîne-toi à l'optimisme.
9. La Nature n'est pas pour nous ; la Nature fait partie de nous. Nous sommes une même famille.
10. Les enfants sont les graines de l'avenir. Plante de l'amour dans leur coeur et entretien leur coeur avec de l'eau et la sagesse des leçons de la vie. Quand ils sont grands ... donne-leur l'espace nécessaire pour qu'ils grandissent encore.
11. Évite de blesser les autres. Le poison de la douleur te reviendra forcément.
12. Sois honnête en tout temps. L'honnêteté est ce qui mesure la volonté des êtres dans cet univers.
13. Sois équilibré. Veille à ton équilibre mental, spirituel, émotionnel, physique ...Tu dois être fort, pur et en bonne santé. Ton équilibre physique renforce ton esprit ... la richesse de ton esprit soigne tes douleurs émotionnelles.
14. Sois conscient des décisions que tu prends concernant qui tu veux être et comment tu veux agir. Sois responsable de tes actes.
15. Respecte l'intimité et le jardin secret des autres. Ne touche pas ce qui ne t'appartient pas ... surtout ce qui est sacré. C'est interdit.
16. Sois sincère avec toi. Tu ne pourras aider personne si tu ne peux t'aider toi-même.
17. Respecte les croyances d'autrui. N'impose jamais tes propres croyances aux autres.
18. Partage. Donne. Sois volontaire pour donner aux hommes pour que vive l'Humanité. Auteur amérindien inconnu
Parcelles de Sagesse.
1. Lève-toi avec le soleil pour prier. Prie seul. Prie souvent.
Le Grand Esprit t'écoutera si seulement tu parles.
2. Sois tolérant avec ceux qui sont perdus sur la route. L'ignorance, la suffisance, la colère, la jalousie et la cupidité naissent dans des esprits perdus. Prie pour qu'ils trouvent la voie.
3. Cherche-toi. Toi-même. Ne laisse personne tracer ta route. C'est ta route, à toi seul. D'autres peuvent bien cheminer à tes côtés... mais personne ne peut faire ton chemin.
4. Traite avec bienveillance ceux qui pénètrent dans ta maison. Sers-leur les meilleurs mets, donne-leur le meilleur lit et traite les avec respect et honneur.
5. Ne prends pas ce qui ne t'appartient pas, que ce soit d'une personne, d'une communauté, de la nature, d'une culture. Si tu ne l'as pas gagné ou qu'on ne te l'a pas donné ... ce n'est pas à toi.
6. Respecte tout ce qui est sur cette Terre : humains, animaux ou plantes. Honore l'esprit de toute chose.
7. Honore les pensées d'autrui, ses pensées et ses mots. N'interrompe personne ; ne les moque pas ; ne les ridiculise pas. Accepte que chacun ait le droit de s'exprimer à sa façon.
8. Ne parle jamais des autres en mal. L'énergie négative que tu déverses dans l'Univers se multipliera et te reviendra. Tout le monde fait des erreurs ... et toutes les erreurs peuvent être pardonnées. Les mauvaises pensées causent la maladie de l'esprit, du corps, de l'âme. Entraîne-toi à l'optimisme.
9. La Nature n'est pas pour nous ; la Nature fait partie de nous. Nous sommes une même famille.
10. Les enfants sont les graines de l'avenir. Plante de l'amour dans leur coeur et entretien leur coeur avec de l'eau et la sagesse des leçons de la vie. Quand ils sont grands ... donne-leur l'espace nécessaire pour qu'ils grandissent encore.
11. Évite de blesser les autres. Le poison de la douleur te reviendra forcément.
12. Sois honnête en tout temps. L'honnêteté est ce qui mesure la volonté des êtres dans cet univers.
13. Sois équilibré. Veille à ton équilibre mental, spirituel, émotionnel, physique ...Tu dois être fort, pur et en bonne santé. Ton équilibre physique renforce ton esprit ... la richesse de ton esprit soigne tes douleurs émotionnelles.
14. Sois conscient des décisions que tu prends concernant qui tu veux être et comment tu veux agir. Sois responsable de tes actes.
15. Respecte l'intimité et le jardin secret des autres. Ne touche pas ce qui ne t'appartient pas ... surtout ce qui est sacré. C'est interdit.
16. Sois sincère avec toi. Tu ne pourras aider personne si tu ne peux t'aider toi-même.
17. Respecte les croyances d'autrui. N'impose jamais tes propres croyances aux autres.
18. Partage. Donne. Sois volontaire pour donner aux hommes pour que vive l'Humanité. Auteur amérindien inconnu
Parcelles de Sagesse.
lundi 1 juillet 2019
Ma légende cosmique.....
MA
LEGENDE COSMIQUE
Enfant j’avais l’intuition d'être venue
vivre dans un monde idéal d’amour, de joie et de paix, ce que je nommerai comme
monde divin (l’unité)
Je n’aurai jamais imaginé que le monde humain
était semblable à une médaille avec ses deux facettes (la dualité) Lumière/Ombre
- Amour/haine Paix/guerre. Joie/colère - Espoir/désespoir - Humilité /orgueil -
Richesse/pauvreté - Divin/humain - Spirituel/matériel.
Je n’avais pas imaginé que
j;'enregistrerai davantage les facettes
négatives qui, avec le temps, me rendraient plus fortes. De l'ombre surgit
la lumière.
Je n'avais même pas imaginé que les 90%
d'inconscient qui régit l'être 'humain, avait crée tous ces évènements pour que
j'expérimente ma capacité à m'aimer (j'avais
dépassé ces épreuves) et à aimer les autres inconditionnellement (à ces différentes époques, je les aimais et après trahisons ou
ruptures, mon amour était amoindri par la tristesse, la déception, le jugement,
etc…) Et j'ai mémorisé tout çà dans mon disque dur, probablement, pour
exister, et créer ma légende de victime,
et donc de sauveur…. comme tout le monde. (Eh oui, et on peut aussi être bourreau !)
En synthèse, ces faits ont jalonné ma
vie. Je les ai vécus à un moment, à une période, à un endroit, à un âge différent,
(et donc à une fréquence vibratoire
différente d'aujourd'hui)… Jusqu'à maintenant, je les ai tous mis sur un
pied d'égalité, et au fil du temps, j'ai
créé un collier avec une perle pour chaque événement ou chaque blessure (deuils,
trahisons, rejet, abandon, humiliation, pertes d'êtres chers,….). J'ai joué
inconsciemment des rôles de sauveur, de victime ou de bourreau. J'ai vécu des
émotions de peur, de colère et de tristesse. J'ai laissé les toxiques me
polluer. Et après un trop-plein émotionnel, j'ai déprimé, puis des dysharmonies
dans mon corps m'ont obligé à baisser le volet d'ouverture aux autres, pour me
protéger. (j'étais devenue une éponge)
J'étais qualifiée de "perchée"
et progressivement je me suis isolée car je me sentais incomprise, pas bien
dans ce monde (merci à ces miroirs de moi-même) . Les plus courageux et généreux
ont cheminé avec moi, avec des hauts et des bas et ils sont encore là aujourd'hui
(à part les disparus, restés dans mon cœur).
Ce collier est ma légende personnelle,
trop longtemps stocké dans le coffre fort de mon inconscient. Il est temps de
revisiter et nettoyer les perles…
Aujourd'hui,, en toute conscience (après avoir écouté des tas de causeries
vidéos où j'ai vu ma vie entière défiler en petits fragments sur YouTube, racontée
par les internautes), je décide de
stopper cette légende de moi-même, qui, comme une Star dont les médias ne
parlent plus, ressasse son passé illusoire
de sa vrai lumière …. Certains personnages
connus narrent leurs vie romancée, pour exister encore
auprès de leurs fans, (ils vendent
l'idée qu'ils sont les seuls à avoir vécu une vie différente et plus difficile
que les personnages inconnus, et se présentent en victime, pour faire pleurer
dans les chaumières). D'autres, inventent carrément une histoire, par
intérêt financier.
A mon sens, ils oublient que 7 milliards
d'individus vivent des expériences parfois plus compliquées et ne peuvent pas
ou plus se raconter. En fait, tout le monde a sa légende personnelle parsemée
de sentiments et d'émotions. Que cela soit dit !
Raconter sa légende personnelle : c'est OK,
mais en toute bonne foi ! Comment ? En revenant au centre de notre création, en
toute conscience, en laissant les événements là où ils se trouvent (dans le passé), et en les revisitant en
toute conscience pour libérer l'émotion associée, et ainsi faire jaillir la lumière. Pour cela il
faut mettre le projecteur à un autre endroit et voir enfin notre création, au-delà
du personnage de l'époque (qui s'en est
sorti puisqu'il est là !), en saupoudrant d'humour pour alléger notre vie
du présent. Il est urgent d'accueillir ce qui est, se libérer des chocs émotionnels du passé et
ne pas stocker une émotion qui deviendra un virus dans notre disque dur. Soyons
authentiques et honnêtes. Après tout personne n'est parfait ! (au fait c'est quoi la perfection ?)
OUI ! je prends mon courage à deux mains (sur mon clavier, sourire) et l'illustre
inconnue que je suis, décide de vous
conter certains événements, et je vais essayer de le faire d'une manière humoristique.
La vie est une pièce de théâtre, dans laquelle nous créons des rôles
dramatiques ou comiques. La vie est un
jeu et nous y jouons toutes et tous. (one man show- one woman show, ou ensemble).
Je reconnais cette intuition –guide, qui me préserve du pire, et m'amène dans ma vérité
pour voir toujours la joie et le bonheur de vivre, dans l'instant. (Malgré les circonstances parfois tragiques,
j'ai toujours su que je suis née sous une bonne étoile. Elle s'appelle Vénus. Elle est là et elle
brille) Maintenant c'est la conscience qui parle et me fait voir , en toute
bonne foi, du fond de mon âme et de ma nature originelle, ma légende cosmique. Attention Mesdames et Messieurs, dans un instant,
çà va commencer Installez-vous bien dans
votre fauteuil…. ♪♫♪
mardi 11 juin 2019
lundi 10 juin 2019
Prière de nettoyage
PRIÈRE DE NETTOYAGE :
“Telle une source d’eau qui coule, s’écoule et rejoint l’océan,
Je me libère de toutes les charges négatives qui plombent mon énergie.
Je me nettoie et me purifie de tout ce qui encombre aujourd’hui mon être.
Je m’abandonne et je lâche prise.
Ces charges rejoignent la terre et se transmutent en forces, en ressources.
Rien n’est négatif.
Tout Est.
Tout se transforme.
Tout vit.
Tout mue.
Tout est lié.
Libéré(e) de ces charges, de ces fardeaux, de ces contraintes,
Je peux rayonner de toute ma lumière intérieure
Et éclairer les personnes autour de moi, la planète, le monde.
Je peux illuminer tout ce qui m’entoure.
Patiemment, toutes les graines que j’ai plantées se changent en fleurs magnifiques.
Mes rêves se concrétisent.
Mes envies se matérialisent.
J’atteins mes objectifs avec confiance.
Je suis dans toute ma magnificence.
Je suis dans toute ma splendeur.
Je rayonne de tout mon être.
Je suis aligné(e) à mon essence véritable.
Je Suis.”
vendredi 17 mai 2019
Hommage à une belle blonde.....
Lorsqu’on
m’a présenté à toi, on m’avait interdit de te connaître. Puis comme une copine,
te fréquentait, je me suis laissée séduite, cherchant peut-être une nouvelle
expérience.
Tu
étais blonde, une belle blonde, fine, le corps longiligne, tu te tenais droite,
je pouvais te serrais entre les doigts . A la première flamme tu vibrais
et te révélais à moi. Ma copine me convainc que tu étais une merveilleuse
compagne quand elle s’ennuyait, ou autour d’un pot, entre amis, et surtout
quand elle était seule.
J’avoue
que je n’avais pas le goût de toi, je dirais même que tu ne me plaisais pas du
tout. Mais j’étais tout de même, comme aspirée vers toi, tentée de te
rencontrer un jour.
Comme
tu étais toujours avec cette amie que j’appréciais, je me disais « qui se
ressemble, s’assemble ». Je décidais donc de te tester en présence de
cette copine et nous faisions pour quelques moments une réunion conviviale.
Quelques jours plus tard, je décidais moi aussi, de te fréquenter. Je ne savais
pas que c’était le début d’une longue histoire, une très longue histoire… Que
tu m’accompagnerais, sans me lâcher une minute, sur mon parcours de vie, avec les
hauts et surtout les bas, que nous finirions pas être totalement en fusion et
que rien ne pouvait nous séparer durant de longues années.
Sauf
qu’un jour je t’ai trahie. J’ai choisi une brune, plus épaisse, plus
quelconque, plutôt appréciée des hommes. Elle était la compagne d’une troupe de
militaires et j’en fréquentais un, à l’époque. Puis tous deux nous décidions de
te laisser tomber… et après c’est lui qui m’a laissée tomber. Deux ans de
séparation avec toi m’ont fait prendre neuf kilos. Le manque de toi me faisait
compenser par la nourriture. Alors, un jour je suis revenue à la belle blonde « américaine »
que tu étais. Celle que la France avait rencontrée à la fin de la guerre et que
tout le monde s’arrachait. J’eus de nouveau une relation fumante avec toi. Puis
suite à la rupture avec cet homme, je t’ai retrouvée sur ma route et je t’ai
suivie. Je recraquais sur ton odeur, ton goût, ta finesse, ta présence, et ta
façon de fondre devant moi en quelques minutes. Ta compagnie m’était précieuse,
bien qu’elle me coûtait de plus en plus cher. Pour toi, j’étais capable de
sortir le soir à n’importe quelle heure pour te retrouver et me laisser envahir
par cette émotion de bien-être. Même si parfois tu me stressais, tu avais
réussi à me mettre dans la dépendance, sans que je m’en aperçoive.
Etait-ce
de l’amour ou une façon de combler mon manque d’amour ? Au fil du temps tu
prenais ta place, tu devenais un besoin, une béquille.. Je me servais de toi
pour frimer, pour cacher ma timidité, pour jouer la grande, celle que rien ne
touche. Tu me protégeais et me rassurais par ta présence. Jamais je n’étais
seule mais toujours avec toi, comme protégée par un écran de fumée à la vue des
autres qui tantôt m’irritaient, tantôt m’angoissaient. Toi tu étais rassurante,
toujours fidèle à toi-même, aussi jeune que la première fois que je t’ai vue.
Tu
me donnais l’idée qu’avec toi tout était possible.. et dans tous les endroits
où j’allais, avec toutes les personnes que je rencontrais, tu n’étais pas
exclusive, ni jalouse de mes fréquentations.. Parfois tu te faisais si discrète
et si silencieuse que je te cherchais, .mais non, tu étais là. Une présence
continue, et salvatrice dans ma vie de solitaire.
Tu
es la plus belle girl, et la poubelle de mes émotions. Je t'aime même si
parfois, j'ai honte de te fréquenter encore et voir mon argent partir en fumée
à cause de toi…
Oui
tout le monde te connaît. On t'appelle :
" CIGARETTE "
vendredi 5 avril 2019
L’Amour
💖Nous nous serrions très fort. Nous avions eu si froid d'avoir vécu si longtemps l'un sans l'autre. Un grand amour ne fait pas se rencontrer les êtres, il les fait se reconnaître. Quelle sensation étrange: cet inconnu que l'ont voit pour la première fois; nous nous souvenons pourtant de l'avoir déjà aimé.
En quel temps lointain, en quel mystérieux pays?
Seul notre amour peut en connaître le secret. L'amour possède une mémoire qui se joue des nuits et des temps.
Qui se joue de l'oubli des destinées qui naissent, s'achèvent et renaissent parfois dans l'ignorance de leur propre immortalité.
Lorsque nous croisons notre amour, nos premiers regards s'interrogent tout en se reconnaissant.
Notre cœur demande: "qui es-tu?" alors que notre âme s'exclame: "enfin te voilà!" le mystère de l'âme réside dans le mystère de l'amour.
Comprendre l'un, c'est découvrir l'autre. Notre vie a-t-elle suffisamment de temps pour que nous puissions contempler l'existence entière d'une étoile?
Cette étoile qui vous attire, vous l'avez vu naître avant votre naissance, vous l'admirez après votre départ terrestre. L'amour est semblable à cette étoile.
Le temps d'une simple vie ne peut lui imposer ses limites: il existait avant, il vivra après, car ceux qui s'aiment gardent leurs doigts enlacés au-dessus des siècles.💖
Jean-Paul Sermonte. Extrait de La Voix du Vent.
Gratitude.
mardi 26 mars 2019
Et toi ?
Quand tu as mal, ton premier réflexe c'est de vouloir vite te sentir bien et d'enlever cette sensation d'inconfort...Pour cela tu as recours à des substituts pour t'aider à ne plus rien sentir, à continuer à faire comme si rien n'avait existé, à continuer à avancer et à faire "comme avant".....
Tu peux utiliser alors le téléphone pour te plaindre et "raconter" tes malheurs, ou alors tu te défoules sur les jeux en ligne, ou encore tu manges (sans faim) ça t'alourdit, ça te ralentit et te rends somnolent/e et du coup tu sens moins......
Tu peux utiliser le travail acharné (bosser plus que de raison) ou encore tu peux avoir toujours envie de dormir (oublier), prendre des tranquillisants (anesthésier la souffrance), des somnifères.....
Tu peux te noyer dans les relations, les bains de foule, les centres commerciaux etc..
Tu peux peux être un inconditionnel des voyages, celui qui part tout le temps, qui a un besoin insatiable de liberté...
Tu peux aussi être focalisé sur le fait d'avoir beaucoup d'énergie, pour qu'on te remarque par la lumière incessante et ton magnétisme rayonnant.
Tu peux être celui qui prétend toujours aller bien, qu'il n'y jamais de problèmes mais que des solutions, que celui qui n'y arrive pas c'est qu'il ne le veut pas etc....
Tu peux te noyer dans des achats compulsifs, prendre à tout va des cours de ceci, des stages de cela....
La liste n'est pas exhaustive, je crois qu'il me faudrait encore bien des lignes pour continuer.
Tu vas me dire "tu es bien gentille, mais alors on doit se sentir coupable d'exister, de vivre, de faire, d'être ou d'avoir ????
Et en partie tu as raison. Non pas de te sentir coupable, bien évidemment... Mais tu as raison parce que c'est humain de faire tout ça, parce qu'en attendant d'avoir la possibilité de faire autrement, HEUREUSEMENT que tout cela existe !!
Il y a juste un bémol, oui il y a un bémol parce qu'un jour à force de te couper toujours de toi-même, tu finiras par te sentir épuisé, vidé et plaqué au sol, sans ressource, en ayant tout fait, tout essayé et tu te sentiras impuissant, tu n'arriveras à plus rien régler.....
Ne t'inquiète pas je suis passée par là, et pourtant j'était déjà consultante, je donnais des formations, des stages, des cours etc.... Et je m'écroulais petit à petit....
Ah je vois que tu te reconnais..... Pourtant, j'ai été obligée de m'arrêter, de m'écouter, de prendre soin de moi, mais surtout j'ai été obligée de me raconter, aux autres, à moi-même et surtout à mon enfant intérieur...J'ai été obligée de reconnaître que j'avais besoin d'aide... J'ai été obligée de me respirer, de me caresser le bras ou n'importe quelle autre partie de mon corps pour reprendre contact avec lui, pour le remercier, pour lui dire à quel point il était formidable.
Oui je suis tombée (et bien bas tu peux me croire) à plusieurs reprises. Je n'ai pas encore tout réglé, je suis toujours une personne assez active et qui en fait beaucoup par moments, mais je le fais en pleine conscience et surtout je m'en donne le droit EN TOUT AMOUR POUR MOI, même si quelquefois il m'arrive encore de le payer, on ne change pas du jour au lendemain et tu le sais aussi bien que moi ....
Aujourd'hui j'accepte ENFIN de m'aimer IMPARFAITE et avec cette lucidité d'accepter enfin mon HUMANITE, ma VULNERABILITE, mes LIMITES
J'ai accepté de refaire CONFIANCE, à moi d'abord et aux autres ensuite.
J'ai accepté de gouter à la vie, de m'en délecter, même si par moments elle me fait encore mal, je l'aime, si si je t'assure, je l'aime infiniment <3
auteur du texte : Maud Albertini
Tu peux utiliser alors le téléphone pour te plaindre et "raconter" tes malheurs, ou alors tu te défoules sur les jeux en ligne, ou encore tu manges (sans faim) ça t'alourdit, ça te ralentit et te rends somnolent/e et du coup tu sens moins......
Tu peux utiliser le travail acharné (bosser plus que de raison) ou encore tu peux avoir toujours envie de dormir (oublier), prendre des tranquillisants (anesthésier la souffrance), des somnifères.....
Tu peux te noyer dans les relations, les bains de foule, les centres commerciaux etc..
Tu peux peux être un inconditionnel des voyages, celui qui part tout le temps, qui a un besoin insatiable de liberté...
Tu peux aussi être focalisé sur le fait d'avoir beaucoup d'énergie, pour qu'on te remarque par la lumière incessante et ton magnétisme rayonnant.
Tu peux être celui qui prétend toujours aller bien, qu'il n'y jamais de problèmes mais que des solutions, que celui qui n'y arrive pas c'est qu'il ne le veut pas etc....
Tu peux te noyer dans des achats compulsifs, prendre à tout va des cours de ceci, des stages de cela....
La liste n'est pas exhaustive, je crois qu'il me faudrait encore bien des lignes pour continuer.
Tu vas me dire "tu es bien gentille, mais alors on doit se sentir coupable d'exister, de vivre, de faire, d'être ou d'avoir ????
Et en partie tu as raison. Non pas de te sentir coupable, bien évidemment... Mais tu as raison parce que c'est humain de faire tout ça, parce qu'en attendant d'avoir la possibilité de faire autrement, HEUREUSEMENT que tout cela existe !!
Il y a juste un bémol, oui il y a un bémol parce qu'un jour à force de te couper toujours de toi-même, tu finiras par te sentir épuisé, vidé et plaqué au sol, sans ressource, en ayant tout fait, tout essayé et tu te sentiras impuissant, tu n'arriveras à plus rien régler.....
Ne t'inquiète pas je suis passée par là, et pourtant j'était déjà consultante, je donnais des formations, des stages, des cours etc.... Et je m'écroulais petit à petit....
Ah je vois que tu te reconnais..... Pourtant, j'ai été obligée de m'arrêter, de m'écouter, de prendre soin de moi, mais surtout j'ai été obligée de me raconter, aux autres, à moi-même et surtout à mon enfant intérieur...J'ai été obligée de reconnaître que j'avais besoin d'aide... J'ai été obligée de me respirer, de me caresser le bras ou n'importe quelle autre partie de mon corps pour reprendre contact avec lui, pour le remercier, pour lui dire à quel point il était formidable.
Oui je suis tombée (et bien bas tu peux me croire) à plusieurs reprises. Je n'ai pas encore tout réglé, je suis toujours une personne assez active et qui en fait beaucoup par moments, mais je le fais en pleine conscience et surtout je m'en donne le droit EN TOUT AMOUR POUR MOI, même si quelquefois il m'arrive encore de le payer, on ne change pas du jour au lendemain et tu le sais aussi bien que moi ....
Aujourd'hui j'accepte ENFIN de m'aimer IMPARFAITE et avec cette lucidité d'accepter enfin mon HUMANITE, ma VULNERABILITE, mes LIMITES
J'ai accepté de refaire CONFIANCE, à moi d'abord et aux autres ensuite.
J'ai accepté de gouter à la vie, de m'en délecter, même si par moments elle me fait encore mal, je l'aime, si si je t'assure, je l'aime infiniment <3
auteur du texte : Maud Albertini
mardi 19 mars 2019
Hommage à la femme
7 caractéristiques d'une Femme en conscience
"1) Elle a compris que sa valeur n’avait rien à voir avec sa sexualité
Elle a bien compris que sa valeur n’avait rien à voir avec le fait d’être attirante sexuellement pour le sexe opposé ou non. Elle a simplement envie de l’être quand ELLE en a envie elle-même, et non pas parce que c’est sa seule façon d’être approuvée et donc “aimée”. Elle n’a pas envie d’être enfermée dans cette prison qui est de devoir être en permanence désirable pour le sexe opposé, auprès de tous et même d’hommes avec qui elle ne voudrait jamais être. Elle a compris qu’une femme qui entre dans ce jeu en sortira forcément victime un jour. Elle est au contraire une femme libre.
2) Elle ne souhaite pas être en compétition avec les autres femmes
Elle est au contraire tournée vers le fait de les aider et de les soutenir. Elle n’hésite pas à partager ses vulnérabilités pour encourager ses “soeurs femmes”, les conseiller et les aider à elles-aussi évoluer en tant que femme et tout simplement en tant qu’être humain dans ce monde. En cas de conflits, elle sait prendre la défense des femmes, même si le regard des hommes est en jeu.
3) Elle ne rejette pas ses qualités féminines par peur de perdre son pouvoir et au contraire les cultive
Elle cultive ses qualités féminines qui font son essence même. L’énergie féminine comporte, entre autres, les qualités suivantes : la compassion, la sensibilité, l’écoute, l’empathie, la douceur, l’intelligence émotionnelle, la sensualité, la recherche de l’harmonie, la créativité, la capacité à soigner, à prendre soin de, à s’occuper des autres. Elle est fière de ces qualités et ne cherche pas à les rejeter. Elle ne cherche pas à devenir comme les hommes. Elle a bien compris que le pouvoir ne résidait ni dans la force physique, ni dans la force de la voix, ni dans la manipulation, mais dans la paix intérieure, l’harmonie intérieure, la confiance, l’Amour, et la liberté.
4) Elle se préoccupe de son impact sur le Monde
Elle a compris le pouvoir de son énergie féminine, son pouvoir guérisseur, son pouvoir de transformation auprès des hommes, et donc son pouvoir de transformation du Monde. Elle a compris que c’est uniquement avec l’Amour, l’écoute, la compassion, et l’empathie, que l’Homme pourra évoluer, et ainsi, le Monde. Elle a des valeurs, est intègre et incorruptible. Elle a compris l’impact qu’elle pouvait avoir sur les hommes de sa vie et sur les hommes en général qui croiseront son chemin, sur les enfants qui la regarderont et sur toutes les personnes qui l’entoureront, raison pour laquelle elle a décidé d’avoir l’impact le plus positif qu’il soit… “Toute âme qui s’élève, élève le Monde” (Gandhi), raison pour laquelle elle veut ainsi rayonner l’Amour et la lumière, pour transformer en lumière tout ce qu’elle croisera et impacter positivement tout ce qu’elle touchera de ses mains…
5) Elle n’a pas besoin du regard des hommes pour aimer son corps
Elle aime son corps et n’a pas besoin de la validation des hommes pour s’aimer. Elle a compris que son corps était son temple sacré, qu’il fallait le mériter pour qu’elle laisse quelqu’un y entrer, et qu’elle ne souhaite pas être définie par des modes ou des codes de société. Sa beauté est avant tout intérieure, et elle n’a pas peur d’exprimer également qui elle est réellement et ses propres goûts à travers son physique et son style, représentatif de la propre image personnelle qu’elle se fait de la femme
qu’elle veut être.
6) Elle recherche l’alliance avec le masculin et à
compris le but spirituel des relations amoureuses
Elle a une vision très précise de l’homme qu’elle veut à ses côtés, et n’est pas d’accord pour se rabaisser à accepter moins que ce qu’elle mérite. Dans l’absolu, elle n’a besoin de personne pour se sentir complète, elle a ses propres passions, son propre monde, mais dans sa parfaite harmonie intérieure, elle souhaite s’allier à l’énergie masculine sacrée, afin de donner naissance à une union puissante entre deux êtres tous deux désireux de monter l’autre vers le haut, vers l’évolution mutuelle et l’extase physique, émotionnelle et spirituelle.
7) Elle est spirituelle et recherche la constante évolution
Elle a conscience de sa place dans le monde, de son rôle et de son impact. Elle est en progression et remise en question permanente. Elle se pose des questions sur la vie et cherche continuellement à devenir une meilleure personne, chaque jour qui passe. Sa beauté intérieure rayonne chaque année de plus en plus, étant donné qu’elle devient de plus en plus sage. Même en vieillissant, sa beauté continue de transparaître, car la beauté est avant tout énergie, et cette énergie invisible est avant tout intérieure, chose qu’elle a bien compris. Il s’agit de la beauté du coeur, de l’amour, de la compassion, et de la douceur. Sa lumière continue d’illuminer chacun et le Monde, même si elle n’a plus les mêmes attributs physiques que dans sa jeunesse, son pouvoir n’est pas diminué, au contraire, elle continue d’inspirer à travers son infinie sagesse et lumière.
"1) Elle a compris que sa valeur n’avait rien à voir avec sa sexualité
Elle a bien compris que sa valeur n’avait rien à voir avec le fait d’être attirante sexuellement pour le sexe opposé ou non. Elle a simplement envie de l’être quand ELLE en a envie elle-même, et non pas parce que c’est sa seule façon d’être approuvée et donc “aimée”. Elle n’a pas envie d’être enfermée dans cette prison qui est de devoir être en permanence désirable pour le sexe opposé, auprès de tous et même d’hommes avec qui elle ne voudrait jamais être. Elle a compris qu’une femme qui entre dans ce jeu en sortira forcément victime un jour. Elle est au contraire une femme libre.
2) Elle ne souhaite pas être en compétition avec les autres femmes
Elle est au contraire tournée vers le fait de les aider et de les soutenir. Elle n’hésite pas à partager ses vulnérabilités pour encourager ses “soeurs femmes”, les conseiller et les aider à elles-aussi évoluer en tant que femme et tout simplement en tant qu’être humain dans ce monde. En cas de conflits, elle sait prendre la défense des femmes, même si le regard des hommes est en jeu.
3) Elle ne rejette pas ses qualités féminines par peur de perdre son pouvoir et au contraire les cultive
Elle cultive ses qualités féminines qui font son essence même. L’énergie féminine comporte, entre autres, les qualités suivantes : la compassion, la sensibilité, l’écoute, l’empathie, la douceur, l’intelligence émotionnelle, la sensualité, la recherche de l’harmonie, la créativité, la capacité à soigner, à prendre soin de, à s’occuper des autres. Elle est fière de ces qualités et ne cherche pas à les rejeter. Elle ne cherche pas à devenir comme les hommes. Elle a bien compris que le pouvoir ne résidait ni dans la force physique, ni dans la force de la voix, ni dans la manipulation, mais dans la paix intérieure, l’harmonie intérieure, la confiance, l’Amour, et la liberté.
4) Elle se préoccupe de son impact sur le Monde
Elle a compris le pouvoir de son énergie féminine, son pouvoir guérisseur, son pouvoir de transformation auprès des hommes, et donc son pouvoir de transformation du Monde. Elle a compris que c’est uniquement avec l’Amour, l’écoute, la compassion, et l’empathie, que l’Homme pourra évoluer, et ainsi, le Monde. Elle a des valeurs, est intègre et incorruptible. Elle a compris l’impact qu’elle pouvait avoir sur les hommes de sa vie et sur les hommes en général qui croiseront son chemin, sur les enfants qui la regarderont et sur toutes les personnes qui l’entoureront, raison pour laquelle elle a décidé d’avoir l’impact le plus positif qu’il soit… “Toute âme qui s’élève, élève le Monde” (Gandhi), raison pour laquelle elle veut ainsi rayonner l’Amour et la lumière, pour transformer en lumière tout ce qu’elle croisera et impacter positivement tout ce qu’elle touchera de ses mains…
5) Elle n’a pas besoin du regard des hommes pour aimer son corps
Elle aime son corps et n’a pas besoin de la validation des hommes pour s’aimer. Elle a compris que son corps était son temple sacré, qu’il fallait le mériter pour qu’elle laisse quelqu’un y entrer, et qu’elle ne souhaite pas être définie par des modes ou des codes de société. Sa beauté est avant tout intérieure, et elle n’a pas peur d’exprimer également qui elle est réellement et ses propres goûts à travers son physique et son style, représentatif de la propre image personnelle qu’elle se fait de la femme
qu’elle veut être.
6) Elle recherche l’alliance avec le masculin et à
compris le but spirituel des relations amoureuses
Elle a une vision très précise de l’homme qu’elle veut à ses côtés, et n’est pas d’accord pour se rabaisser à accepter moins que ce qu’elle mérite. Dans l’absolu, elle n’a besoin de personne pour se sentir complète, elle a ses propres passions, son propre monde, mais dans sa parfaite harmonie intérieure, elle souhaite s’allier à l’énergie masculine sacrée, afin de donner naissance à une union puissante entre deux êtres tous deux désireux de monter l’autre vers le haut, vers l’évolution mutuelle et l’extase physique, émotionnelle et spirituelle.
7) Elle est spirituelle et recherche la constante évolution
Elle a conscience de sa place dans le monde, de son rôle et de son impact. Elle est en progression et remise en question permanente. Elle se pose des questions sur la vie et cherche continuellement à devenir une meilleure personne, chaque jour qui passe. Sa beauté intérieure rayonne chaque année de plus en plus, étant donné qu’elle devient de plus en plus sage. Même en vieillissant, sa beauté continue de transparaître, car la beauté est avant tout énergie, et cette énergie invisible est avant tout intérieure, chose qu’elle a bien compris. Il s’agit de la beauté du coeur, de l’amour, de la compassion, et de la douceur. Sa lumière continue d’illuminer chacun et le Monde, même si elle n’a plus les mêmes attributs physiques que dans sa jeunesse, son pouvoir n’est pas diminué, au contraire, elle continue d’inspirer à travers son infinie sagesse et lumière.
vendredi 8 mars 2019
Les étoiles m’ont dit
Avant de quitter...Questions et réponses éclairantes
Question: Comment expliquer que l'on puisse se sentir à la fois connecté à des Êtres aimants et, en même temps, se sentir parasité ou contré à un niveau subtil ?
Réponse: Comment cela se peut ? Mais parce que vous dérangez. Dès que l'on développe - et vous le savez - de plus en plus de Lumière, on est également un aimant pour l'Ombre. Et il est logique et normal que cette Ombre se manifeste car elle vous oblige - elle est là pour vous obliger, en quelque sorte - à faire des choix de plus en plus précis, de plus en plus volontaires ; à montrer une confiance de plus en plus inébranlable et à apprendre à passer au-delà des doutes.
L'Ombre, ne la voyez pas comme un obstacle. Tant que vous la voyez comme un obstacle, elle s'érige de plus en plus forte devant vous. Voyez-la comme une force qui vous consolide. Et tant que vous ne serez pas suffisamment solide - et qu'il y aura des coins d'ombre en vous, des coins de doute - cela aimantera d'autres zones d'ombre et d'autres formes de doutes.
Vous allez dire que le chemin est décidément fort long. Il est exactement, oui… fort long. Mais plus vous y avancez, plus vous remarquez que les souffrances et les doutes qui le jalonnent se font rares et s'évacuent de plus en plus rapidement. Il y a simplement un cap à passer et ce cap, eh bien… cultivez-le, rapprochez-vous en, en évitant d'entrer dans les jugements, dans les condamnations, dans les « oui, mais... »
Ce que nous évitons nous éloigne de nous-même. Il ne nous éloigne pas de l'autre mais de nous-même. Ce que nous évitons revient nous éviter et nous revisiter inévitablement.
Remercie les forces adverses que tu sens, elles sont ton baromètre. Ne les vois pas comme des présences néfastes, surtout pas. Et crois bien que tu n'es parasité par aucune force. Tu es simplement visité par des aspects de ta propre faiblesse… ce qui est absolument normal sur ce chemin.
Q. Comment mieux partager et propager la joie ?
R. En étant Joie. Bien sûr, la réponse peut sembler très simple. Le problème se résout, vois-tu, dans l'unité à cultiver avec le Divin, c'est-à-dire dans le fait - et nous revenons à ce que nous vous disions d'emblée - de se souvenir de notre parenté avec la Force Divine. Tant que nous n'avons pas fait véritablement Un avec le Principe Divin, nous ne sommes pas totalement dans la Joie. Il y a une partie de nous qui doute, qui se juge, qui observe, qui condamne et se condamne. La Joie n'est pas toujours le fait d'être sans cesse en état d'explosion intérieure. La Joie n'est pas toujours le fait d'avoir constamment le sourire aux lèvres. Qui l'a toujours ? Aucun Maître de Sagesse Réalisé n'a toujours le sourire aux lèvres.
La Joie est, par contre, d'avoir en permanence ce sentiment d'Unité avec le Principe de la Lumière qui donne naissance à un sourire intérieur inextinguible. Il n'y a pas de recette pour cela. Le "comment" est, dirions-nous, un peu candide. C'est tout ce que vous rencontrez sur votre chemin de vie, toutes les difficultés, tout ce que vous appelez la souffrance, qui a pour but de vous aider à vous rapprocher tranquillement, doucement mais extrêmement et sûrement, de la Joie. La véritable Joie est un état de sérénité qui est infiniment plus haut que tous les nuages qui traversent nécessairement une vie. C'est un point d'ancrage, la Joie. Elle n'est pas l'absence de souffrance mais elle est l'absence de doute.
Vous pouvez la demander cette Joie, aussi. Il n'y a rien que vous ne puissiez demander mais ne demandez pas à une force qui serait extérieure à vous.
Q. Actuellement, le monde est en souffrance. L'humanité va-t-elle vivre dans la joie d'être ensemble, dans l'acceptation des différences et s'éveiller à l'Amour Christique ? Il y a beaucoup d'enfants et de gens qui souffrent, de la faim, il y a énormément de troubles dans le monde, des problèmes liés aux changements des besoins énergétiques. La paix peut-elle s'installer auprès de ceux qui gouvernent les peuples ? Pourront-ils s'éveiller à une conscience de service aux autres et non pas demeurer dans ce besoin d'être plus importants, mais prendre conscience que nous sommes tous des frères d'humanité ? Les gouvernants vont-ils s'éveiller pour oeuvrer d'un point de vue politique à cette ouverture d'aide au monde, à construire et avancer plutôt que détruire ?
R. La réponse est fort simple, petite soeur. Vos gouvernants sont l'exact reflet de ce que vous êtes collectivement. Et ce que vous êtes collectivement est la résultante de ce que vous êtes individuellement. Changez. Changez-vous, chacun, réformez-vous, transmutez-vous individuellement, transmutez-vous par petits groupes, et votre transmutation, le cristal qui sortira de vous sera communicatif, il sera contagieux.
Ce ne sont pas vos gouvernants qui vont résoudre les problèmes que tu évoques, mais chacun de vous, là où vous êtes. Ce qui sortira de vous génèrera d'autres gouvernements. N'attendez pas la moindre modification fondamentale, le moindre changement profond sur cette planète, tant que l'individu ou du moins une masse extrêmement importante d'individus n'aura pas elle-même opéré une véritable métamorphose, c'est-à-dire pas simplement émis quelques souhaits de surface avec une simple bonne volonté ; la bonne volonté et les idéologies les plus belles soient-elles ne suffisent pas. C'est la transmutation de l'individu qui générera la transmutation des gouvernements, car vos gouvernements sont la transpiration de vos egos et de vos forces mentales.
Nous sommes quant à nous extrêmement positifs et optimistes par rapport à l'avenir de votre monde. Mais nous ne sommes pas béats du tout quant à la possibilité d'un événement très très proche d'une ère de paix. Il vous faut nécessairement passer, en tant que collectivité, par une grande phase d'épuration.
Ce ne sont pas des propos alarmistes que nous tenons là, comprenez-le bien. Nous voulons simplement ne pas induire un état d'esprit illusoire quant à la restauration d'un monde de paix demain matin sur cette planète. Ce qui ne signifie pas que vous ne pouvez pas, vous, vivre en paix. La notion de paix est, bien sûr, d'abord, quelque chose qui se cultive individuellement. Cela vous le savez, vous le comprenez. Il s'agit pas bien sûr de dire "je me fais mon petit monde à moi, égoïstement, et ce qui arrive au monde, eh bien, lui arrive... tant que je trouve ma stabilité intérieure." Ce n'est pas cela. Il ne s'agit pas de se créer un semblable cocon avec des principes de connexion au Soleil qui vous isoleraient du monde. Il s'agit simplement de développer une forme de stabilité intérieure et d'équanimité, lesquelles seront capables de jouer le rôle d'un esquif insubmersible dans des temps peu faciles. Et c'est le nombre de ces esquifs insubmersibles parce qu'incapables de douter réellement du continent sur lequel ils vont aborder, c'est le nombre de ces esquifs qui changera les choses.
Soyez différents et on se demandera quelle est votre différence.
Q. Attendez-vous quelque chose de particulier de nous pour ces temps difficile à venir ?
R. Que vous abolissiez les frontières entre vous et les autres, entre votre coeur et les autres, que vous vous montriez différents, c'est-à-dire dans une position d'accueil, dans une position d'affirmation de ce en quoi vous croyez, de ce à quoi vous sentez que vous pouvez vous identifier comme force. Donc que vous n'ayez pas peur, que vous ne craigniez pas, aucunement, d'affirmer ce en quoi vous croyez fermement, et qu'en même temps, vous ne vous placiez pas au-dessus d'autrui. Nous avons trop vu certains êtres partageant des démarches comme la vôtre créer des sortes d'élites estimant détenir un certain savoir, une certaine connaissance, et attendre une forme d'ascension personnelle.
Ne créez aucune frontière entre vous et les autres. Faites que votre différence soit une lumière espérée et désirée. Faites ce que l'on puisse dire, en vous rencontrant : "Comment fais-tu pour être ainsi ?"
Nous ne disons pas pour ne plus jamais juger, parce que nous savons que l'absence totale du jugement est un idéal à atteindre, et un idéal s'atteint toujours tranquillement.
Comment fais-tu, toi, pour offrir sans cesse un sourire ?
Comment fais-tu, toi, pour être compatissant ?
Comment fais-tu, toi, pour parler de ce en quoi tu crois sans vouloir l'imposer ?
C'est tout cela, c'est vers cette façon d'être que nous souhaiterions que vous alliez. Que vous inspiriez le désir d'être meilleur, en ne cherchant absolument pas à inculquer quoi que ce soit. Celui qui veut convertir déforme la racine de ce qui l'habite en vérité.
Vous êtes des hommes et des femmes parmi les hommes et les femmes qui ont ouvert leur porte à une chance. C'est aussi simple que cela. Et la chance que cette ouverture vous offre de surcroît, c'est de pouvoir vous retrouver et de pouvoir, comme en cet instant, avoir le choix de vous souvenir un peu plus. Sans dogmatiser, jamais.
Q. Qu'en est-il de la violence et du racisme au nom des religions ?
R. Une bonne partie des violences qui naissent actuellement traduisent en fait des retours karmiques. Ce qu'un peuple envoie à un autre, ce qu'une classe sociale envoie à une autre, actuellement, tient de l'effet du boomerang. Cela a toujours, me diras-tu, tenu de l'effet du boomerang. Mais, effectivement, aujourd'hui c'est peut-être plus flagrant qu'à d'autres époques, puisque nous arrivons, comme tu le sais, à un moment où votre humanité et sa planète sont là pour faire le point, et pour, possiblement, tourner une page.
Ce n'est pas parce que l'effet du boomerang appartient à la loi de l'ordre universel d'une forme d'équité, qu'il est nécessairement incontournable. La seule force qui puisse atténuer, éteindre l'effet du boomerang, de faire en sorte qu'un karma n'entraîne pas des souffrances, c'est la force du Pardon. Le Pardon de l'opprimé à l'oppresseur, c'est comme du sable jeté sur le feu. Cela éteint le moteur de la souffrance, le moteur de la vengeance. Tant qu'il n'y a pas cela, le jeu est infini.
Nous sommes bien conscients qu'au niveau de l'humanité actuelle, on ne peut pas encore penser à un Pardon global des uns envers les autres. Mais, encore une fois, les fourmis travaillent à l'ensemble de la fourmilière, les abeilles travaillent à l'ensemble de la ruche. Vous êtes à la fois des fourmis, des abeilles, et là où vous êtes, parlez pour le pardon mais ne faites pas que parler pour le pardon, expérimentez, vivez le pardon là où vous êtes.
Certains d'entre vous, ici ce soir, sont concernés tout particulièrement par ces paroles. Le Pardon n'est pas un beau principe dont il faut discourir, ce n'est pas un beau principe qui concerne autrui, ce n'est pas un beau principe qu'il faut espérer et appeler au niveau communautaire, collectif, planétaire. Il se vit dans la seconde, et si on ne l'a pas compris, comment espérer que la vie sur cette Terre se pacifie réellement ?
Oeuvrez à la longueur de votre bras pour commencer. Très simplement. Le Pardon ne passe pas nécessairement par des mots, il peut passer par un simple sourire mais un vrai sourire, un simple regard mais un vrai regard, un simple baiser mais un vrai baiser, qui ne cherche pas, aucunement, les polémiques, les explications... qui ne cherche pas à s'embarrasser dans les prétextes.
C'est juste une reconnaissance de parenté ultime. Nous souffrons tous, nous commettons tous des erreurs, des maladresses. Nous nous blessons tous, et nous-mêmes et les autres. Si nous voulions compter les points de part et d'autre, nous serions tous exactement à égalité. Alors inutile de poursuivre un match qui n'a pas de sens. On ne se renvoie pas la balle en pensant marquer des points. Il n'y a aucun point à marquer, sauf celui d'arrêter le jeu.
Questions posées aux Elohim, Frères des étoiles.
Question: Comment expliquer que l'on puisse se sentir à la fois connecté à des Êtres aimants et, en même temps, se sentir parasité ou contré à un niveau subtil ?
Réponse: Comment cela se peut ? Mais parce que vous dérangez. Dès que l'on développe - et vous le savez - de plus en plus de Lumière, on est également un aimant pour l'Ombre. Et il est logique et normal que cette Ombre se manifeste car elle vous oblige - elle est là pour vous obliger, en quelque sorte - à faire des choix de plus en plus précis, de plus en plus volontaires ; à montrer une confiance de plus en plus inébranlable et à apprendre à passer au-delà des doutes.
L'Ombre, ne la voyez pas comme un obstacle. Tant que vous la voyez comme un obstacle, elle s'érige de plus en plus forte devant vous. Voyez-la comme une force qui vous consolide. Et tant que vous ne serez pas suffisamment solide - et qu'il y aura des coins d'ombre en vous, des coins de doute - cela aimantera d'autres zones d'ombre et d'autres formes de doutes.
Vous allez dire que le chemin est décidément fort long. Il est exactement, oui… fort long. Mais plus vous y avancez, plus vous remarquez que les souffrances et les doutes qui le jalonnent se font rares et s'évacuent de plus en plus rapidement. Il y a simplement un cap à passer et ce cap, eh bien… cultivez-le, rapprochez-vous en, en évitant d'entrer dans les jugements, dans les condamnations, dans les « oui, mais... »
Ce que nous évitons nous éloigne de nous-même. Il ne nous éloigne pas de l'autre mais de nous-même. Ce que nous évitons revient nous éviter et nous revisiter inévitablement.
Remercie les forces adverses que tu sens, elles sont ton baromètre. Ne les vois pas comme des présences néfastes, surtout pas. Et crois bien que tu n'es parasité par aucune force. Tu es simplement visité par des aspects de ta propre faiblesse… ce qui est absolument normal sur ce chemin.
Q. Comment mieux partager et propager la joie ?
R. En étant Joie. Bien sûr, la réponse peut sembler très simple. Le problème se résout, vois-tu, dans l'unité à cultiver avec le Divin, c'est-à-dire dans le fait - et nous revenons à ce que nous vous disions d'emblée - de se souvenir de notre parenté avec la Force Divine. Tant que nous n'avons pas fait véritablement Un avec le Principe Divin, nous ne sommes pas totalement dans la Joie. Il y a une partie de nous qui doute, qui se juge, qui observe, qui condamne et se condamne. La Joie n'est pas toujours le fait d'être sans cesse en état d'explosion intérieure. La Joie n'est pas toujours le fait d'avoir constamment le sourire aux lèvres. Qui l'a toujours ? Aucun Maître de Sagesse Réalisé n'a toujours le sourire aux lèvres.
La Joie est, par contre, d'avoir en permanence ce sentiment d'Unité avec le Principe de la Lumière qui donne naissance à un sourire intérieur inextinguible. Il n'y a pas de recette pour cela. Le "comment" est, dirions-nous, un peu candide. C'est tout ce que vous rencontrez sur votre chemin de vie, toutes les difficultés, tout ce que vous appelez la souffrance, qui a pour but de vous aider à vous rapprocher tranquillement, doucement mais extrêmement et sûrement, de la Joie. La véritable Joie est un état de sérénité qui est infiniment plus haut que tous les nuages qui traversent nécessairement une vie. C'est un point d'ancrage, la Joie. Elle n'est pas l'absence de souffrance mais elle est l'absence de doute.
Vous pouvez la demander cette Joie, aussi. Il n'y a rien que vous ne puissiez demander mais ne demandez pas à une force qui serait extérieure à vous.
Q. Actuellement, le monde est en souffrance. L'humanité va-t-elle vivre dans la joie d'être ensemble, dans l'acceptation des différences et s'éveiller à l'Amour Christique ? Il y a beaucoup d'enfants et de gens qui souffrent, de la faim, il y a énormément de troubles dans le monde, des problèmes liés aux changements des besoins énergétiques. La paix peut-elle s'installer auprès de ceux qui gouvernent les peuples ? Pourront-ils s'éveiller à une conscience de service aux autres et non pas demeurer dans ce besoin d'être plus importants, mais prendre conscience que nous sommes tous des frères d'humanité ? Les gouvernants vont-ils s'éveiller pour oeuvrer d'un point de vue politique à cette ouverture d'aide au monde, à construire et avancer plutôt que détruire ?
R. La réponse est fort simple, petite soeur. Vos gouvernants sont l'exact reflet de ce que vous êtes collectivement. Et ce que vous êtes collectivement est la résultante de ce que vous êtes individuellement. Changez. Changez-vous, chacun, réformez-vous, transmutez-vous individuellement, transmutez-vous par petits groupes, et votre transmutation, le cristal qui sortira de vous sera communicatif, il sera contagieux.
Ce ne sont pas vos gouvernants qui vont résoudre les problèmes que tu évoques, mais chacun de vous, là où vous êtes. Ce qui sortira de vous génèrera d'autres gouvernements. N'attendez pas la moindre modification fondamentale, le moindre changement profond sur cette planète, tant que l'individu ou du moins une masse extrêmement importante d'individus n'aura pas elle-même opéré une véritable métamorphose, c'est-à-dire pas simplement émis quelques souhaits de surface avec une simple bonne volonté ; la bonne volonté et les idéologies les plus belles soient-elles ne suffisent pas. C'est la transmutation de l'individu qui générera la transmutation des gouvernements, car vos gouvernements sont la transpiration de vos egos et de vos forces mentales.
Nous sommes quant à nous extrêmement positifs et optimistes par rapport à l'avenir de votre monde. Mais nous ne sommes pas béats du tout quant à la possibilité d'un événement très très proche d'une ère de paix. Il vous faut nécessairement passer, en tant que collectivité, par une grande phase d'épuration.
Ce ne sont pas des propos alarmistes que nous tenons là, comprenez-le bien. Nous voulons simplement ne pas induire un état d'esprit illusoire quant à la restauration d'un monde de paix demain matin sur cette planète. Ce qui ne signifie pas que vous ne pouvez pas, vous, vivre en paix. La notion de paix est, bien sûr, d'abord, quelque chose qui se cultive individuellement. Cela vous le savez, vous le comprenez. Il s'agit pas bien sûr de dire "je me fais mon petit monde à moi, égoïstement, et ce qui arrive au monde, eh bien, lui arrive... tant que je trouve ma stabilité intérieure." Ce n'est pas cela. Il ne s'agit pas de se créer un semblable cocon avec des principes de connexion au Soleil qui vous isoleraient du monde. Il s'agit simplement de développer une forme de stabilité intérieure et d'équanimité, lesquelles seront capables de jouer le rôle d'un esquif insubmersible dans des temps peu faciles. Et c'est le nombre de ces esquifs insubmersibles parce qu'incapables de douter réellement du continent sur lequel ils vont aborder, c'est le nombre de ces esquifs qui changera les choses.
Soyez différents et on se demandera quelle est votre différence.
Q. Attendez-vous quelque chose de particulier de nous pour ces temps difficile à venir ?
R. Que vous abolissiez les frontières entre vous et les autres, entre votre coeur et les autres, que vous vous montriez différents, c'est-à-dire dans une position d'accueil, dans une position d'affirmation de ce en quoi vous croyez, de ce à quoi vous sentez que vous pouvez vous identifier comme force. Donc que vous n'ayez pas peur, que vous ne craigniez pas, aucunement, d'affirmer ce en quoi vous croyez fermement, et qu'en même temps, vous ne vous placiez pas au-dessus d'autrui. Nous avons trop vu certains êtres partageant des démarches comme la vôtre créer des sortes d'élites estimant détenir un certain savoir, une certaine connaissance, et attendre une forme d'ascension personnelle.
Ne créez aucune frontière entre vous et les autres. Faites que votre différence soit une lumière espérée et désirée. Faites ce que l'on puisse dire, en vous rencontrant : "Comment fais-tu pour être ainsi ?"
Nous ne disons pas pour ne plus jamais juger, parce que nous savons que l'absence totale du jugement est un idéal à atteindre, et un idéal s'atteint toujours tranquillement.
Comment fais-tu, toi, pour offrir sans cesse un sourire ?
Comment fais-tu, toi, pour être compatissant ?
Comment fais-tu, toi, pour parler de ce en quoi tu crois sans vouloir l'imposer ?
C'est tout cela, c'est vers cette façon d'être que nous souhaiterions que vous alliez. Que vous inspiriez le désir d'être meilleur, en ne cherchant absolument pas à inculquer quoi que ce soit. Celui qui veut convertir déforme la racine de ce qui l'habite en vérité.
Vous êtes des hommes et des femmes parmi les hommes et les femmes qui ont ouvert leur porte à une chance. C'est aussi simple que cela. Et la chance que cette ouverture vous offre de surcroît, c'est de pouvoir vous retrouver et de pouvoir, comme en cet instant, avoir le choix de vous souvenir un peu plus. Sans dogmatiser, jamais.
Q. Qu'en est-il de la violence et du racisme au nom des religions ?
R. Une bonne partie des violences qui naissent actuellement traduisent en fait des retours karmiques. Ce qu'un peuple envoie à un autre, ce qu'une classe sociale envoie à une autre, actuellement, tient de l'effet du boomerang. Cela a toujours, me diras-tu, tenu de l'effet du boomerang. Mais, effectivement, aujourd'hui c'est peut-être plus flagrant qu'à d'autres époques, puisque nous arrivons, comme tu le sais, à un moment où votre humanité et sa planète sont là pour faire le point, et pour, possiblement, tourner une page.
Ce n'est pas parce que l'effet du boomerang appartient à la loi de l'ordre universel d'une forme d'équité, qu'il est nécessairement incontournable. La seule force qui puisse atténuer, éteindre l'effet du boomerang, de faire en sorte qu'un karma n'entraîne pas des souffrances, c'est la force du Pardon. Le Pardon de l'opprimé à l'oppresseur, c'est comme du sable jeté sur le feu. Cela éteint le moteur de la souffrance, le moteur de la vengeance. Tant qu'il n'y a pas cela, le jeu est infini.
Nous sommes bien conscients qu'au niveau de l'humanité actuelle, on ne peut pas encore penser à un Pardon global des uns envers les autres. Mais, encore une fois, les fourmis travaillent à l'ensemble de la fourmilière, les abeilles travaillent à l'ensemble de la ruche. Vous êtes à la fois des fourmis, des abeilles, et là où vous êtes, parlez pour le pardon mais ne faites pas que parler pour le pardon, expérimentez, vivez le pardon là où vous êtes.
Certains d'entre vous, ici ce soir, sont concernés tout particulièrement par ces paroles. Le Pardon n'est pas un beau principe dont il faut discourir, ce n'est pas un beau principe qui concerne autrui, ce n'est pas un beau principe qu'il faut espérer et appeler au niveau communautaire, collectif, planétaire. Il se vit dans la seconde, et si on ne l'a pas compris, comment espérer que la vie sur cette Terre se pacifie réellement ?
Oeuvrez à la longueur de votre bras pour commencer. Très simplement. Le Pardon ne passe pas nécessairement par des mots, il peut passer par un simple sourire mais un vrai sourire, un simple regard mais un vrai regard, un simple baiser mais un vrai baiser, qui ne cherche pas, aucunement, les polémiques, les explications... qui ne cherche pas à s'embarrasser dans les prétextes.
C'est juste une reconnaissance de parenté ultime. Nous souffrons tous, nous commettons tous des erreurs, des maladresses. Nous nous blessons tous, et nous-mêmes et les autres. Si nous voulions compter les points de part et d'autre, nous serions tous exactement à égalité. Alors inutile de poursuivre un match qui n'a pas de sens. On ne se renvoie pas la balle en pensant marquer des points. Il n'y a aucun point à marquer, sauf celui d'arrêter le jeu.
Questions posées aux Elohim, Frères des étoiles.
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