Observation consciente d'une extra-terrestre de passage sur terre...

Observation consciente d'une extra-terrestre,

de passage sur terre.

"Faisons l’homme à notre image" dit un Best-seller planétaire, livre mondialement connu depuis des siècles, et traduit en toutes les langues.

Qu'est-ce que çà veut dire ? Est-ce l'homme qui est fait à l'image de Dieu (ça se saurait quand on voit l'état du monde) ou n'est-ce pas plutôt l'image d'un dieu créé par l'homme? Un Dieu d'amour ou un dieu dollar ? (une image, elle aussi, planétaire)..

Alors les questions, qui se posent en observant les relations humaines, peuvent être celles-ci :

-          Pourquoi voulons nous toujours changer l’autre ?

-          Pourquoi voulons-nous le transformer ? pour qu’il soit à notre image ?

-          Sommes-nous Dieu pour créer les autres à notre image? comme dans le bestseller ?

-          Voulons-nous être dans notre zone de confort ? Et c’est quoi la zone de confort ?

-          Pourquoi ressentons-nous le besoin de projeter sur l’autre ce que nous sommes (humainement ou dans notre nature véritable ? Une sorte de perfection ? Et c’est quoi la perfection chez l’être humain ? "Personne n'est parfait" dit-on couramment. On ne sait pas qui est parfait, et puisqu'il n'y a personne.. n'est-ce pas un rêve ? ce qui prouve que nous sommes endormis, non ?

Lorsque nous nous regardons dans le miroir et que notre image n’est pas conforme à ce que nous souhaitons, est-ce que nous changeons ou cassons le miroir ? Non ! Nous essayons de nous transformer, de nous rendre plus beaux, de nous apprécier tels que nous sommes, de modifier ce qui ne nous plait pas. 

(on se douche, on se coiffe, on se rase, , on se maquille, on change de look,... : on essaie de s’améliorer pour se voir d’une autre manière.. Et le miroir s’adapte... pas besoin de le changer ou de le détruire. 

Eh bien considérons que l'autre est un miroir de nous mêmes, de nos projections inconscientes. Il nous révèle ce que nous aimons de nous et ce que nous n’aimons pas. Avons-nous envie de changer l'autre ou est-il plus judicieux de nous changer, de nous transformer, ou de nous améliorer ?.

Dialogue intérieur entre l'âme (guide intérieur) et l'ego (identification à mon personnage)

L'Ego :            Et pourquoi je changerais? Moi çà va !

L'Ame :           tu te sens confortable ?

L'Ego :            oui, sauf si l'autre n'est pas ce que j'aimerais qu'il soit..

L'Ame :           donc tu préfères changer l’autre... sous-entendu," toi tu sais ce qui est bon pour lui ?

                        Ah oui ? comment le sais-tu ? Regardes bien…

Ne crois-tu pas que tu ne sais seulement que ce qui est bon pour toi ?

Chacun est sur sa planète… Personne ne peut prendre ta place ou vivre dans ton corps…

Tu es le seul à vivre avec toi-même, tu es ton meilleur ami et ton meilleur ennemi…"

Questions à se poser :

Ai-je le pouvoir de changer le temps qu’il fait ?. De faire briller le soleil, de stopper ou faire tomber la pluie ? Non !

Ai-je le pouvoir d'arrêter un volcan, un séisme ou un fleuve qui déborde ? Non !

Ai-je le pouvoir de faire grandir une graine pour qu’elle devienne un arbre ou une fleur ? Non !

Ai-je le pouvoir de changer le comportement instinctif d'un animal ? Non !

Ai-je donc le pouvoir de changer un humain ? Eh bien Non ! c'est une croyance ! (en revanche il peut s'améliorer ou avancer à mon contact, en m'observant ou en écoutant des suggestions, pas des ordres qui ne seraient que manipulation, donc de pouvoir)

Le seul pouvoir que j'ai, est d’accueillir qui est.

Ne pas combattre, ne pas lutter : c'est un stress inutile qui baisse les défenses immunitaires. " Ce à quoi je résiste persiste  "  

Il est nécessaire de se pauser et de voir l'autre d’une autre fenêtre, de s'exprimer dans ce que l'on ressens ("ce qui ne s'exprime pas, s'imprime") d'éviter de juger ou de critiquer l'autre, (le "tu", tues) de se poser les bonnes questions, de modifier ou d'améliorer ce qu'on croit être plus harmonieux dans notre relation avec nous-mêmes... (on attire ce que l'on vibre… pas ce que l'on veut !) faire confiance à notre intuition, notre imagination, pas à notre mental qui utilise des perceptions erronées stockées dans notre inconscient, (notre disque dur qui a enregistré toutes les sensations avant l'âge de 7 ans).    On fonctionne à 90 % avec l'inconscient. Le mental est dans le passé ou se projette dans le futur. Et l'instant présent est ce que nous vivons dans notre corps, toujours… la conscience est l'instant présent. Et le fait d'observer ce que l'on ressent permet de prendre conscience de notre émotion, du moment (agréable ou désagréable. tout va bien pour l'amour, la joie, la paix…et tout va mal pour la colère, la tristesse, la peur, n'est-ce-pas ?)

Et comment accueillir ce qui est désagréable ? en respirant !   vous avez remarqué que lorsque vous n'en pouvez plus, vous forcez la respiration d'un grand soupir ? le corps vous le montre !  et pourtant il respire tout le temps…. Donc se poser quelques minutes et prendre trois longues et profondes inspirations/expirations conscientes, apportent instantanément le calme, et la détente. Ceux qui méditent le savent très bien…. Et çà ne fait pas le bonheur de Gogol, notre chef d'orchestre qui veut contrôler et surtout exister… Notre mental est un chevalier servant, c'est-à-dire à notre service… et là on lui dit "pause!  j'ai besoin d'être avec-moi-même, mon être véritable "….

Et si nous étions venus ici sur terre pour aimer et être aimé ? Si nous étions venus ici pour incarner l'amour que nous sommes dans notre véritable nature. Et si l'amour n'était pas ce que nous pensions, au niveau de la nature humaine ? Et si nous avions perverti un état d'amour et confondu l'amour et le désir ?

Posez-vous la question ! c’est quoi l’amour ?

Une perception ou une pensée ?

Ce qu'on ressent ou ce qu'on nous a montré dans notre éducation, notre conditionnement, les romans, les films, vu à la télé (sourire)  ?

Est-ce que l'amour est extérieur à nous, dans une relation affective ?, où l'autre doit nous combler d'un manque ? doit panser nos blessures du passé (qu'il ne connaît même pas et qu'il a lui aussi) ? 

Est-ce que l'amour plutôt est sa présence, son écoute, sa compréhension ?

Est-ce qu'aimer c'est donner/recevoir? Ou prendre ?

Est-ce qu'aimer c'est partager ? Est-ce qu'aimer c'est voir avec son cœur ("on ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux", disait St Exupéry)

Et si l'amour n'était qu'un état ? Et si l'amour ne dépendait pas de nos émotions, de nos désirs, de nos envies, de nos passions ? Et si l'amour n'était pas conscientisé dans la matière et que nous serions là pour l'incarner dans nos expériences terrestres ?

Prise de Conscience d'une terrestre extra

de pas sage sur la terre.

Harmony

26/08/2020

Un peu de philosophie... c'est le moment de relire Platon

 

L'ALLÉGORIE DE LA CAVERNE DE PLATON !
Connaissez-vous "L'allégorie de la caverne de Platon" ?
Rester dans l'illusion ou aller vers la Vérité ?
Le mythe de la caverne est une allégorie qui illustre la situation des hommes par rapport à la vraie lumière, c’est-à-dire par rapport à la vérité.
Supposons des captifs enchaînés dans une demeure souterraine, le visage tourné vers la paroi opposée à l’entrée, et dans l’impossibilité de voir autre chose que cette paroi. Elle est éclairée par les reflets d’un feu qui brûle au dehors, sur une hauteur à mi pente de laquelle passe une route bordée d’un petit mur.
Derrière ce mur défilent des gens portant sur leurs épaules des objets hétéroclites, statuettes d’hommes, d’animaux, etc...
De ces objets, les captifs ne voient que l’ombre projetée par le feu sur le fond de la caverne. De même, ils n’entendent que les échos des paroles qu’échangent les porteurs. Habitués depuis leur naissance à contempler ces vaines images, à écouter ces sons confus dont ils ignorent l’origine, ils vivent dans un monde de fantômes qu’ils prennent pour des réalités.
Soudain, l’un d’entre eux est délivré de ses chaînes et entraîné vers la lumière. Au départ, il en est tout ébloui. La lumière du soleil lui fait mal, il ne distingue rien de ce qui l’entoure.
D’instinct, il cherche à reposer ses yeux dans l’ombre qui ne le blessait pas. Peu à peu, cependant, ses yeux s’accoutument à la lumière, et il commence à voir le reflet des objets réfléchis dans les eaux. Plus tard, il se sent prêt à en affronter la vue directe. Enfin, il deviendra capable de soutenir l’éclat du soleil.
C’est alors qu’il réalise que sa vie antérieure n’était qu’un rêve sombre, et il se met à plaindre ses anciens compagnons de captivité. Mais s’il redescend près d’eux pour les instruire, pour leur montrer le leurre dans lequel ils vivent et leur décrire le monde de la lumière, qui l’écoutera sans rire, qui donnera surtout créance à sa révélation ? Les plus sages eux-mêmes le traiteront de fou et iront jusqu’à le menacer de mort s’il s’obstine.
On distingue sans peine la signification de cette allégorie. La caverne est le monde sensible dans lequel nous évoluons, le symbole de toutes les dictatures, visibles comme invisibles.
Nous sommes enchaînés dans cette caverne, esclaves de nous-mêmes et de notre éducation. La lumière est au dehors, mais il faut du courage pour la rejoindre, supporter la souffrance et la peur pour affronter la vérité. Nous devrons parcourir le sentier, qui est celui de la philosophie, pour espérer entrevoir la lumière.
Cependant le philosophe, s’il est de son devoir de partager son savoir, aura du mal à le faire accepter par ceux qui sont restés dans la caverne. C’est pourquoi il est souvent rejeté. Il pourra dire ce qu’il a vu (et donc compris), mais il ne pourra jamais totalement décrire le chemin par lequel il est passé. L’apprenti philosophe doit donc entendre et accepter, à travers ce mythe, que sa vision du monde est une illusion, car basée sur des a priori, et qu’il doit sortir de la caverne pour se mettre réellement en quête de la vérité. Pour cela, il doit faire preuve d’humilité, appliquer la politique de la table rase, en oubliant ce qu’il a vu dans la caverne.
Et bien ce que l'on nomment "complotistes", marginaux, anarchistes, libres penseurs, lanceurs d'alertes, fous, allumés, illuminés etc. sont ceux qui font le choix de sortir de cette fausse réalité. Ils ne comprendront peut-être pas tout au monde réel, mais au moins, ils osent aller voir par eux mêmes, de leurs propres yeux, pour affronter une nouvelle vie,
la réalité...
Et vous ? Que voulez-vous faire ? Rester dans la caverne, ou bien remontez à la surface ?

BONNES VACANCES LES AMIS (E)

Affirmations positives “JE SUIS” - Attirez le meilleur dans votre vie pe...